UNIVERSITE DE PARIS VII
UNIVERSITE DE NICE
UER INFORMATIQUE
1
UER
1
LABORATOIRE
CENTRE SERVEUR VARTEL
THE
Contribution à l'étude
d'implantation des réseaux télématiques
Application :
Création d'un centre serveur télématique
à l'Université Nationale de Côte d'Ivoire
THE
S E
Présentée et soutenue publiquement le 31 octobre 1986
à l'Univeristé NaLionale de Côte Ij' Ivoire
pour l'obtention du grade
de Docteur Ingénieur en Sciences Informatiques
p a r
SAGOH
Djété
JURY
Président
M. HAUHOUOT ASSEYPO, Professeur, Doyen Faculté Lettres Université d'Abidjan
Membres :
MM. Maurice NIVAT i professeur UER-M~thématique-Informatique Paris VII
Dominique PERRIN, professeur UER-Mathématique-Informatique Paris VII
Roger CASANOVA, professeur Université de Nice-Laboratoire I.M G.
Jean-Marie AKEBOUE, Directeur Secrétaire Général à l' Informatlque,
Ministère d'Etat II.
r:

r
Sagoh DJETE
r
i
\\
CONTRIBUTION A L'ETUDE D'IMPLANTATION DE
RESEAU TELEMATIQUE. APPLICATION: CREATION
CENTRE SERVEUR TELEMATIQUE DE L'UNIVERSI
TE NATIONALE DE COTE D'IVOIRE
-
THESE DE DOCTEUR lNGENIEUR
SPECIALITE:
. Informat1Que

i
1986
r
l,
1
UNIVERS1T['UE PARIS VII
UNIVERSITE DE NICE
UER
lNFORMAT1QUE

-
1 -
AVANT
PROPOS
=-~-=-=-:
-~-=-=-=-=-
Dans un travail,
il faut reconna!tre le fruit d'une
élaboration personnelle, mais aussi collective; aussi c'est
à ce titre qu'au terme de cette étude
j'adresse ma profonde
reconnaissance à tous ceux qui m'ont aidé, encouragé fut-ce par
leur accueil au soir" d'une rude journée de travail, ou même par
une simple poignée de main affectueuse.
c'est en Février 1981,
à
l'occasion d'une mission
d'étude à
l'Université de MONTREAL (CANADA)
sur les banques de
données à usage universitaire,
que
je découvris la portée réelle
de mes idées, celles des réseaux de communication entre plusieurs
centres dans un même environnement, connectés au Centre de Calcul
de l'Eco le Pol i techn ique.
',-
\\.0(";."
Eu 1982, une bourse de recherche sur les banques et
bases de données .~ l f Uni versi té de MINNESOTA (MDl1NEAPOLIS)
aille
Eta1:.9-11nis d· .1mérlgue :me :fam1 1 j ar1 sa a vex::: l e s résc aux d· ordina-
teurs et de tezminaux- fun .retour ~ lf 1m.i:verslté ruitionalede
Côte d'Ivoire où un blocage quasi total gélait sinon par~ait
le fonctionnement d.es activités d'un nombre important de services
et centres de reche~ches me remit en présence l'utilité de pour-
-
suivre mes études de mise en place d'un Réseau Télématique,
créneau informatique et communication,
au campus universitaire
d'Abidjan.
~~.
Cependant lor~le Professeur ROGER CASANOVA m'offrai~
l'occasion de visiter son Centre VARTEL,
serveur Télématique
dans le VAR (FRANCE),
j'eus quelques appréhensions qui ne fit
que ~roire après la rencontre avec ses spécialistes de téléma-
tique Je .. DRAGUIGNAN.
~-

-
2 -
Cette visite dans le VAR avec le Professeur CASANOVA
et ses collaborateurs du C.A.I.R.
(Centre Analytique Inter-
universitaire Régional), organisme à vocations multiples, où
s'entrecroisent en une sorte d'interindépendance Recherches
universitaires,
transfert de technologi~ et prestation de services
devenu par la suite I.M.G.
(Institut Méditerranéen des Géosciences
et leurJaides de tous les instants m'encouragèrent à mener à
bien ce travail commencé depuis 1980.
Je remercie en premier lieu le Professeur MAURICE NIVAT,
Responsable de l'UER Informatique de l'Université de PARIS VII,
qui m'a fait l'honneur et le plaisir de m'accepter comme thésard
pour superviser ce travail. C'est grâce à la confiance qu'il
m'a témoigné et à sa grande moralité scientifique que ce travail
a pu être poursuivi et mener à terme.
Pour remercier le Professeur CASANOVA, les mots ne
peu~ent traduire tout ce que je ressens. Accueilli dans son
laboratoire,
j'ai constamment trouvé auprès de lui, dynamisme,
compétence scientifique, assistances diverses et conseil f . Bien
que pris dans ae multiples activités, le Professeur ROGER CASANOVA
est toujours disponible pour moi.
Il a pu distraire, d'un emploi
du temps toujours serré, quelques instants mêmes tardifs pour
apprécier et faire le point des travaux en cours ou s'impregner
de l'avancement de ceux-ci. Ce mémoire est le fruit d'une étroite
collaboration; qu'il soit persuadé de ma plus sincère gratitude
et le témoignage de mon profond attachement.
Je ne saurais passer sous silence l'extrême sympathie
des membres du laboratoire du C.A.I.R., particulièrement les
informaticiens du centre Serveur VARTEL notamment MM. Bruno
BEZON, Michel GARCIN, Guy PEIRON. Je les suis très reconnaissant
de la grande disponibilité dont ils ont fait preuve à mon égard.
Je leur en suis redevable pour l'expérience Télématique qu'ils
ont su me faire profiter.

-
3 -
.--
A cette heure je pense plus que jamais à MICHELLE
FRANCOIS pour m'avoir guidé et encouragé, pour s'être donné
beaucoup de mal au cours de la rédaction finale de ce manuscrit.
Je l'assure de mon amitié la plus sûre.
Je remercie les différents professeurs qui ont accepté de
s'intéresser à mon travail pour avoir voulu faire partie de mon
jury de thèse;
je
leur sUcLs également reconnaissant pour la
grande disponibilité à mon égard. Leur présence au sein du jury
est un honneur que j'espère être digne.
Enfin,
je ne voudrais pas oublier, tous ceux qui,
d' une
manière ou d'une autre m'ont aidé tout le long de ce travail.
Ainsi Mr J.M. AKEBOUE, Secrétaire Général à l'Informatique du
Ministère d'Etat II d'Abidjan m'a très encouragé;
je lui dois
aussi de m'avoir soutenu et parfois aidé financièrement dans
mes fréquents déplacements en France dans le cadre de mes travaux
de thèse. Qu'il trouve ici l'expression pe ma plus sincère amitié.
Mon affection toute particulière à ma chère épouse,
à mes enfants,
à ma mère,
à ma grande famille qui se sont accou-
tumés de fait à mes régulières absence~ du pays. C'est à eux
tous que je dedie ce travail.
Mademoiselle
DJAMALA Thérèse a eu la lourde
tâche de la réalisq~ion matérielle de ce travail
; pour sa
volonté et le soin qu'elle y a mis,
je lui dis affectueusement
merci.
Pour finir,
je ne remercie pas les petits farceurs qui
depuis plus d'un an m'importunent avec la même question "Quand
est-ce tu passes ta thèse 1". Au futur thésard,
je dis: ne
répondez jamais à une telle question, que le jour de votre
soutenance.

-
4 -
CHAPITRE l
Introduction
1. 1-
Exposé du problème
". "
1-2
Les
travaux de recherche
~,~.:.
':r-... 3
Moti va tion
.~~';',
1-4
Con tribution
CHAPITRE II
La Télématique
2i
11-1
Structure du réseau télématique
2:
11-1-1
Topologie en bus
3
11-1-2
Topologie en anneau
3;
11-1-3
Topologie en étoile
3:
11-2
Les protocoles de communication
3f
11-2-1
Les modali tés de communi ca tion
: les couches 1. S .0.
3'
11-2-2
L'équipement de communication entre utilisateurs
4;
11-3
Le réseau ivoirien de transmission de données
4c
11-3-1
Structure du réseau
41
11-3-2
Le réseau SYTRAN
4'
11-3-2-1 Les avantages du réseau SYTRANPAC
- 5
11-3-2-2 Tarification du service
5
11-3- 3
Dispositions particulières
5
11-3-4
Technique de la communication par paquets
)
CHAPITRE III
Le réseau t.élématique œ l'Université d'Abidjan :. Conception :)
111-1
Etude topologique du réseau de communication
7
111-2
Denombrement des sous-systèmes de communication
e
111-3
Différentes représentarinns de la structure
.:iu
reseau
111-4
Etude des solutions d'implantation du réseau
111-5
Etude d'implantation du système informatique
le
111-5-1
Le matériel du Centre Serveur Télématique de
l'Université
(CESTU)
1 (
111-5-2
Le logiciel de communication
1
111-6
Coût d'implantation de CES T U
1
111-6-1
Equipements de transmission de données
1
111-6-2
Equipements du Traitements de Données
III-7
Estirration du cout d'utilisation uu reseau

-
5 -
CHAPITRE IV
La base de données documentaire
L.l
IV-I
Essai de définition d'une base documentaire
lL.:.J
IV-2
Structure de données documentaire
L:.7
IV-3
Définition des mots du langage documentaire
Uv
IV-4
Les éléments constitutifs de la base
IV-4-1
Base R E B I
.130
IV-4-1-1
Description des paramètres de la base ~lb
l'xJ
IV-4-2
Base G E S B I
IV-4-2-1
Description des paramètres de la base GESBI
CHAPITRE V
Utilisations scientifiques et pédagogiques
du serveur télématique : CESTU
V-I
L'Informatique pour tous,
la Télématique
V-2
La teH:rœssagerie : SYMES, Systèmes de Messagerie
Electronique
V-2-1
Les principales fonctions de SY~S
V-2-1-1
Gestion des messages reçus
V-2-I-L
Gestion des messages â envoyer
, .
l ~..J
V-2-1-3
Gestion des abonnés
1~7
V-2-2
principe de fonctionnement
V-3
Uti lisa tion pédagogique du serveur
lu\\.
V-3-1
Exemples d'utilisation
j'un
serveur télématiq\\J.e 16
V-3-1-1
Etude pédagogique interdisciplinaire
16
V-3-1-2
Gestion des activités sportives.
CHAPITRE IV
CON C LUS ION
lE
Glossaire.
11

-
6 -
l N T R 0 DUC T ION
=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=
"Conune vous le savez les Sèiences de l'information
prennent un essor de plus en plus grand dans le monde moderne.
L'information devient synonyme de pouvoir et les pays
qui négligeront leurs équipements en ce domaine accroîtront
rapidement leur infériorité par rapport aux pays développés qui
y trouveront une raison supplémentaire d'exercer de nouveaux
monopoles".
Lorsque le 16 Juin 1979, le Président de la République
de Côte d'Ivoire,
s'adressait ainsi aux membres du
gouvernement,
non seulement i l initialisait le processus d'éla-
boration d'un plan national, mais encore i l attirait l'attention
de tous sur l'importance stratégique pour un pays de maîtriser
ses sources et son système d'information.
Il en va de même pour la communication rapide de ces
informations et l'accès instantané à d'autres sources d'information
En effet,
"obtenir l'information significative" au sens
de tout un chacun est le rève qui comblerait notre fréquente
incapacité à ne pouvoir retrouver une information acquise jadis
mais absente au moment précis où elle est nécessaire à notre action
Aujourd'hui, l'imbrication croissante des moyens de
traitements associés aux techniques de conununication sous le
vocable "TELEMATIQUE" atténuerait notre quasi-impossibilité de
pouvoir accéder facilement à une information loin soit elle,
relative à un sujet précis,
faute de pouvoir 'maîtriser le flux
documentaire.
1
l '

-
7 -
Ce flux d'information ou flux documentaire nécessaire
à notre société peut être considéré comme une marchandise de
grande valeur,
stockable sous diverses formes.
La façon d'organiser ces informations
(JAME75), de la
manipuler, d'y accéder demande des techniques appropriées.
La solution précon1see depuis quelques années par
les informaticiens est la centralisation des données sous l'appel-
lation de "BASES DE DONEES" dans laquelle chaque donnée est repré-
sentée une seule fois seulement
(GHOS77). Cette approche déjà
ancienne de système organisé autour d'une base de donnée est
conçue en fonction des données
(structures), alors qu'un système
classique est conçu autour des fonctions
(programmes)
(NORM79).
Dans les différentes voies d'études de l'existence
des bases de données et de leur modèle trois critères essentiels
se dégagent :
-
la consolidation des données ;
-
l'indépendance des données et des programmes
-
la protection des données.
Ce concept de base de données a été mis au point pour
répondre à des besoins spécifiques d'archivage dès informations.
En effet, les premières bases de données furent élaborées par des
spécialistes pour résoudre 'aàés problèmes dits de "gestion"
(CINA83)
(BOUIL77). Puis la nécessité scientifique des théories
s'est fait sentir et a suscité des recherches pour étayer les
modèles de bases existantes que nous connaissons.
Les scientifiques observent que les évènements qui
présentent des intérêts vis-à-vis des applications de toute
nature sont régis par la théorie des ensembles. Ainsi chaque
phénomène de cet ensemble peut trouver une représentaticn aisée
suivant l'usage projeté par l'utilisateur.

- S -
Toutefois l'objectif de cet enserrble d' infonnatio,:"
organisé en
bases de données est belle et bien de carrnuniguer l' info:rrr.ation. ~a<XJUes
CEAUMIFR écrivait à ce sujet : lien ce qui concerne la finalité des bases
\\
de données, l 'on ~ut dire o:œ leur mission essentielle consl.ste a recuel.lll.r
)'
et analyser la nasse d' infonnations (l.isFOnible FOur les mettre à la dis[Dsi-
tion des resp:msables ou décideurs (CHAUMSO).
cette masse d'infonnation construite et entretenue dans les
(livers pays incarne la connaissance qui est source de puissance selon
/
Sill'~ '!SUN (FEIG82).
L'infonration recherchée est opfOrtW1Ement détenue chez le
voisin ou de l'autre côté du désert. ()œ faire [Dur p:ùlier à ce déficit
momentané d'infonration FOuvant être préjudiciable à notre action? L'idée
qui vif'..nt à l' esprit est de créer un aut.c:m3.te, qui 1 doué d' une méroirisa-
tion ~igantesque conjuguée à des .possibilités irrirrenses de traiterent serait
en rresure, à tout m::xœnt, de nous aider à retrouver de manière circonstan-
tielle et imnédiate des infonnations aussi exhaustives et r;ertinentes que
[Ossibles.
Cet autorrate idfi.al !3e ramène nécessairEment au réseau de cannunication
qui allie la 'techniqœ infornatique et celle de la télécoomunication sous l'appel-
lation de TEIEMATIQUF (ensemble des systàœs de corrmunication à distance
avec la combinaison des possibilités offertes par les ordinateurs, les
réseaux de" transmission), un des FOints irnrortants de notre étude,
Avec l'ère de la télélTBtigue 1 synthèse de ces deux techniques 1 mus
entrons dr.ms l'univers/sans distance et dans le rronde de l'instantané (GlAA7S).
L'éaalité œs chances entre les pays cx::rnrœ entre les hOIllœS, passe'~ la
pJssibilité d'accéder à ces nouveaux m::x:3.es de canmunication (VUITS3). Par
ailleurs un mrrbre inlpJrtant d'économistes rrondiaux accorœnt à l'industrie
de la comnunication un fOuvoir ct' entrainerrent é?ale à celui œ l'industrie
r€trolière
ou celui c1e l' autorrobile FOur les crises précéœntes.

-
9 -
1.1
EXPOSE--
DU
PROBLEME
---:;;...------...;.._-~--
Nous vivons une évolution rennanente des techniques de carmUIÙ-
cation parallèlerrent à celle de la gestion des données.
Les réseaux infonnatiqœs, les bases et banques èe données sont
autant des procédés FOur traiter, stocker et gérer des masses de plus en
plus importantes d' infonnations, vieilles de plusieurs années ou neuves
et èont la consultation o!?IX'rtunerœnt aprûrte la garantie indispensable
à nos actions du rranent.
I.e problère, avec l'avènement de la télérratique, serait dl étendre
cette consultation (corrmunication) en tout lieu, en tout temps sur tous les
conglorrérats de masses de données qœ nous savons structurer et enm3.gasiner
d3ns les différentes entreprises de nos états.
r:e nos jours nous lX>uvons dire que la r?Olitique renée par les
classes dirigeantes en rre.tière de COJTITlUIlication n'est pas d'interdire la
'ilibre e~ressionll-. I.e discours actuel est plutôt rené sur le thèrre de la
libre circulation de l' infonnation, de la liberté de corrmunication.
Quelles ~uVP..nt être les disFOsitions structurelles au niveau
(le certains organisnes intellectœls des pays en développ:=rn::mt tant FOur
le traiterrent de l'information que FOur l'accès à l'espace de corrmUIÙcation ?
Dans le cas d'espèce, le traiterrent œ
l' infonnà.tion ou l'infor-
matique à l'Université d'Abidjan est dira-t-on, "Alice aux pays œs rœiveilles".
L'explosion œs équiperœnts inforrratiques (micro-ordinateurs) est un
co:nstat réel.
Aussi les autorités conscientes de cette nécessité qu'est l'infor-
rœ.tisation œ
la corrmunauté universitaire attenœnt inpatierrrrent cE
l 'or~srre
canpétent en la mise en oeuvre des techniques informatiques,

-
10 -
le cmr, le centre de calcul, la oonduite à oourt et à rroyen terne dl trrl
certain norrbre de proj et dont les obj ecti fs principaux visent à
--la maîtrise de la science infOrmatique ;
- rendre accessible les informations universitaires (-fonds
docurrentaire) et extra-universitaire ;
- perrrettre l'échange d' infornations entre centres de recherches
et centres de Cbcurrentation
- inté~r trrl volurre d'esrace infornationnel partagé par les
comnunicants (interrogation des bases et banques de oonnées
- assurer l'oprortunité de la rressagerie électronique entre
centres et utilisateurs externes.
D= ces objectifs se déS'éJ-gent plusieurs ares de développerrent des
activités d
t
œ cul ûl~
udr'
,
t
b"
t
u cen re
!I~;;-\\~\\:~
que 'I10~~~
lOns presen er
rlevernen.
l
"'~
li
C A
-~
Ce centre estM<::rée-en ,q'uin 19'1:~ par l'arrêté rectorale n° 74.645
"tabl'
i\\ ~d~
~) It(iil' "
'
chni
en tant qu e
. lSserœnt -=-,;-ensel~,";'alnsl qu un servlce te
que de
l'infornatique ; en fait' tin~ntre""de0'ê~culde l'Université. cet arrêté lui
... , /0
. '\\'
.
'~";;"I]e rn
s\\.\\?e <:,"
attribœit trrle double 1l1issioh~:~
- organiser et coordonner les divers enseignerrents d' infornatiqœ
dans les établisserrents œ l'Université et ceci sans exception;
- gérer et rrettre à la diS!X>sition de toute l'Université (enseignants 1
chercheurs, étudiants, administratifs) les rroyens, tant en rratériel qu'en
rersonnel, nécessaires à la Irise en oeuvre des méthc::><:Ès et outils de
l' infonnatique .
En acoord avec ses stati:Its, le curr, rraftre d'oeuvre des activités
infomatiqœs, est autonorre vis-à-vis des facultés, dépend directerrent
du P.ecteur de l'Université.
Pour répondre efficacerœnt aux besoins croissants de la collec-
tivité universitaire, ce centre de calcul fonctionne par objectifs spécia-
lisés depuis le jour où la charge nous a été oonfiée de le rranager.

-
I l -
ce oui expliqœ sa structure en trois divisions. ces divisions englobent
ses activités :
- d'enseignerrent et de fOI1T'ël.tion ;
- de recherche en infomatique appliquée
- d'autanatisation œ
la gestion administrative de l'Université
et de ses œntres oonnexes ;
- ce développerrent œ logiciels spécifiqœs de serviœs et œs
travaux d'études d'infomatisation.
Gr✠à ses activités constantes, le curI dispose des élérœnts
probants pJur a~préci.er l'utilisation actœlle œ l' infomatiqœ par les
cherd1eurs et les divers besoins qui oontinœnt à se manifester
- dans le dcmllne de la docurrentation scientifiqœ ;
- dans le daraine de la recherd1e rrédicale (génétiqœ, biorrétrie)
- recherche linguistique (HA, CERAV) ;
red1erche éoonorrique (CIRES, CRAU, Faculté œs Scienœs EooIX>miqœs)
Eaui
t
.--~
En ma.tériel le curI disposait ce cEux mini-ordinateur
• (1)
- d'un ordinateur MITRA 15 (THCM3CN-SEMS année 1976) cE :
- 64 Ko ce rrérroire
- 10 oonsoles oonversationnelles en Basic connectées au Mitra 15
pour l' enseiqnerrent
~ (2) - d'un ordinateur Mitra 125 (année 1979) cE
- 384 Ko de rrércoire
- oonfiguration œntre œ calcul
- lecteur de carte ;
- dérouleur de bande
- unité œ disque arrovible;
- .irrprima.nte 6001/rm ;
- un traœur de cow::bes BENSON
- rœ.tériel de saisie
à cartes p3rforées ~

-
12 -
- 5 perforateurs IBM029 (armée 1973)
1 vérificateur IBM029 (armée 1975).
..
ces équip=rrents pour la plupart ont atteint leur seuil de Vie
et sont depuis l' armée universitaire 82-83 inadaptés, obsolètes. L'arrêt
d'exploitation de ceux-ci est définitif. Le watériel de saisie est, par
exemple déliquescent et, par ailleurs insuffisants.
ce passé catastrophigue en ressources inforwatiques, illustre:-
rai t davantage l'acceptation des différentes solutions que nous nous escrirrons
à apçorter dans ce danaine.
A l'opposé de ces difficultés watérielles, les utilisateurs sont
multiples, variés, disper,sés et pJur la plus grande Part, irrléperrlants les
uns des autres. Quelles ::;'':)nt les solutions qui s' iIr{x:>saient à notre niveau,
fX)ur la conduite de nos missions ?
~ Ï\\ous avons incité les tentatives individuelles d'équipements
en watériel mini-"--ordinateur ou micro-ordinateur au sein du carrpus univer-
sitaire ; ce faisant aucune consultation i sérieuse n'a été entretenue Par
les centres concernés auprès du CUI'I J.=Our une harrronisation des équipements.
Pour réporrlre norwalerrent aux besoins des traiterrents inforwatiques,
nous avons réussi la négociation de l'allocation de ressources inforwatiques
au site de l '<X:M (Office centrale de lat·1écanograpu.e). Auprès de qui,
le curI est l'unique Interlocuteur J.=Our toute l'Université. Le curr gère, orga~
nis~- ~ 'utilisation des J1eures machines de l '<XM, depuis les travaux ''batch''
des étu::liants à ceux des chercheurs des différentes Facultés. Les travaux
de ~estion du Centre sont ainsi transférés à ce site. Une navette, quatre
fois Par jour est assurée par les services du Rectorat sous le contrôle
du curI.

-
13 -
· Pour répoOOre à la mission d'enseignerœnt, la solution a été
de proJX>ser un nouvel équipement des salles de travaux assistés par ordinateur
(initiation à l'informatique). A ce jour et ce, depuis septembre '1984, le
rratériel de l'enseignement se cortl:JOse de :
- 8 micro-ordinateurs, coupil 3PC, de 320 Ko méroire sous MS,/IX)S
et MSjBASIC.
- 1 IBM-PC, extension XI', de 512 Ko mérrDire
-
l disaue dur de 1 t1EGA octet, pour les travaux de l'analyse
de données.
Le c;oupil 3PC est un matériel orienté vers des applications
de cormu.mication, corrpatible avec le PC.
· Pour!pall;ier
à ce manège de navette quoticli-enne entre l'Univer-
sité et l '<XM, notre proposition en date du 16 Décembre 1983 a trouvé
l'agréerœnt du Recteur, celle d 1 un PDCj et de liaison télératique CCM-
Université. Les étudeS de faisabilité tenninés, le financerœnt est en oours;
• Dans la p:mrsuite de l'exécution du Blan National Inforrratique,
des solutions nouvelles sont à rechercher dans le sens ,de la politique
.
:
d'inforrration de l'Université. En irraginant ce que pourrait être l' inforrra-
tique dans ce secteur d' activité dans un avenir proche, l' adé:::fuation de nos
missions aux objectifs principaux évcqués ci-dessus justifient notre préoc-
cupation, celle d'intégrer l'espace de cOTlmmication télératiqœ.
Toutefois les dispositions matérielles de l'existant du campus
ci-après énuméré et la progrëllT[l'lëttion à court terrre des investissements de
l'Education Nationale liés à l'application des schémas directeurs en cours
d'élaboration, nous ont arrenés à adopter une démarche pragmatique en trois
étapes d'un objectif unique, celui de la mise en place à tenre d'un réseau
hétérog-ène autorisant la circulation de l'inforrration tant pour les mises
à jour que pour les oonsultations, ce qui constitœ de fait l'OUVERI'URE D'UN
CEt."TRE SERVEUR DE SERVICES TELEMATIQUES à l'Université.

-
14 -
Les étapes de développement de notre dérrarche sont
Etape-l.
.-.
Réseau spécialisé homogène entrainant l'installation de grappes
de terminaux dans les centres de recherches et utilisateurs
prioritaires
Etape-2.
Ouverture de ce réseau aux utilisateurs équipés de matériels
permettant d'atteindre notre serveur par un service cx:mnute,
ce qui suppose la disponibilité d'un réseau Transpac ;
Etap8-3.
Int~ion d'un réseau hétérogène.
La présentation détaillée de ces étapes fait l 'cbjet du
chapitre III en aval.
Entre autres, il faut reconnaître que l' infonnatiqœ d' aujourd 'hui
se présente canrœ le point de rencontre de toutes les technologies électro-
niques : téléf:hone, satellite, etc ... , elle igrnre les frontières et camande
par voie de oonséquence une révision de certaines m::xlalités pratiqlues Ge
voisinage et de oormn.mication. ceci pour expliquer que l'explosion des
Petits rroyens de traitenents des données, nécessaires aux activités scienti-
fiques [:our la plupart des centres ne doit pas privilégier le cloisonnerœnt
de ceux-ci nais au oontraire rationaliser la canmunication entre eux.
Il Y a lieu de prendre toutes dispositions util~ pour jouer la
"carte de la communication". C'est à ce titre que nous avons la lourde
res[onsabilité à partir des ressources technologiques existantes voire
réseaux d'infrastructures de télécamnunication, de l'informatique, des parc
d'ordinateurs et des micro-ordinateurs, d'oeuvrer pour la mise en place des
seIVices de la télématique pour une rreilleure utilisation de nos ressources
universitaires et nationales.

-
15 -
Toutefois dans le cas précis de l'Univeristé, différentes ressources
dl infonnations sont disp:mibles dans les centres de documentation et de
."
recherche" C'est ainsi qu'une masse inportante de données; "accessibles
difficilement, transite à la bibliothèque de l'Université. Nous denanbrons
15 000 dOCUIll2l1ts bibliographiques sur la Côte d'Ivoire, divers livres et
docmrents de presse et périodiques, disseminés çà et là dans les rayons de
la bibliothèque.
Au centre Ivoirien de Recherches Economiques et Sociales (CIRES)
toutes les infonnations sur l'agriculture, l'économie rurale, la politique
de corrmercialisation des produits locaux, etc...
sont à peine exploitables
encore rroins d'être carmuniqués.
A l'extérieur du Campus universitaire, la ban:Jue de données socio-
éconanirrue (BœE) et celle des services administratifs (BDSA) présentent un
intérêt indéniable aux chercheurs et décideurs de toute provenance.
Au deIœurant l'équation de notre investigation inca.me deux inconnus à
résoudre pour atteindre l'objectif visé ci-dessus. ce sont :
- l'organisation de l'ensemble d'éléments informatifs en bases
d'informations accessibles aisément ;
- concevoir et rœttre en place le réseau télématique.
1. 2 -
LES TRAVAUX DE REOIERCHE
Les travaux de l'étude, comœ nous l'avons déjà mentionné s'oriente
sur deux axes complémentaires.
Dans un premier terps s'activer à l'organisation d'un ensenble
d'éléments informatitifs, banque de données Cloc1.mentaire. En effet l'appella-
tion de base ou de banque de données reside dans la quantité d'informations
à organiser, à structurer.

-
16 -
Il serait opp;:Jrtun de rous attarder à l'organisation théorique
des bases de données, la structure des rrodèles, afin de d.êgager aùtant que
faire se reut le rrodèle docuIrentaire, objet de rotre préoccupation.
t-.üus peI150ns que rotre point de vue est suffisarrrœnt souple et
porte davantage sur les rrodèles de données, la structure des données p::>ur
les raisons qu'il convient d' exposer .
Toute base de données présente une structure (ARI'80). Les auteurs
sont en général d'accord pour considérer que la présence d'une "structure
de cbnnées" est la caractéristique principale d' ~ base de données (ULI.M80),
(BCVI77). cette structure est conçue en fooction des problèmes à résoudre
du rroins dans les systèIœs existants. L'importance de cette structure est telle
qu'elle affecte inévitablerrent les autres parties du rrodèle. C'est ainsi
qu 'm rrodèle conceptœl iIrprirre certaines contraintes aux langages de l'utili-
sateur. Il est admis de dire qu'au vue d'un langage de descript,ion, l'an est
en IreSure de préciser de quel rrodèle il pourrait s'agir : hiérarchique,
réseau, relationnel. Ainsi chacune de ces techniques existantes caractérise
un type de rrodèle de données ..
Faut-il roter que c'est au niveau de la structure de cbnnées que
l'administrateur des données exprirre toutes les caractéristiques du Fbéoo-
mène rrodelise rotamTent les contraintes d'intégrité, de sécurité qui OOivent
s'appliquer à l'enserble de la base (rrodèle oonceptuel) .
En résumé un rrodèle de données assure la description des inforna-
tians et, de plus précise les traitEments qui seront possibles. Les données
sont décrites à l'aide d'un langage de description de données (lDD). Le ll1D
est celui de la rranipulation des données.
Dans un deuxièIœ temps disséquer les techniques rouvelles que
sont les réseaux télématiques de transmission de données.

-
17 -
Dans ce chapitre nous aborderons le détail des problèrres et les
contraintes inhérentes à la mise en place d'un serveur télÉmatique
.'
La prcblérratique de départ c'est-à-dire
- le réseau de comnunication
-·Le rratériel
- Le logiciel
- Les ressources diverses
La problématique d' arrivée :
- Ensenble des services télématiques
Produits universitaires
M=ssagerie et autres.
cette partie œ l'éttrle ne présente pas seulerrent un intérêt purement
de red1erche, rrais va au delà, car la technologie de l'inforrna.:tion de nos
jours a la capacité d'améliorer et d'autoriser l'accès aux connaissances
hurraines stockées, aux docuIœntations diverses, a œs renseignerrents utiles
à nos préoccupations. Citons pour la circonstanCe le désir des français œ
savoir ce qui se passe dans l'économie de la Côte d'Ivoire, une ban::rue de
données socio-économique, type BœE à l>bidjan pourrait les satisfaire ;
de rrêrre si les Ivoiriens pensent savoir un petit peu ce qui se passe dans
\\ID donaine précis en France ce sera une ban:jue de données en France qui
fX)urrait répondre à cette question.
ce petit exemple rret en oeuvre tout un mécanisrre médiatique,
télématique que nous nous engageons à étudier afin de dégager une méthode
de mise en oeuvre ou d' inplantation.
Nos pays en développerrent ont tout à gagner de l' apParition de
ces techniques qu'ils doivent nécessairerrent rraîtriser pour dévelopr:;er
leurs connaissances, leurs qualifications, leurs expertises. Cl est à cette
fin que se situe notre contribution évoquées au Paragrar:he 1-4.

-
18 -
conne aboutisserœnt aux travaux de recherche, la solution du
prdJlèrre exposé prêcéderrrœnt consiste non seulerrent à construire une base
de fonds dccumentaire et la mise en place d'un réseau de' conmuni.eation
..
(Fig l .1) , nais encore à inplanter un centre de service télématique devant
penrettre à tout utilisateur d'intégrer un volurœ d'espace infonnationnel
partagé par les commmicants.
Réseau de
,Système
Infonnatlque E
Système
InforT1U3tlque 0
Système
Informlltlque C .
Système
Informatique A
Système
Inform~tlque B
FIGURE
1.1
EXEMPLE
DE
RESEAU TELEMATIQUE

-
19 -
ICN
rrotivation se présente sous deux aspects qçmplérrentaires ;
Â"~
DE L'UNIVERSITE NATIONALE.
ra~ler que la Côte d'Ivoire possède un plan national
informatique cohérent avec des obj ectifs précis, des
ées et un horizon terrporel bien défini.
ce développerœnt de l'informatique, se pose à l' Université
a rraftrise de la science informatique mais encore celui de
nnel pour un rreilleur renderrent de ses activités de recher-
~tation diverses. Aussi, l'informatique est-elle devenue
kmsable à la recherche. '!but ceci milite en faveur du thèIœ
qui fait partie intégrante des préoccupations pratiques à
1
l'Université.
=-fet,
il n'est pas trop patent qu'en absence d' \\ID système de
ure organisé, structuré, la recherche docurrentaire s'exerçant
l' ~ centre d'intérêt infonna.tif donné, procède d 1un exercice
le plus est prohibitif en tenps. 'Ibutes les personnes devant
bibliograrnies précises sont confrontées à ce genre de
ltendra par recherche docurœntaire 1 l'enserrble des techniques
~rrrettant de sélectionner l'infornation au sens large, dans
~ntaire structuré, en fonction des critères de recherche

-
20 -
1
fSFACITON D'UN TRt\\VAIL CONCREr D' UITLITE IMMEDIATE
1somœs convaincus de l' exploitation irrmi.n~te du. résultat
~ nos trauaux. La nécessité de la recher'che -soUffre d'un
l'expression des besoins est fortement exprimée et programnée
rans le schéma directeur d' infonnatisation /de l' Univeristé.
is de la théorie apprise au oours de nos différentes étapes
auréolée de l'expérience pratique de plusieurs armées, en
es d'études dans des pays à la pJi nte de la technologie
notre rrotivation profonde serai~~pass~~à la phase des
•.~~ ./
", 1.';=--:",\\
A.TIVITE CCNCREI'E d'utilité publiq6é\\., >
\\ ~~;.
'-~"
)
(:)i:
;
-"<. fi;,
~/ '"
/,,/ ,tr,J!
•.ç,?
----.--~
"• .IJ
...
idée d'être utile dans cette voiè'<:1~~.5~J!-Uibutiona l'effort
,ion nationale, nous nous pernettrons de pararnraser VOLTAIRE
:st notre rreilleur ouvrage".
rrION
>eut-on se sitœr dAns le dc:m:ùne des recherches' portant sur
fonnées, barques de fonds docurrentaires et celui des réseaux
~e premier point, notre oontribution est sûreIœnt d'ordre
.e de rrettre à la dispJsition d'une conmunauté en voie de
notre savoir faire, notre créativité. Nous apportons en
. la recherme universitaire, ou encore à la recherche docu-

-
21 -
données, inpressions bibliograpliques entre autres. la oonsultation des
ban:jŒs de données .htérieures et extérieures de la Côte d 1Ivoire à partir
de l'Université ne serait plus un rève mais une réalii::ë œchniquernent
q:Jérationnelle.
Nous pensons que l'outil qœ nous mettons au point devrait aussi
rendre noins augu le problÈme de dialogue horre-rrachine :
- En penœttant à l'usager de fournir à l'ordinateur des brides
de renseignements élémentaires sur le genre de représentation de son
centre d'intérêt et que pour chaque mise en oeuvre du dialogùe il sur ne
de
cœpléter une équation docurœntaire
- En penrettant entre autres, d'interroger ensemble plusieurs
infornations de genres différent3. Deux corpus documentaires par e}<ET.ple
conçus indéPendarnrœnt, et dont les genres différentl
peuvent être dans
un certain cas CCll:TI['(B deux parties d'une information unique. Les derrandes
d'interrogatioh de ces deux infonrations peuvent être alors exprimées
et traitées en une seule fois~
Un certain norrbre d' étud.es antérieurep ont plus ou noins
abordé le thèrœ d'informatique docurœntaire (IRIA7l), d'autre de recher-
che docurrentaire autcrnatisée (BARR82)
(VOOI'7l)
(HIOC70) (LOUB79). Certains
travaux de thèse ont po'2té uniquement sur la gestion autcrnatisée des
périodiques ou les perspectives d' autcrnatisation de la bibliothèque
d'une Université (DAUM72).
Il va s'en dire que le problème de la recherche documentaire est
suffisarrrrent perçu dans tous les pays du nonde universitaire. Ainsi a-t-il
été abordé notamœnt :
- Au canada, à la bibliothèque de l'Université de UVAL, où a
été autcrnatisée la recherche docurœntaire dès 1964 (VARE67). Une révision
récente de cette autorratisation donne beaucoup plus de satisfaction aux
chercheurs et assimilés i

-
22 -
- Aux Etats-Unis, l'Université de San Diego dans l'état de
Californie, un systèTe très opérationel fonctionne depuis 1961 ~WALL71).
- En France, le systèrre AMPERE (TH0M68) de la bibliGthèqœ
,"
du centre de docuIœntation du C N R S
très sophistiqué pennet l'édition
des bulletins signalétiques.
Dan-s les travaux de l'équir:e de l'IRIA cités ci-dessus, la
rrajeure partie des problèIœs de la documentation automatique, ceux des
entrées et sorties constitœnt un premier bilan sur ce sujet.
Dans la plupart des approches similaires, les auteurs ni ont pas
traité le problèIre de la carnnunication des ensembles informatifs automa-
tisés dans le domaine télématique.
Notre préoccupation est double et va au-delà de la simple consti-
tution des enserrbles d' inforrœ.tions autorratisées (barqœs de données) .
le réseau télérratique est une techniqœ nouvelle (t'DRA78) fXlur
bien des pays. la documentation est rare. les quelques ouvragies principaux
abordant le sujet relèvent plutôt du donaine de téléccmmmication (GlRA78).
la plupart des inforrœ.tions relatives aux réseaux télérratiques sont à
rechercher de façon disparate dans les revues de presse scientifique tYF€5
AŒ lv'lini micro, 01 Inforrœ.tique, Monde Inforrœ.tique etc ...
certaines tentatives de réflexion en cours en France ne FOurraient
être opérationnelles qu'à l'horizon 1986. C'est le cas du projet SCRIBE
(Systèrre de Ccnmunication et de Réseaux Informatique et Bureautiqœ / Evolutifs) .
Ce proj et foUJ:TIira par expérirrentation, des critères de choix pour "le
systèrre bureautique futur. C'est dire qu 1 à l'i.nB.ge des bureaux d' aujourd 'hui
équipés de téléphone, ceux de demain seraient tous probablerœnt équipés
de terminal de cœrnunication.

-
23 -
Il n'existe pas à praprenent dit des spécialistes concepteurs
de réseaux télématiques. La recherche suit son cours ..C.'êst ainsi qu'une
fonnation au métier de conc~~pteur médiatique, lm autre danaine -de :La
cxmnunication vient d'être proposée sur le rrarché des enseignerrents.
Nous estirrons que notre étu:1e pernettrait de mettre en exergue
l'intérêt des réseaux de ccmnunication des données et les prob lèrres inhérents
à la mise'en place d'lm réseau télématique.
Ainsi nous pensons apporter des élénents de réponse aux questions
que se posent les responsables infonnatiques eu égard à la nouvelle tedmo-
logie qui fait la jonction des tedmiques infonnatiques et celles des
télécommunications.
"

-
24 -
Les travaux s'articulent autour de six chapitres
Le chapitre l ou l'hypothèse générale des travaux, pose la
prcblérratique des études à mener et mesure en filigramne la contribution
de la recherche, l'apport réel des objectifs de ce rnérroire.
QTAPITRE II
D2 façon prérronitoire, ce chapitre fait l'étude des ooncepts
de la télérratique, expose les connaissances indisp=nsables nécessaire à la
conception ou à la mise en oeuvre de la télérnatiqœ : réseau télématiqœ,
notamœnt qu 1 est-ce la télématiqœ ? Par quelle structure matérielle infor-
matique peut-on autoriser ou "inplanter" l'échange de message ou d' infor-
mation entre différents utilisateurs ?
Toutefois, tenant carpte des cbjectifs à atteindre, ceux de
la mise en ceuvre de la télématiciue à l'Université Nationale de Côte
d'Ivoire, il est plus qu'indispensable de connaître l'infrastructure
ivoirienne dans ce danaine. Ce paragraphe complète la deuxième Partie
de ce chapitre.
ŒAJlITFE III
Le chapitre III est celui de la conception du réseau télérnarique
à l' Université d'Abidjan. Apparemœnt dans ce dc:.m:U.ne, il n'existe encore
aucune méthode.Ï'Dus décrivons da"1.S ce chapitre notre procédure de conception,
une méthode
de mise en oetNre de l' ilnplantation de réseau télématiqœ, les
différentes étaPes de son développement. La phase d' ilnplantation intègre
l'existant afin de mieux saisir les enserrbles. Car rrettre en place de
nOl.weaux rroyens de cc:mnunication est une opération qui irrpliqœ tout un
environnement et interagit sur de narbreuses structures existantes.

-
25 -
ce chapitre se tennine par le coat c'est-à-dire l'évaluation
financière de CESI'U, centre Serveur Télém:ltiqœ de l'Université
et l'esti.ma.tion d ' u t i l i s a t i o n . "
ŒAPITRE IV
Dans ce chapitre, nous poursuivons la Cünception et réalisation
des différentes bases du fonds docurrentaire, premier service attendu
des utilisateurs de CESTU dans la suite du prograrnrœ de développement
de l'exploitation de la télérratique à l'Université d'Abidjan.
œ;.PITRE V
Ce chapitre traite de l'utilisation de la télérratiqœ
dans sa gênéraJ.i té. Al' évidence le besoin de faire part des lX'ssibilités
multiples de la télématiqœ est à l'origine de ce d1apitre. En effet,
une telle technique recèle des apJ=Orts divers qu'il Cünviendrait d'illustrer
par des exemples Cüncrèts afin de déclencher chez ces utilisateurs incan-
pétents en_ la Inéttière son utilisation. Nous avons jugé utile dans ce cas,
d'éveiller les esprits à la discipline et au contexte de la oammunication,
et d'appliquer la télérratiqœ à l'éducation, à ladocunentab,.on pédagogique
en d'autres ternes à l'information et à la formation générale.
Dans la nesure où les responsables des centres et divers
sendces auraient pris conscience de l'outil technologique, alors nous
}?Jurrons faire confiance à cette "intelligence qui irragine" chez les
oomœs qœ le réseau aurait rapproché }?Jur découvrir cha.qœ jour de
nouvelles }?Jssibilités.
CHAPl'mE VI
Ce chapitre est la conclusion des travaux effectués et des
di5PJsitions fonctiormelles nécessaires à la bonne utilisation de
l'outil télérœ.tique dans ce secteur en dévelOppEment.

-
26 -
II - LA TELEMATIQUE
Dans ce chapitre nous nous proposons d'~ne ~art d'étu-
dier les concepts de base de la télérratique, d'autre part d:1-expJser l' en-
ble des cormaissances nécessaires ou celles à acquérir pour appréhender
l'implantation d'un tel système.
Il est clair que les conséquences que peuvent avoir
l'implantation et le développement de la télématique,
technique
de télécommunication et d'informatique seront d'autant mieux
maîtrisées que les critères seront mieux connus au niveau de
leur conception, de leur principe d'utulisation fonctionnelle et
de leurs possibilités techniques.
D'abord qu'est-ce la télématique? le réseau télématique?
La télématique est définie comme :
-
Un ensemble des techniques et services permettant
à des usagers d'obtenir et d'exploiter des informations sur leur
demande
( PUJ08S)
- Une synthèse des deux techniques les plus importantes
l'INFORMATIQUE et les TELECOMMUNICATIONS
(VUIT .:s2)' 1
- Un néolosisme crée par SIMON NORA et ALAIN MINC dans
un rapport sur l'informatisation de la société, pour exprimer le
couplage de l'INFORMATIQPE et de la TELECOMMUNICATION (NORA78).
Toujours est-il que la chose a existé avant le mot i
qu'on l'appelle télématique ou d'un autre nom,
tout porte à croire
que le phénomène dominera avec éclat la décennie qui a commencée.
L'essor qu'on lui prédit de toutes parts s'inscrit dans les muta-
tions extrêmement importantes de notre vie, dans la manière de
l'utiliser et surtout de communiquer entre les hommes entre
l'homme et son environnement.

-
27 -
A propos de cette décennie,
i l faut se remermorer la
celèbre étude
(NOLA79)
sur l'évolution de l'informatique dans
les entreprises. R. NOLAN a montré que cette évolution comporte
...•
.
schématiquement six grandes étapes
FrAPES
0)
( 2)
(3)
(4 )
(5 )
(6 ) - '
I~TrIATION
CONI'AGIO~
CONIroLE
:INI'EX;RATION AlliIMSTRAT MATURITE
1---
DES DOri.M.I:S
.- ,,-
...
.. ~
~
.,,-
...
. /
C.,estion
de la wachi e
nJiées
. /
Ge stion des de
'"
- - ~
" .
---
,.
.-
--
-
.dép§"n e informati 1Ue
.-
,..-
,
'oll.-.t----------------....~ ....'-------------_;\\~~
Années 60 à 70
Annees 80 a 9u
Figure 2.1 - L' EvUUJl'IO~ DE L 1 INFDillA.ATIQCE DMS LiS LN'l'Rl.PRISES
l
La figure 2.1 montre l'importance des enjeux dès les
années 80. Les grandes axes de développement de l'informatique
qui se dégage de cette étude reposent sur une base commune celle
de l'existence d'une INFRASTRUCTURE DE COMMUNICATION ADEQUATE:
. les réseaux de communication ou encore réseau télématique. Ceci
dénote l'intérêt et l'importance entre autres des bases de données
qui ne sont pleinement justifiées que si un système de communica-
tion en ouvre l'accès au plus grand nombre d'utilisateurs, qu'ils
soient à proximité ou à des centaines de kilomètres de distance.
Le dénominateur commun de la décennie à base de com-
munication adéquate est le besoin de communication plus large,
plus rapide,
plus facile entre les qens dans l'entreprise, entre
les gens dans le monde, qu'ils utilisent un terminal, un

-
28 -
micro-ordinateur,
un ordinateur ou une station bureautique.
Réseau de communication est bien le nom de cette infrastructure
de communication voir figure 2.2. Laquelle infrastructure conjugue
.'
l'informatique et la télécommunication qu'on désigne sous le
vocable de télématique, indispensable aux nouveaux modes èe
communication de nos jours.
Les techniques de télécommunication ou communication
à distance,
système de ce nouvel outil, apporte l'infrastructure
de base, assure le transport et l'acheminement de l'Information
entre utilisateurs. Quant à la manipulation de l'information
elle relève de la technologie informatique.
Toutefois,
l'ensemble des liens reliant les utilisa-
teurs constitue le réseau,
réseau télématique dans le contexte
défini. On distingue:
,
-
le réseau commute ou liJison commutée ;
-
le réseau spécialisé ou liaison spécialisée
(LS).
Il n'est cependant pas exclus qu'un réseau télématique
est un système complexe de services et de techniques permettant
à des usagers d'obtenir et d'exploiter des informations
(DOLL78)
L'analyse des caractéristiques de cette technique fait
apparaître l'architecture du réseau répartie en deux ensembles:
- La structure du réseau ;
- Les protocoles de communication,
l'établissement
d'un ensemble commun de règles à appliquer.
II.1 -
LA STRUCTURE DU RESEAU
La structure du réseau est la façon dont sont organisées
les différentes fonctions du réseau. Ces fonctions sont nombreuses,
mais pour ne pas nous perdre dans leur complexité, retenons que

-
29 -
..
: -,\\
TRAl'iSFAC
Reseau ne cornnunica-cion
~
Figure 2.2 - UFRJI.5TRu::::ruRE DE CDMMUNlCATION
o Cormutateurs
( )
Organe de surveillance
canaux rapides
~
Lignes de raccordement
~
1

-
30 -
tout système télématique a fondamentalement deux rôles à remplir
voir figure 2.3.
-
permettre deux utilisateurs de commuI1iquer,· de dia-
loguer c'est-à-dire d'échanger des messages,
fonction pe com-
munication.
Il faut attendre par utilisateurs les abonnés
du réseau.
-
assurer l'acheminement matériel des messages entre
les utilisateurs. C'est-à-dire transporter les données ou messages
d'un bout à un autre,
fonction de transport.
Utilisateur A
o:mtrôleur
Ut il i sat E'11F
contrôleur
d
de réseau
e r~seau
MXl.em
Mcdem
Message
.~ .. 0
CJ--i~es
Transport Physique
~iL
J~
Communicat ion~ique
Figure2~-3 - FOt-Cl'IONS CE CDMMUNICATION I..ÇGI~ E.T DE. 'IRANSPORI' PHYSIQm.
Les utilisateurs A,
B, C, . . . . abonnés du réseau peuvent
être disposés de plusieurs manières dans le champ du réseau
télématique. Le réseau a un type de structure topologique que
nous allons examiner. La topologie est certes importante dans
l'organisation du réseau;
plus que la topologie, c'est la
méthode d'accès au réseau qui prime.
Il existe deux grands types
d'accès au réseau
(CLARK78) (ANDE7 5)

-
31
-
1. Le CSMA/CD
: Carrier Serse Multiple Accès Collision
Detection.
Dans cette méthode le problème de risque de collision
des informations est permanent. En effet,
l'oidinateur A envoie
par exemple un message ; B peut aussi faire de même quelques
secondes plus tard; d'où risque de collision. Si toutes les
stations émettent le réseau court le risque d'être bloqué.
2. Le jeton
Cette technique évite la collision.
Il s'agit ici d'un
volet spécifique qui permet de s'assurer que la voie est libre
avant l'envoi du message. Le bon état de fonctionnement de ce
réseau repose sur le bon état du jeton.
Comme ci-dessus, ces deux types d'accès au réseau
ont pour rôle de définir de quelle manière les stations vont
émettre les informations sur le réseau-et reconnaître celles
qui leur sont destinées.
Le choix de la topologie d'un réseau ou l'art de faire
des noeuds consiste à opter pour un type de structure d'implan-
tationdu réseau. Une littérature peu fournie dans ce domaine
fait état de trois types de structures rencontrées autant chez
les constructeurs que chez les sociétés d'ingenering ..
II.l.l. -
LA TOPOLOGIE EN BUS
(voir figure 2.4.
En ce qui nous concerne, un "bus" peut être simulé
à
une autoroute de part et d'autre de laquelle s'organise les
stations ou noeuds utilisateurs ou abonnés. C'est la plus simple
des configurations. La communication est faite en série. L'infor-
mation ou le message peut circuler dans les deux sens et diffuser
y
L
"
....
Jj
,
~ i
.~

-
32 -
dans les noeuds recepteurs du réseau. Ces noeuds reconnaissent
leur propre adresse pour recevoir le message; c'est la technique
CSMA/CD. L'exemple de réseau en bus est le réseatl. ETHERNET de
,QIi. U/
XEROX. Un des avantages de la topologie en "bus" est son ,extension
réalisée par ajouts de tronçons de cables reliés entre ëux
avec des recepteurs pour amplifier les signaux transmis.
noeud
de station
Noeud de
Noeud de stat ion
d'utilisateur
service
ut il i satelJr
9
-_.__ _.__
.
..
.~-~_._
1
--_ .. -..-.------L...-----r----------.....L_--r_
~fo--.-.--~--
i
1
Noeud
Noeud
~igure 2.4
mFOIDGIE DE RESEAU EN "BUS Il •
II.1.2. -
LA TOPOLOGIE EN ANNEAU
(figure 2.5.)
1
J
Dans cette configuration de réseau,
les noeuds sont
connectés sur une boucle fermée
(anneau).
Il existe un sens
giratoire, et l'information ou message fait le tour de l'anneau.
Chaque noeud de cette structure joue le rôle de répéteur. Ce
1:
sont des noeuds actifs.
Le réseau en anneau peut avoir un noeud privilégié de
cOnstrôle dans ce cas, on parle de réseau en boucle.
Le fonctionnement de cette configuration fait appel
à la méthode dite de "jeton" pour la réception ou emission de
message. L'exemple de cette topologie est le réseau S.N.A., le
cheval de bataille d'IBM.

-
33 -
N01:: 1.1 d de-. controle
~

.
1
,-
l,
~
11'"
(
Stati ~n
util isa E~
----------------)-
NOEU rl
NOEUd
Figure 2.5 - RESElm EN Pl\\lt\\ŒAU
II.1.3.
- LA TOPOLOGIE EN ETOILE,
figure 2.6.
c'est la configuration la ~lus compliquée, calquée
aisément sur celle du réseau téléFhbnlsue .
Pour le principe toute
communication entre deux noeuds passe obligatoir?ment par le
noeud central, commutateur vis-à-vis de l'ensemble du réseau.
La menace qui pèse en permanence sur cette topologie
est la panne du noeud central. Dans ce cas,
les solutions élec-
troniques assurent
la relève.
Ce type de réseau est cependant plus économique, au
point de vue équipements et de dépannage.
Le réseau public ivoirien est de ce type d'organisation.
c=J
c=JSŒtwn
t ~ Utilisateur
~
aU
~o SŒtion
Utilisateur
-,

-
34 -
Autant que possible,
i l n'est pas exclu$ de concevoir
une structure de réseau qui combine deux types dejconfigurations,
l'une en bus,
l'autre en anneau à
jeton. Dans c~ qaS particulier
les priorités à observer pour interconnecter les deux réseaux
vont être la compatibilité des protocoles et le choix des
logiciels de communication. La figure 2.7 est un exemple de
combinaison de topologie de réseau.
r
- - f(1~('au m.a,uc
t~SCitu
.,
--
-
'-('T'I'lfl~t11 -
-
2.
Figure L..7 .- EXEMPLE D'UN r-DDELE COMPlEXE DE RESEAU
Au rang de ces considérations techniques de topologie
du réseau,
figure d'abord la nature du cable lui-même dont dépend
une bonne part l'indépendance des messages vis-à-yis des pertu-
bations extérieures et la vitesse du débit des informations qui y
transitent. La solution technique doit tenir compte de ce cable
qui comprend plusieurs variétés
. le cable coaxial
Ce type de cable peut véhiculer des informations
multiples et simultanées pour plusieurs types de stations et ceci
par tranche de fréquences
;
la paire torsadée
Ce type de cable est identique au fil de télé-
phone. D'un coût très faible,
i l supporte et véhicule des messages
de faibles vitesses. Sujet à des erreurs de transmission au delà
d'une distance de 100 m, i l est peu fiable;

35
. La fibre optique
~
C'est te cable idéal pour les li~nes ~e trans-
mission de données. La fibre optique est semble-t-il très
fiable;
supporte une très grande vitesse de transmission,
accepte toutes les variétés de communications. C'est cependant
un produit dont la maîtrise technique n'est pas encore sûre,
du moins à notre connaissance.
Cepèndant, sans pour autant être prophète,
le moyen
d'accès à
l'information dans l'avenir sera la fibre optique.
Elle permettra une quantité importante d'applications,
mélant
probablement l'image vidéotex interactives et consultatives;
un peu aujourd'hui comme les applications Télétel en France,
mais avec toutes les potentialités de son et de l'image
télévisuelle.
Pour revenir à
la topologie du réseau,
en sa phase de
conception,
le choix est fonction de certains paramètres notam-
ment la taille des centres utilisateurs,
le nombre de terminaux,
le nombre et la capacité des liaisons entre les différents
centres. Ces paramètres sont définis à
partir du
:
trafic prévu
nombre et position dés centres et des terminaux
d'abonnés.
En d'autres termes,
la structure du réseau est modulair,
c'est-à-dire qu'elle répond à une·configutation dynamique non
seulement quant aux centres mais aussi aux caractéristiques,
au type et au nombre de lignes.
II.2 -
LES PROTOCOLES DE COMMUNICATION
Nous venons d'étudier les différentes manières possible
de structurer ou d'organiser les entités du système télématique

36
L
OÙ des centres utilisateurs peuvent conununi'que;.,-!dîa)~·guer
entre eux,
échanger des messages,
des informations.
_Ce dialogue n'est possible qu'au détriment d'un
ensemble commun de règles ~ appliquer par les communiquants
les protocoles de communications.
De la même manière qu'en géologie,
on distingue dans
un terrrain plusieurs couches superposées de matériaux différents,
les protocoles de communication,
sous ensemble de la structure
du réseau télématique,
sont répartis en couches fonctionnelles
distinctes,
figure 2.7.
Noeud A
Noeud
B
:LI
3 J l '
3
r 4 1 n. -}.
[
n . . ]
4
1._ __
2
1
Fbnction de comn~
. . ------r<onct~on de
.
-
~-----...... .
.. .........--_:--
-
-=:-
. . ~
corrrnurucat~on-
cation logiaue
- - - - transrort fhys~que ~
.
-
log~~~
Par analogie à une entreprise moderne, divisée en ses
différentes fonctions de production
(finances, marketing, dis-
tribution . . . ),
le ,découpage du réseau en couches fonctionnelles
est une approche cartésienne revêtue de plusieurs avantages dont
celui
d'une mailleur efficacité de gestion et fonctionnement.
Ainsi toute modification dans
l'une des couches n'ébranle pas
l'ensemble de l'organisation du système.
Il est important de souligner que tous les noeuds
(abonnés utilisateurs)
du réseau capables de se comprendre
i ·'.

-
3'7 -
la même structure fonctionnelle et adhèrent à un
mmun de règles de fonctionnement. ' ~.
est ainsi qu'à l'intérieur d'un noeud chaque-message
lis d'une couche à la suivante par le jeu des règles
:ation entre couches
(interfaces). C'est le même
l'un système de commandes des écluses d'un canal pour
~r un bateau. Par contre,
le dialogue entre deux
entre deux noeuds,
nécessite en plus de l'existence
le communication les règles logiques de formalisation
~s, les protocoles de dialogue, figure 2.8.
Noeud B
_
- - - - - - f - - - - t - - - -
4
3
2
."
n ••
Interfaces
~
......
::>
"'>
-
~
-
~
""
.,,-
Go-- ~~
é--+---
-
-
- --/
1
J
; PROI'OCOLES DE
.COMMlJ!'.J-reATION
JES MODALITES DE COMMUNICATION,
LES COUCHES DE L'I.S.O.

-
37 -
prése~tent la même -structure fonctionnelle et adhèrent à un
1
ensemble commun de règles de fonctionnement.
c'est ainsi qu'à l'intérieur d'un noeud chaque message
sera transmis d'une couche à la suivante par le jeu des règles
de communication entre couches
(interfaces). C'est le même
principe qu'un système de commandes des écluses d'un canal pour
faire passer un bateau. Par contre,
le dialogue entre deux
abonnés ou entre deux noeuds, nécessite en plus de l'existence
du réseau de communication les règles logiques de formalisation
des échanges, les protocoles de dialogue,
figure 2.8.
Noeud El
Noeud A
n ••
4
3
4
n ••
2
3
1
Interfaces
-
--=-->
C
- -
~
~
1.
-
1
flrot oc 0 1 es _:---~-----------
Figure
2.8
- LES PRCJI'CXX)LES DE
CO~J:CATION
II.2.1. - LES MODALITES DE COMMUNICATION, LES COUCHES DE L'I.S.O.
La partie technique de la communication entre l'abonné
A et B est prise en charge dans la réalité par une "machinerie"
matérielie et logicielle normalisée par l'I.S.O.
(International
Standard Organization)
sous l'appellation de O.S.I.
(Open
System Interconnection ou mieux Interconnexion des Systèmes
Ouverts) et comprend sept couches
(figure 2.9)
dont nous avons
décrit les interactions de fonctionnement.
! :.

1
-
38 -
COUChE
Application 7
Présentation ;5.
~.
session -
-5
-----7---------
TransfX)rt
4
Réseau
3 t--------·----
Liaison
2
1
_
Physi<:'1le
SUP[Drt Fhysique
-_.__. _ - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - . _ - - _ . _ - - - - -
._0-
Figure 2.9.:... ·REPRESThiTA'I'ION DU fJDDELE; D' ARŒUTECIURE
1. S.O .
Ces couches sont définies et explicitées dans le
document de norme AFNOR
(AFN082). Nous allons présenter pour
notre propos des extraits explicatifs que nous interprétons
pour la bonne connaissance du réseau.
Pour le fonctionnement~ chacune de ces co~ches s'appui
sur les services offerts par les couches du dessous pour fournir
une valeur ajoutée, sous forme de services nouveaux à la couche
du dessus. Les fonctions principales des couches:
. COUCHE l,
LA LIAISON PHYSIQUE
Elle définit les caractéristiques électriques et mécani-
ques des cables de connexion. Cette couche est étroitement liée
à un ensemble de modules logiciels,
le plus souvent stocké en
mémoire morte ou dans les circuits intégrés définis à cet effet.
La connexion peut se faire par un modem ou par une jonction .
. COUCHE 2, LA LIAISON DE DONNEES
La couche 2 a pour rôle d'établir la communication entre
deux noeuds, gère les flux et les incidents de transmission de
données.
Elle utilise les circuits de données fournis par
la couche physique.
! :,

-
39 -
· COUCHE 3, LE RESEAU
Cette couche fait ce qu'il faut faire ~ourqu'une
'. .
.
information soit physiquement acheminée d'un système.source
à un système destinataire. Elle assure la fonction d'acnemine-
ment de paquets,
le routage des données entre les noeuds du
réseau.
· COUCHE 4, TRANSPORT
Ce niveau du modèle OSI est ce que l'on appelle une
couche de bout en bout pour un transport ëntre deux noeuds. Elle
assure la fiabilité et un ensemble de services d'emballage, de
déballage, de transcription d'adresse de messages.
· COUCHE 5, SESSION
Le terme de session désigne tradit~onnellement le temrs
passé en relation avec un ordinateur, exploité en temps réel.
Dans le modèle OSI, cette notion est généralisée à-la mise en
rapport entre deux entités. C'est la couche session qui attribue
le ticket donnant droit à la parole, délimite les rôles,
"purge"
les chemins de données des messages en transit, assure ainsi
la synchronisation entre noeuds.
· COUCHE 6, PRESENTATION
Cette couche assure l'interprétation des données, la
transformation des codes
(syntaxe, codage). Elle structure les
données échangées de manière qu'elles soient acceptées par les
noeuds récepteurs.
· COUCHE 7, APPLICATION
On trouve à ce niveau les interfaces et services qui
constituent les points d'entrée dans les programmes utilisateurs.

-
40 -
i
Elle comprend les programmes d'application avec leurs con~entions
d'échanges et de coopérations
: fonctions d'impression,
tiansfert
de fichier,
accès aux bases de données . . . Elle' .~s~r~ "égal:ement
les fonctions de gestion de réseau qui sont considérées co'mme
des applications particulières.
Il faut retenir que cette normalisation de l'I.S.O.
permet
de jeter des ponts entre tous les réseaux.
A ce jour les normes suivantes sont imminentes au
sein de lII.S.O.
schéma des normes opérationnelles
:
Niveau
Champ d'application des normes
7
j~
ï'
,
6
Ecma48
X29
5
Ecma75
X29M
-
1
4
Ecma72
X28
AFNOR
~!r
3
- - -
~
270 001
2
Hdlc
X25
1
V24 - V35 -
X21
,
~,
~1
CCITT,
ECMA voir glossaire
;
1
V24
niveau jonction inférieur ou égal à 12900 bp:; ;
V34
niveau jonction supérieur ou égal à 48000 bp:; ;
1
V21
niveau jonction + accès à un réseau de cornnunication de circuits
X29
corrm:mde de PAD par un serveur situé à l'autre extrémité du réseau
X29M : X29 modifié pour Videotex ;
m
1
X28
: commande du PAD par terminal i
r X25 : accès à un réseau de commutation par paquet.
ECMA
Ecma72 = transport
Ecma75 = session
Ecma48 = appareil type écran-clavier
HDLC = liaison de données entre deux machines
Niveau 4
transport,
i l existe à ce niveau des recommandations
expérimentales
;
Niveau 5
session,
ce stade a atteint le niveau expérimental
Niveau 7
est opérationnel le transfert de fichiers.
1'"
.If ~.~

-
41 -
La normalisation du niveau 6
(appareilp, se revèle plus
difficile à concrétiser, eu égard à la variété des terminaux
~
- .
que l'on trouve sur le marché. Cependant, compte "tenu du petit
nombre de fonctionnalités reellement indispensables pour ,un
grand nombre d'applications transactionnelles, nous pouvons
penser qu'un accord pourra intervenir rapidement si ce n'est
déjà fait sur la définition d'un poste de travail "écran-clavier-
imprimante"
de base.
Toutefois la généralisation d'une norme demande beaucoup
de temps,
les constructeurs doivent développer et les logiciels
et les matériels correspondants. Entre autres une norme est
souvent un compromis entre des intérêts diffé~ents, ces diver-
gences peuvent agir énormément sur les résultats. Bel exemple
vécu ces derniers temps est celui de la Cowmission Européenne
des Postes et Télécpmmunication qui a adopté en Mai 1981 un
standard européen,
une combinaison de PRESTEL
(système anglais)
et TELETEL (système français)
(GRAV84). Ce compromis politique
n'a pu déboucher sur aucune réalisation industrielle.
Ces remarques quoique dans la nature des problèmes
socio-économiques n'ont guère empêché les constructeurs de se
plier aux dispositions à observer vis-à-vis de la normalisation.
En 1982, plus de 20 constructeurs européens,
japonais
et américains ont adopté les couches réseau et transport du
modèle OSI
(LEB084). Les réseaux d'ordinateurs pourraient desor-
mais se communiquer entre eux et avec tous les autres réseaux
publics grâce aux protocoles normalisés.
Par ailleurs,
ceci permet à des systèmes informatiques
et à des réseaux étrangers de communiquer sans difficulté. Ce
qui ne peuvent pas faire à priori une unité centrale IBM, un
ordinateur BULL ou un terminal BURROUGHS surtout avec une
organisation réseaux SNA d'IBM, DSA de BULL etc . . .
.'

,
-
42 ~
Enfin, l'existence des no~mes de communication par les
constructeurs rend moins coUteux l~opération qui consisterait
à relier par exemple un terminal BULL avec une' u't)."i té- 'éentrale
de SIEMENS. De nos jours ces liaisons sont réalisées ~ar des
,
,-
passerelles ou "gateways" qui ont pour fonction de convertir
les procédures pour interfacer les réseaux héterogènes. Nous
nous acheminons dira-t-on vers un monde de constructeurs de
moins en moins clos.
Cependant, malgré les acquis des travaux de normalisa-
tion,
les paramètres techniques des réseaux voire temps de
réponse,
volume d'information à transmettre, sécurité, fiabilité
restent complexes et l'adéquation entre les besoins en communi-
cation et les moyens d'y répondre n'est pas toujours facile
à resoudre. Ce que nous nous proposons d'illustrer par un certain
nombre;d'exemples d'équipement en matériel réseau, moyen néces-
saire pour assurer autant que faire se peut lâ/dialogue entre
deux noeuds~ entre un utilisateur et un autre. Ces exemples
situeraient davantage les moyens ~n matériels et logiciels en
connaissance des principes du fonctionnement étudiés et consti-
tuent à notre avis un guide de la mise en oeuvre des réseaux
télématiques dans le domaine hardware de réseau de communication.
II.2.2 -
L'EQUIPEMENT D'UN SYSTEME TELEMATIQUE
Dans ce paragraphe, nous nous proposons de donner
quelques exemples de répartition d'équipements constitutifs
rapportè à un centre télématique,
répartition transparente à
l'utilisateur.
La difficulté est comment permettre des terminaux de
dialoguer soient entre eux soient avec des applications informa-
tiques et ce suivant plusieurs cas de figure.
L;.

-
43 -
. Nous nous situons àans un cadre de réseau téléphonique
bout en bout.
Ce dialogue .entre utilisateurs de bout en bout peut
"
être pris en charge de deux façons au niveau des fonctions
des couches
(voir paragraphe précédent)
à l'aide d'équipement
extérieur
(DOLL78):
a). Utilisation d'un adaptateur.
On fait intervenir un adaptateur sur chacun des lignes
raccordées au réseau téléphonique. Ce matériel est placé entre
le modem et le coupleur de transmission (figure 2.10). Cet
adaptateur a pour rôle essentiel de gérer l'interface et les
couches des fonctions des terminaux.
b). Utilisation d'un frontal
Au lieu d'un adaptateur on installe un frontal qui
aurait la charge de gérer les protocoles ainsi que les touches
de fonction des terminaux qu'il réceptionne
(figure 2.10).
La solution frontale est évidemment plus économique que
celle de l'adaptateur lorsque le nombre d'appels est très impor-
tant. Avec certain coupleur i l est possible de multiplier les
appels, rô~e similaire du frontal.
Dans la mesure où les produits matériels et logiciels
'du constructeur le permettent,
les adaptateurs peuvent être
réalisés au sein de l'hôte serveur ou de son frontal.

-
44 -
1
i
Coupleur de
M::xiem
Adaptateur
naux
Réseau
transnùssion
~
1
-
"
~'
.. ..
.
·Hote
Serveur
1
1
I l ~ Itrontal
. .
1
M:xiern
...,
~
Connex1on7
1
n
• Nous nous situons dans le cadre d'un raccordement
au réseau TRANSPAC.
Considérons pour ce cas un des terminaux 3270 d'IBM
dont la gestion au travers du réseau transpac est assurée par
un frontal.
Pour faire dialoguer deux utilisateurs, ou plusieurs
la première solution peut consister à faire appel à un concen-
trateur
(figure 2.11)
qui aurait pour rôle d'affecter la voie
de transmission:
La seconde solution peut consister en un frontal spéci-
fique supportant les terminaux au travers le réseau téléphonique.
Concentrateur
Frontal
Terminaux
privé
Bote
Serveur
x25
-0
X29
Réseau
télép10nique
Frontal,
sPecifique
Application
i '
0.,',

-
46 -
En vue des objectifs à atteindre de cette étude, i l
conviendrait de répondre à la question
: quëlles sont -les dispo-
sitions structurelles de la COTE DI IVOIRE en mat~ré.dé transport
ou de transmission de données ?
Pour son développement harmonieux,
le gouvernement a
su doter la Côte dlIvoire des moyens modernes pour la conduite
et la gestion du pays.
Parmi ces moyens et au regard de la forte croissance
de son parc ordinateur, les postes et télécommunications sont
de plus en plus sollicités pour la fourniture dlartères de télé-
communication à des fins de transmission de données.
Ainsi,
faisant suite aux besoins exprimés, IIOffice
Nationale des Télécommunications
(ONT)
a décidé de concevoir
,
et de réaliser en 1977 un réseau public de transkission de données,
SYTRAN : Système Transactionnelle. Ce réseau de transmission
de données SYTRAN a été ouvèrt au public en 1978.
II.3.1 -
STRUCTURE DU RESEAU
Le réseau Sytran a une structure étoilé
(voir figure
2.12). Llinfrastructure supportant le réseau Sytran est constituée
de liaisons spécialisées de type téléphonique de qualité
supérieure, reliant entre eux un certain nombre de multiplexeurs
temporels à deux étages
(synchrone et Asynchrone)
installés dans
les différents centres de télécommunication de la Côte dl Ivoire
(voir schéma de principe,
figure 2.14).
Dans une prem1ere étape Sytran est constitué de sous
1
réseaux distincts
;
leur connexion se faisant par un point commun
le centre Téléphonique du Plateau à Abidjan.
1..:." •.
L .:.
L - .~~:'..
f. ~; .-', .
li, ;"'"
~'-U, ";'~

-
47
-
KOllmass i
Cocody
o
.'
Km4
-~~
Km9
Plateau
Légende :
c=J
Multiplexeur asynchrone et synchrone du réseau
Liaison de qualité supérieure à 48000 bits/s
o
,
Centre de maintenance perme~tant la télésurveillance
permanente des trois sous réseaux et la relève rapide
des dérangements .
.FIGURE 2.12 -
SOUS REGION DTABIDJAN, SOUS RESEAU 1
~_
\\.~--
Bouak E
Korho90 [
E:<t €I1S Î on
San-PÉ:àro
o
Abidjan
Légende :
Liaison de qualité supérieure à 9600-bits/s
Extension envisagées ; Yamoussokro, Daloa, Abengourou
o Multiplexeur asynchrone et synchrone
.:
; .

-
45 -
Nous ne pensons pas avoir épuisé tout le panorama
des équipements matériels et logiciels de bout en bout.
Il
existe bien d'autres variantes ou les deux fonctions princi-
pales du réseau décrit au paragraphe précédent peuvent se
#
-
. ' .
localiser soient au niveau du frontal cas du videopac 200
sur Mini6 et Multi20 sur IBM série l,
soient au niveaù de,-
l'hôte serveur,
cas du frontal IBM 3705 et Multitrans sur
IBM 5370.
Nous venons d'illustrer matériellement le dialogue
ou échange d'information entre utilisateurs.
Nous pouvons no-
ter que dans cette technique de transmission de message tout
utilisateur cherchant à atteindre un autre site éloigné soit-
i l ou non du support télématique
(infrastructure de transmis-
sion), doit se plier à un certain nombre de contraintes maté-
rielles et logicielles.
L'accès physique au support se fait
par liaison de fils,
2 ou 4 selon le mode d'accès. Toutefois,
les jonctions des fils doivent respecter les avis du CCITT.
La différence de ces avis s'explique par la variété des vites-
ses de liaison entre les équipements. C'est ainsi que les
avis
:
- V24 et V28 sont pour les liaisons à 2400,4800,9600
19200 bits/s.
V35 pour les liaisons à
48 kilobits/s.
Au niveau des protocoles, signalons qu'on utilise'::'
les mêmes mesures de vitesse notamment 2400,
4800 ... 48000
bits/s mais seulement -les termes deviennent X23, X25 ... Seuls
les types de transmission et les organismes de normalisation
sont à l'origine de ces différences
les avis série V de CCITT pour la transmission par
téléphone
la série
'X' de CCITT dans le domaine des réseaux
publics de transmission de données.
II.3 - LE RESEAU IVOIRIEN DE TRANSMISSION DE DONNEES
La télématique que nous venons d'étudier les diffé-
rents aspects au par~graphe précédent associe à ne pas douter
l'informatique pour le traitement des données et les télécom-
munications pour le transport de l'information.
'~ ,

-
48 -
Abonnés
Abonnés
/ /
informatique
.-'/
â'état
/ /
. /
/ /
-'-'.".'.---.' . - - - - -:..-----------'
abonnés
BOUAKE
SAN
PEDRO
FIGURE
2 .14 SCHEMA DE
PRINCIPE DE LIAISONS
"
" ,-,,'
.','{"
li '"

- 4Q -
FIGURE 2.13 -
SOUS-REGION NATIONAL, isOUS RESEAU 2
A la demande des utilisateurs, des liaisons .de qualité
supérieure peuvent être établies pa~ faisceaux hertiens~ par
satellite ou par cable sous marins à des fins de transmission
de données entre la Côte d'Ivoire et l'extérieur: Gabon,
Cameroun, Maroc, Sénégal, Burkina-Fasso . . . . France, Londre ...
Ce réseau utilise les mêmes lignes que le téléphone.
Il est transparent aux utilisateurs et n'affecte nullement les
données.
Il s'agit précisément de liaison dites permanentes
point à point louées aux clients et destinées à relier au moins
deux extrémités de traitement.
Entre Abidjan et les métropoles régionales
: Bouaké,
San-Pedro, nous avons des liaisons dont le débit ëst limité à
9600 bits/s
(voir figure 2.151. Les schémas de principe: figures
2.14,
2.15 illustrent l'organisation du réseau SYTRAN entre
les abonnés et le Centre de contrôle.
II.3.2. - RESEAU SYTRANPAC
En Octqbre 1982, le réseau SYTRAN conneëtés au réseau
français TRANSPAC, donne le réseau SYTRANPAC plus adapté au
commutation par paquets. Il permet à la Côte d'Ivoire d'étendre
son service public de transmission de données voir figure 2.16,
les relations du N.T.I.
(Noeud de Transit International).
A l'origine,
les lignes louées sont relativement chères
pour les services rendus. Son coût mensuel est peu avantageux
pour les petits utilisateurs. Avec SYTRANPAC,
réseau à commutation
de paquets la liaison permanente peut s'exclure "avec des interfaces
plus normalisées. Alors que SYTRAN ne peut offrir que des liaisons

-
50 -
ABIDJAN
abonnes
Centre informatique
a
. istrati ve
Ligne de raccordement
Centre informatique
société d' éta t
, /
abonnés
MINI
abonnés
Abonnés
FIGURE
2.15
SCHEMA DE
pRINCIPE D'UN
GROUPE
FERME D'ABONNES
Abidjan-Bouaké-San pedro
~ '.
"
.
1 .
.... ..
,

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(G. B)
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[RETO
1

-
52 -
permanentes,
SYTRANPAC autorise tout aussi bien des liaisons
à
la demande que des liaisons permentes.
Il faut dire que SYNTRAPAC est conforme à l'avis X25
voir figure 2.17 du CCITT qui normalise l'interface d'accès au
réseau de transmission de données par paquets. En outre,
les
terminaux fonctionnânt en mode caractère, comme les téléimprimeur~
les telex et les cpmpatibles télétypes peuvent accéder au service
SYTRANPAC sans adaptation particulière aux avis X24,
X28 et X29
du CCITT.
La normalisation des modes d' accès· ~décrites précéderrunen1
concernant les réseaux de transmission de données facilite la
connexion de SYTRANPAC au réseau similaire européen, américains
et africains. Ainsi i l est possible d'accéder au réseau de la
Communauté Economique Européenne EURONET.
ACCES AU RESEAU
Les utilisateurs peuvent être raccordés de deux façons
:
. directement au concentra te ur par le réseau SYTRA~
accès direct
• Par le réseau téléphonique, accès indirect.
Ci-après le tableau qui' illustre les moyens d~accès suivant les
vitesses et la compatibilité de la procédure.
Moyen d'accès
Procédure
Vitesse d'accès
compatible
Accès direct
1200
Télétype
-------------------- ~---------------
par 4 fils
2400
X25
4800
X25
Réseau
300
Télétype
Commute
1200
Télétype

Site abQnne
Site abonné
Point d'entrte
Point d'entree
~
...........
--..
dans Je rheau
dans le réseau
- - -
.A...
____
...
t, .
~
Ligne de raccordement
Ugne de raccordement
.---
~
......-...
---
~---....
ORDINATEUR
TRANSPA~Mode~r-Z-+lodemrl
Modem
ORDINATEUR
1
1
1
1
1
J
1
1
1
1
1
1
1
1
Niveau
1
Niveau
~I
1
~
1
1
1
1
1
)
)
1
1
1
.\\ 25
X 25
:
:
1
1
1
"4
~I
'.1
~
1
1
1
- l
,
/\\ définir rJr le
l}
• 1
Protocoles de bout en bout
A d'fi'
1
S)'5t ème ut i11 sa t eur
1...:======================================="'"
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.......
{
e Inl(
système
par e
utilisateur
1
1
1
1
FIGURE
2.17
X25 INTERFACE L~CALE
!1'~IL,,_.I!!;:J~.Çi!b .Fa-lal . ~iE8--~~""-",,,, __
Si!!!ll2'.llI
~i
;-.
....

-
54 -
II.3.2.1 -
LES AVANTAGES DU RESEAU SYTRANPAC
Le réseau SYTRANPAC est conforme aux normes interna-
tionales, i l offre aux utilisateurs un service performant et
est disponible à tout point du territoire ; facilite ainsi la
décentralisation de certaines activités. De plus, autorise le
dialogue entre les matériels informatiques variés conformes
aux normes; permet la connexion avec les réseaux étrangers.
Les paramètres suivants marquent l'image du réseau
SYTRANPAC
FIABILITE :
La technique adoptée assure une protection
élevée contre les erreurs de transmission ;
Une forte disponibil~té du réseau est offerte
grâce au doublèment des artères reliant les commutateurs) a
des possibilités âe modification automatique d'acheminement.
-
SECURITE :
La sécurité peut être encore augmentée par un
raccordement multilignes, dans ce cas précis plusieurs liaisons
d'accès assurent alors la connexion de l'utilisateur au réseau.
-
CONFIDENTIALITE :
La confidentialité des communications est accrue
par la reconnaissance systématique de l'abonné demandeur raccordé
par accès direct.
- ECONOMIQUE
Les coGts sont abaissés grâce a une répartition
des charges d'investissement et d'exploitation entre un grand
nombre d'utilisateurs
(INTE83).

-
55 -
Les tarifs sont indépendants de la dist~nce. La
taxation est essentiellement fonction du volume dep ?onnées
transmis et de la durée.
La fourni ture des MODEMS est incluse dans le '·service.
II.3.2.2 - TARIFICATION DU SERVICE
. Accès direct
(abonnement SYTRAN)
Abonnement
Mensuel
Vitesse en bis
--------------------------------------
Abidjan
National
------------------------~--------------------~----------------
1200
119.700 F CFA
271.320 F CFA
,
------------------------ -------------------- -----------------
2400
186.200
332.630
------------------------~--------------------r----------------
4800
226.100
551. 390
Ces redevances mensuelles tiennent compte du coût
de la location des MODEM .
. En accès commuté
La vitesse autorisée actuellement est de 300
bauds ou 1200 bauds. Le coût d'une communication téléphonique
est égal à la taxe de base en vigueur par communication augmentée
de la location du modems.
TARIF DU SERVICE INTERNATIONAL

-
56
-
f_Ac_C_è_s__
a_u_r_e_-s_ea_u
--"C
!"'f.
-
r-
,
utilisateur accooant
Abonné
SYTRP.,N
par rèseau teler:honique
Pas de sUFplfment : accès interna-
Abonne au serviCE:
tional disp:mible dans le cadre de
international :
l'abonnement SYTRAN
lSOO F CFA par n° utilisateUI
Communication
"
Taxe de base en vigueur
r:ar conummication
télèp10nique
COrrrnunication
Corrmunication
virtuelle
virtuelle
---~---~-------~-----'----~---------T----------~---1
pays
Taxe à la durœ en 11
Taxe au volume K. segment
t - - - - - - - -..-....--.--+------~--------_+_-------------I
France
4 .000 F CFA
3.0UO F CFA
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - . - - - . - - - - - - - - - - - - - - - - - - - + - - - - - - - - -----1
:> .625
U.S.A.
7.500
EUroNET
5.230
3.99û
L--
.
.. _._.
.,
_I
~
N.B. l K. 5egIœnt
=
1.024 x 64 octets.

-
57 -
II.3.3 - DISPOSITIONS, COMPLEMENTAIRES
1. FRAIS DE RACCORDEMENT
"
Accès diiect : l'accès direct vaut 120.000 F CFA
la liaison y compris l'installation du Modem;
· Accès par réseau commuté: cet accès vaut 60.000
F CFA.
Il est à noter que les frais de transfert d'un accès
direct, sont identiques au frais de mise en service d'accès
direct.
\\
2. FRAIS DE MODIFICATION DE PARAMETRES D'ABONNE
· Sans modification de matériel chez le client
le client paie 10.000 F CFA par numéro concerné.
Avec modification de matériel,
le client paie
dans ce cas,
JO. 000 F CFA p3I site concern8.
3. LOCATION DE MODEM DANS LE CAS D'ACCES POUR LE
RESEAU COMMUTE
- Le modem à 300 bits revient à 15.000 F CFA par moj
- Le modem à 1200 bits/s vaut 20.000 F CFA par mois
A ces dispositions qui ont pour but d'offrir plusieurs possi-
bilités aux utilisateurs, i l faut ajouter selon les circons-
tances d'autres taxes disciplinaires t e l l e s :
· La taxe de refus d'appel qui correspond à 10
segments soit 30 F CFA;
La taxe de tentative d'appel qui correspond
à 5 segments soit 15 F CFA.
Il est attendu que les terminaux et les imprimantes
au choix des clients sont par conséquent à leur charge, ainsi
que leurs entretiens.

-
58 -
II.3.4 - LA TECHNIQUE DU RESEAU SYTRANPAC
La maîtrise ou la bonne exploitation du réseau
~
-
ivoirien passe par la connaissance de la technique SYTRANPAC.
SYTRANPAC est en fait un produit derivé du réseau
français TRANSPAC.
Il utilise la technique de la commutation
par paquets.
Sans pour autant entrer dans le détail qui relève
des compétences des télécommunications, i l conviendrait pour
notre propos de fixer les idées sur le fonctionnement du réseau
ivoirien de transmission de données.
Dans la technique de commutation de paquets, les
séquences de données provenant d'un abonné
terminal ou ordi-
nateur
sont découpés en courts tronçons appelés "paquets".
Ces paquets sont accompagnés d'informations de service qui les
identifient de façon à permettre leur acheminement à travers
le réseau vers la destination prévue. Une fois arrivées,
les
paquets sont libérés des informations de services ; les messages
se trouvent ainsi automatiquement reconstitués.
Cette technique permet d'accroître le rendement
des artères de transmission de données. En effet :
. Une communication n'utilise des ressources de
transmission que lorsque des données sont transmises, d'où une
optimisation des moyens de transmission et une baisse des coûts
d'utilisation
(INTE83)
. SYNTRANPAC utilise le principe de circuit virtuel.
En d'autres termes,
une liaison logique est établie au moment
opportun, à travers le réseau entre deux correspondants, ce
qui permet la transmission de séquence de données sans restric-
tion de longueur ni de nature et ce avec un haut degré de
sécurité.

-
59 -
Les circuits virtuels présentent les avantages de :
- possibilité d;échanges simultanés dans les deux sens
- conservation de l'ordre des paquets
i
- contrôle de flux , ce mécanisme perniet- çI' interconnecte:
les terminaux de vitesse différente. Toutefois une inst~~lation
connectée au réseau par une seule liaison physique peut commu-
niquer avec plusieurs correspondants sur plusieurs circuits
~irtuels indépendants, c'est le principe d'accès multivoies.
La transmission des données est assurée conformément
aux caractéristiques suivants
· MODES
:
Les modes de transmission sont asynchrones ou synchro-
nes i
la transmission peut être en Full Duplex, dans un sens
ou dans les deux sens à la fois.
· CODES
:
Les coàes émis sont de 5 à 8 bits par caractères ;
un bit "start" ou deux bits "stops" pour l'asynchrone. Ceci est
totalement transparent pour le mode synchrone.
· VITESSE :
Pour l'asynchrone les vitesses sont
50,
75,
110,
134, 5,
150, 300,
600,
1200 bits/s
i
Pour le synchrone les vitesses vont de
1200, 2400,
4800, 9600 . . . bits/s
· SECURITE :
Il existe des dispositifs de tests et procédure de
bouclage à tous les niveaux
· MAINTENANCE
:
Le réseau est télésurveillé en permanence.
Une équipe
spécialisée d'ingénieurs et de techniciens supérieurs intervienne
au moindre annomalie.

l
60 -
Le réseau SYTRANPAC :est destiné à répondre à la majeure
partie des besoins de toutes catégories d'application~ en par-
ticulier :
6-
Applications conversationnelles
(interrogation.~u mise
à jour de fichier ; temps partagé ; gestion de transaction ;
saisie interactive . . . )
Saisie de données avec transmission différée
. Télétraitement par lots
;
. Interconnexion d'ordinateurs pour le transfert de
fichier ou le partage de ressources.
Ce réseau est disponible 24 heures sur 24 heures };Our toutes
catégories d'utilisatèurs notamment les compagnies de transports
aériens
; les banques ; les transitaires ; les compagnies,
sociétés et regies de transport terrestre
(routes, chemin de fer . . .
d~transports maritimes et fluviaux; sociétés de production
et de distribution (agriculture,
filature,
électricité, pétrole,
eau, gaz ... )
; administrations et services publics; sociétés
d'Etat, petites et moyennes entreprises ...
Au-delà de cet aspect classique,
le réseau national
de Côte d'Ivoire permet à toutes entreprises d'accéder à l'espace
de communication de son choix sans pour autant avoir à supporter
ni les immobilisations en matériels ni les charges d'une organi-
satton associée,
presque toujours prohibitifs à son niveau.
Cette infrastructure de télécommunication que nous venons d'étudiel
présente toutes les caractéristiques d'une logistique fiable pour
un bon développement ou une mise en oeuvre de toute activité
télématique.
Signalons dans ce même ordre d'idée d'infrastructure
de télécommunication, la réalisation du projet, SATELLITE AFRICAIN
dont la signature d'accord de l'Etat ivoirien s'est effectuée
en janvier 1985
(DIAB85).
{;;.

-
61 -
C'est~une première pour les pays africains d'unir leurs
efforts pour construire ensemble, un système de télécommunication
africain dans une technologie qui paraissait jusq~~ib~'téservé
aux seuls pays hautement indùstrialisés. L'étude de ce-projet
.
,"
date de 1980 sous les auspices de l'UAPT (Union Africàine
des Postes et Télécommunications) .
Il conviendrait de souligner en ce qui concerne la
Côte d'Ivoire, que les transmissions par satellite ne sont pas
une nouveauté. Au satellite sont venus s'ajouter les cables
sous-marins et la Côte d'Ivoire est reliée à de nombreux pays
éloignés par un total de 466 circuits internationaux. Au point
~ue des esprit~ "critiques"
ont pu dire qu'il est parfois plus
facile de communiquer avec Paris ou New York qu'avec San-Pedro
ou même Yopougon.
Ainsi peut-on dire que notre pays
(Côte d'Ivoire)
ne
peùt pas manquer de gagner le pari de l'informatique dans notre
vie par le moyen des télécommunications et de la télématique.
Il faut retenir entre autres que dans un avenir proche,
l'amélioration ~es moyens de communication de messages entre
pays africains ainsi qu'à l'intérieur de nos pays est une
réalité qui se confirme avec le projet satellite africain.

62
Construire ,- et mettre en place un réseau té'lématique
à
usage universitaire s'inscrit indubitablement dans les ,-
besoins de la communauté uni versi taire. Dan s ce cadre,;' i l \\:~~'t
un rôle de portée Ùriiversitaire qu'on ne peut denier au eUTI.:
ce lui du' centré de "trai tement et de centre serveur de données
ayant une importance'extra-universitaire.
En 'effet,' 'devant l ' urs§nce de promouvoir une politique
d'information universitaire,
le eUTI peut mettre à la disposi-
tion de sa communauté, dans la mise en place de cette politique,
l'outil d'échange d'informations et de communication de données
fiables,
instantanées
(eOLL84).
Toutefois, i l se pose au eUTI,
le problème de la
définition et du développement du réseau ,télématique. Les carac-
téristiques des services télématiques à rendre dans un détail
raisonnable, issues des besoins des utilisateurs et l'analyse
ci-desso~s de l'environnement informatique disponible, ont
conduit à retenir comme moyen de transmission des données, un
réseau hétérogène s'appuyant sur transpac et se développant
en trois étapes.
Il faut faire remarquer que le développement de l'infor-
i
.
matique à l'Université en dehors de l'enseignement porte essen-
\\
tiellement sur deux grandes fonctions
:
\\\\\\
,
- la gestion interne de l'Université et des unités
autonomes ;
- l'accessibilité aux données en cours d'élaboration
,
("):.
.
. , '.~..,
banques de données)
et la circulation d'informations entre les
cen tres;' spé~ifi.ques et l'extérieur.
1

- 63 -
c'est dans le cadre de cette deuxième fonction que
doivent se construire la banque de données documentaire et le
centre serveur de données.
~
L'existence d'un tel centre conduit à une réduction
notable des coûts de circulation des inJormations tout en
améliorant la f~abilité et les déla~s plur ceux déjà pris en
compte. De même, la réunion sur un même site, d'information
en provenance des divers centres de documentation rendra plus
aisée leur comparaison et facilitera la cohérence des services
attendus.
Grâce à ce serveur, la recherche à l'Université dispo-
serait d'un moyen opératoire dynamique pour accéder sélective-
ment à l'information tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de la
Côte d'Ivoire. Nous accordons aux économistes le soin d'évaluer
le gain probable à réaliser de ce serveur d'acquisition de données.
L'Université et sa communauté deviendraient de plus
en plus "cité" del'uni~ers notamment par leurs échanges avec
le monde extérieur.
Quelles pourraient être les caractéristiques de ce
réseau au niveau des services ?
.
'
Il est aisément concevable que les caractéristiques
telles que :
- une variété de services pourraient être offerts à
travers ce réseau qui peut aller du transfert de fichier à la
téléimpression, en passant par la diffusion de texte, la messa-
gerie électronique ou encore le courrier électronique entre
utilisateurs ;
"
i '
-,,',

-64. -
.
'-0:-
- l a circulation de l'information-'élab~réeoU.non, tant
pour les modifications que pou~' les c~nsuitations ,. -
-
la banalisation des accès au réseau ;
- la diversité des lignes :
. lignes spécialisées
__..
.
,'..~.
-
'. '1"
. lignes téléphoniques commutées
(RTe).
Toutefois, le respect de ces éléments caractéristiques
sont pour la plupart lié à deux paramètres complémentaires :
. l'enveloppe financière de réalisation du projet;
. la compétence technique du concepteur.
Nous avons évoqué dans l'exposé du problème, les condi-
tions élémentaires nécessaires et suffisantes de l'outil télémati-
que à l'Université et les étapes de notre démarche.
Nous nous sommes fixés un développement en trois étapes,
chaque étape étant indépendante des autres et avec ses résultats
propres.
Toutefois, il faut souligner que les deuxièmes et trois
troisièmes étapes peuvent se dérouler en parallèle avec des êhé-
vauchements plus ou moins importants selon les possibilités réelles
du moment et les priorités nouvelles qui pourraient se dégager.
PREMIERE ETAPE. RESEAU HOMOGENE SPECIALISE
Prévue pour les années 1985,
1986, elle devra atteindre
les objectifs suivants :
-
Dotation du centre
(CUTI)
d'une ligne spécialisée (LS)
- Mise en place de la banque de données fonds documentaire,
l,
et expérimentation ;
y
:· .
- .-
1
t:~'
1

- 65 -
1-
- Connexion des centres d'utilisateurs prioritaires
du Campus universitaire au centre serveur soit par ~de? ~~appes
de terminaux ou de micro-ordinateur permettant l'émùlation des
fonctions d'un terminal.
Pendant ce temps i l faut continuer à assurer :
-
l'organisation de la base pour le développement
des applications nouvelles
-
la gestion du réseau en évaluant la qualité du
service en terme de disponibilité réelle par rapport à la disponi-
bilité théorique et le suivi des utilisateurs.
DEUXIEME ETAPE.
INTEoGRATION A TRANSPAC
L'autre action importante de cette étape sera d'ouvrir
le service) centre serveur à des utilisateurs qui n'auront pas pu
être pris en compte dans la première étape, parce qu'ils sont des
utilisateurs occasionnels.
Tous les centres équipés d'un micro ordinateur vont
pouvoir accéder au serveur par un circuit virtuel commute (CVC)
les reliant à un point d'accès direct (PAD)
au cours de cette étape.
Il n'y a pas de doute que pour faire
face à cette montée
en charge, l'organisation que nous avons mise en place au cours
de la première phase devra être opérationnelle.
TRorsrEME ETAPE. RESEAU HETEROGENE
Cette phase qui peut se dérouler en parallèle avec la
deuxième se devra site par site, d'identifier les besoins en
connexion et de rechercher les solutions à apporter.

~ ...
- 66 -
~
Ces besoins de connexion proviendront de la nécessité
d'accéder aux données sur des sites différents via~le serveur,
1
avec échanges' d'informations dans les deux sens et à pa!tir d'un
même poste de travail.
1
La réussite de cette mission passe pour nous par l'enga-
1
gement de la qualité de service, mesurée en terme d'adéquation du
service et de la disponibilité réelle du système.
1
Elle comporte aussi un volet d'assistance aux utilisateurs:
1
- Assistance dans l'utilisation de la banque
-
Recherche et sélection d'information;
- Edition et traitement.
-
Réalisation de traitements spécifiques pour certains
services particuliers de l'Université.
Une autre condition de succès pourrait être la disponi-
bilité de l'infrastructure nécessaire. Du côté de l'Office Nationale
des Télécommunications le paragraphe II.3 apporte les éléments
de réponse nécessaires. Toutefois,
la première étape de la mise
en place d'un réseau X25 a vu le jour en 1983, avec la création
d'un point d'accès aux Noeud de Transit International
(NTI)
de
Paris. L'étape suivante doit créer le réseau X25 relié physiquement
à SYTRAN avec l'application de SYTRANPAC voir paragraphe II.3.
Après avoir défini le contexte de ce que nous entendons
par réseau télématique de l'Université, nous nous proposons de
passer à sa conception du moins théorique. C'est précisément
à cette phase que le concepteur de réseau devant le foisonnement
de concepts, de normes de fournisseurs,
se trouve confronté à un
ensemble de questions relevant à
la fois de la technologie, de
la topologie "du réseau et bien d'autres'.
':>:"\\':
, "
l ...• ".

- 67 -
Jusqu'à preuve du contraire, les bases théoriques de
la télématique sont encore très jeunes, en conséquence la méthode
de conc~ption se cherche encore dans le tâtonnemen~. -Il' n'existe
pas de modèle et à priori de méthode permettant de décrire les
systèmes de communication au niveau logique
(CAST83>. Quant au_
modèle de 1'051 d'interconnexion de systèmes ouverts, proposé par
-1(-0
l'OSI, il n'existe pas drorientation permettant de décrire les
systèmes télématiques au niveau de la couche application qui
nous intéresse.
Nous nous sommes aperçus au cours de nos recherches,
d'un certain nombre de procédés "maison" liés généralement aux
entreprises productrices soient de matériels soient de logiciels
de réseaux tels IBM, BULL, BURROUGHS ...
Le problème se pose dans le sens de comment concevoir
un système télématique ?
Pour se faire,
nous nous proposons de nous inspirer de
la méthode du projet SYSTEL qui est en fait une analogie de la
conception des systèmes d'information. Au paravant il semble
nécessaire de souligner une constatation qui corrobore notre
observation sur cette méthode.
Devant un certain nombre de problèmes notamment de
systèmes d'information, d'organisation générale, de la conduite
d'action, l'homme a pris l'habitude d'égrener ses investigations
selon trois niveaux d'abstractions.
Dans ces trois niveaux sIon le contexte nous constatons
la même corrélation mais seulement avec des termes différents.
C'est ainsi que:
- En système d'information nous avons les niveaux
- conceptuel
-
logique ;
- physique.
~, :.

- 68 -
En organisation générale les niveaux sont
- Décisionnel ;
Organisationnel
- Opérationnel.
1
En conduite de l'action ces niveaux sont
- Politique ;
1
- Stratégique
- Tactique.
De quoi Si agit-il en réalité ?
},jl:VFAU COl'X:EPI'UEL OU DECISIONtlEL OU POLITlÇUE.
t
C'est le niveau le plus général, le plus proche du "vrai", des
problànes fX)sés, des r:erceptions de l'horrme (MESG81), des dééisions à
prendre par les responsables du système.
c'est aussi le niveau le plus global, le plus éloigné des contraintes
techrologiques, le plus convicial. Il n'est PaS toujours très clair,· cohérent
et structuré, mais seulerrent il exprime bien la perception imnécliate des
choses fX)ur les individus. Dira-t-on qu'il traduit les besoins forrlamentaux:
et fixe la maison principale.
- NIVEAU LOGIQUE OU ORGANISATIONNEL OU SI'RATffilc;uE
C'est le niveau le plus travaillé, structuré et rationnel, le
plus intellectuel. Ici s'organise tous les éléments du systÈme, les regrou-
perrents ou les répartitions selon une architecb.1re globale adaptée. Il
est généralement abstrait, et représente au mieux le systÈme perçu au niveau
conceptuel et tient compte en plus des contraintes najeures au niveau
fhysique. Il est apte à la IT'Odelisation, nécessite souvent l'intervention
des experts spécialisés dont le métier est de conduire des missions reçu~s
: . ':.-
. ...~,~
en opérations à effectuer .
. "';;'"
.,:'
~. .." \\_. ':
~~~.:-=~~ ...
. -:"'::.\\'.

1
- 69 -
1
- NIVEAU PHYSIQUE OU OPERATIONNEL OU TAcrIQUE
c'est le niveau le plus artificiel et technologique, 's?umis
à l'enserrble des oontraintes de fonctionnement sur des ma.chines· réelles,
i l met en action des autorrates physiques. Il exécute mécaniquerrent
le mieux possible le systèrre décrit au niveau logique pour résouire
les problèrres posés au niveau conceptuel.
Ainsi la méthode SYS'I'EL suit la même dema.rche. Sauf qu 1 i l
n'aborde pas le niveau physique perrrettant l'inplantation. Au niveau
de la couche application du modèle d'intervention des systèmes ouverts (ISO),
i l propose un rrodèle et une méthode d'aide à la conception des systèmes
télénati91es.
La figure 3-1 situe le dc:mai.ne d'utilisation de SYSI'EL par
rapport aux dorraines d'utilisation :
- des m:xlèles et- des méthodes dl aide à la cxmception des
systèmes d'information;
- dUrrodèle d'intervention des systèmes ouverts de l'ISO.

- 70 -
..
SYSTEME D' IKFûRMATION
-------------------
TRAITEMENI'
COMMUNICATION
NIVEAU
MJDELE ET METHODE
FOUR
CON2EPI' .
CONCEPI'UEL
lA CON2EPI'ION
-------_.-1--
DES
l\\'IVEAU
DES
SYSTEMES
U:X;IQUE
SYSTEMES D' INFORMATIONS
SYSTEL
INFORMA-
-------------- - ------------------------ - ----------------
TIQUES
t-J"TVEAU
MODELE; OSI
PHYSIQUE
DE L'ISO
Figure 3.1
Domaine d'utilisation du projet SYSTEL
Comne le rrontre la gigure 3.1, SYSTEL oonsidère que tout
système
d'information télématique est cqnstitue :
- de données ;
- de traitements
- de oommunication au lieu de sortie dans les systèmes
infomatiques.
Il serait utilie de savoir le oontenu des niveaux explicités
ci-dessus dans l'approche SYSTEL
Le niveau oonceptuel :
son niveau oonceptuel est représenté par un graphe où :
les noeuds désignent l'ensemble des utilisateurs
système de comnunication qui oorrrnunique entre eux
les arcs représentent les liaisons logiques entre
les utilisateurs (voir figure 3.2) .

:I
~
-
71 -
1
P
...
l
U1
U5
r
~~_--I-_---=7~U&
r
7
"
~
Légenàe
\\
Cl
Utilisateurs (= !\\OEUDS)
\\
Liaison
(= ARCS)
Figure 3.2
Réseau conceptuel d'un système de corrmunication.
.,
1
L
I.e niveau logiqœ :
- le niveau logique de SYSTEL contient les classes d'utilisateurs
qui comnuniqœnt entre eux (voir figure 3.3). De plus ces classes ou groupes
1
d'utilisateurs rommuniquent avec les autres. Ce qui veut dire qu 1 un utilisa-
teur est à la fois source de données (érretteur) et ou un collecteur de
données (récepteur)
(CAST8 3) .

-
72 -
/
/
.1
U9
Légende
utilisateurs
Processeur de corrununication
Figure 3.3.
Niveau logique du systèrne de corrununication.
Dans le cadre de rotre éttrle, cette méthode fourrait pennettre à
sa manière de définir la structure du réseau de comnunication. Elle fait
apparaître globalement les cOIllp)sants de l'espace de communication, permet
entre autres d'entrevoir leur évolution logique.
oous Pensons rous en inspirer afin de dégager une danarche originale
de conception voir rotre approche de méthode ci-dessous. 'Ibutefois, à rotre
avis la conception d' un systÈme télématique du rroins dans sa phase d'approche
globale, revêt un caractère beaucoup plus réel, naturel et Si éloigne
davantage de l'abstrait. En effet par analogie aux systèmes d'informations,
il ne s'agit pas de calculer des bits d'occupation mémoire imaginaire,
nais des co~sants physiques à connecter entre eux à des endroits géogra-
phiques précis.

- 73 -
Un r:oint probablement discutable est celui de dire que la méthode
à adopter est celle du début d' un travail d' architecte, se kansp:)rter
sur les sites retenus ou à créer, et par ce fait élucider les appr::éhensions
du futur réseau à mettre en place. De tel procèdê paraît utopique et irréali-
sable en ce qui concerne la conception de système d' informa.tion.
Cette remarque préfigure notre procéde qui fait la jonction entre
la méthode du proj et SYSTEL et notre approche pratique que nous émnçons
en ces six phases qui integrent les trois niveaux d'abstractions decrits
plus haut :
- NIVEAU cx)l'Œ:PI'UEL
Ce niveau est représenté par les phases l et 2.
- t.;:[VEAU :LCGIQUE : c 1 est la phase 3.
- NIVEAU PHYSIQUE : c' est les phases 4, 5 et b.
N
l
V
E
A
U
CON::EPI'UEL
LOGIQUE
PHYSIQUE
Phase
4
Phase
l
Phase
5
Phase
2
Phase
3
Phase
6
Localisation du
Mcx3.elisation
Mcx3.èle economique
rrodèle
Stratification
Implantation

1
- 7~ -
LES ETAPES DE
LA CONCEPTION
J
1
DESCRIPTION
DES
PHASES:
PHASE
1
DEBUT
. CONCEPTUEL
PHASE
2
r:NSEMBLE 1
DES

COM POSANTS
~U MODELE
LOGIQUE
PHASE
3
MODELI
STRATEGIE
',DE
L' ESPACE
E
COMMUNI
TION
PHASE
4
CHOIX
D~
RE PRESENT A::r==--"--
-J
TION
PHYSIQUE
PHASE
5
ETUDE DU
L--
....j;CENTRE
ADEQUAT D'
IMPLANTATIO
PHASE
6

- 75 -
Contenu succint des phases:
l
à
6
1. Quel est 11 espace gÉOgraphique, siège du réseau de comnunication ?
2. Dans cet espace de corrmunication quelles sont les -entités
(organismes) susceptibles de conrrnuniquer entre eux et avec
les autres .
. Inventaire des besoins de communication.
cft..,
3. Deocrnbrernent des entités qui comnuniquent entre em<: et
avec les autres.
Etude et construction des sous-ensEmbles du système
de communication.
4. Recherche par critères des différentes représentations t0t=Olo-
giques du réseau.
5. Détermination du centre adéquat, slege d'implantation du
réseau, justification du choix àu centre serveur télêmatique.
6. Choix des élérrents du système informatique à lillplanter.

- 76 -
III.1
EI'UDE TOPOI..CGIQUE DU RESEAU DE COMMUNICATION DE CESTU
Nous venons de définir rotre méthode de exmception du rêseau
"
CESTU, les paragraphes III.1
à III. 5.2 font l'objet de son application.
Le réseau CESTU est à la fois un système de communication capable
de véhiculer, de stocker une variété d' informations, mais aussi et surtout
de repertorier un ensemble d'entités organiques relié par une infrastructure
~lysique ou logique.
Dans les phases de rotre méthode retenue, nous sormnes amenés
à examiner globalement l'environnement de CESTO afin de cerner l'ensemble
des entités du réseau de corrmunication, de fait les utilisateurs du système.
Cet ensemble peut être réparti en deux groupes
les entités du Campus universitaire
- les entités extérieur au campus.
1 - LES ENI'ITES OU ORGMiES DU RESEAU DE COMMUNICATION DU CAMPUS.
A. Le centre de calcul, curI
B. Le Rectorat
C. Le service de la scolarité
D. Le service W1iversitaire de l'information et de la
prograrrura.tion, CUIP
E. La bibliothè:::rue centrale
F. Les Facultés.
1 - Sciences
2 - MÉdecine
3 - Sciences Economiques
4 - Lettres
5 - Droit.

Oll!
- 77 -
,,'
,
i
1
G. Le Centre National des Oeuvres Uni versitaires , CNOU
H. Le Centre Ivoirien de Recherches des Juristes, CIRBJ
I. Le Centre Ivoirien de
Recherches Ecommiq~ et soCiales, CIRES
J. La Faculté de Phannacie.
K. L' Institut de la Recherche Mathématique, IRMt",
L. L'Institut Géograpüque Tropical, IGT
M. Le Centre de Recherches Archeologiques et Audiovisuelles, CERAV
N. L'Institut des Langues Appliquées, HA
O. Le Centre Universitaire de la Fonnation Pennanente, CUFOP
P. L'Ecole t\\bnnale Supérieure, ENS
Q. L'Institut National Supérieur de l'Enseignement Technique, INSET
R. Le Centre Hospitalier Universitaire, QiU
-
2
LES ORGANES DU RESEAU EXTERIEUR AU CAMPUS
S. L'Office Centrale de la Mécanograpüe, CXJvI
T. Le Secrétariat Général à l'Informatique, SGI
U. L'Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics, ENSTP
V. Le Ministère de l'Education !:'<ationale et de la Recherche
Scientifique, MENRS
W. Le Ministère de la Fonction Publique, MFP
X. Le Ministère de l'Economie et des Finances, MEF
La figure 3.3a représente le réseau organisationnel de transmis-
sion de données que nous nous proFOsons ct' analyser les activites fOur
les raisons qui il convient d' exj:0ser :
. Ces organes rassemblent des utilisateurs qui ne communiquent
J=BS obligatoirement entre eux. C' est le cas de U, G, Fl, J, R, etc ...

- 78 -
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1
j Legende:
-
l :
designe
l'ensemble
du campus
universitaire
II
designe
l'ensemble
exter ieur
au campus
!
uni te
de
lensem b le
.!
dependance entre
uni te
1
1
FGURE 3 .3r:_ RESEAU ORGANISATIONNEL
DE L'UNIVERSITE
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-
79 -
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..
La connaissance des utilisateurs qui comrruniquent entre eux, les carac-
téristiques de leurs activités et de communications ouvrent la voie de
décomp::>sition du réseau au niveau de l'approche logique. Cette décomfûsi tion
aurait l'intérêt de mieux cerner la structure et par ce fait envisager
l f équipement logique nÉCessaire.
L'étude menée penr.et de relever que les unités G, B, C, 0
assurent des tâches uniquement administratives. Ils présentent des avanta-
ges d'une carmunication entre eux. Par ailleurs, ils manipulent en partie
un ensemble commun, les étudiants inscrits à l'Universite.
Au niveau du critère temporel, les entités de A à Q fonctionnent
dans le même espace de tEmP:; : heures, jours. Par contre, R a une activité
f'€IT!léU1ente
24 heures sur 24. Ces éléments rentrent dans le droit fil de
la structuration du réseau.
Les utilisateurs des organes Fl à FS ont des activités qui
reflètent un besoin régulier de recherche documentaire, se transmettent
occasionnellement des informa.tions, communiquent fûur la plupart avec
A et C. Quant à E reçoit l'affluence d'une variété d'utilisateurs voire
étudiants, chercheurs, documentalistes en provenance des groulJe5 Fl à FS
et des centres tels que l, H, N fûur ne citer que ceux-la. Tous ces
sites présentent des besoins de communication avec le site A pour divers
services notarrrrnent enseignement et gestion infonnatisée.

- 80 -
/
L'ensenble extérieur au Campus, le site S, CCM siège des
ban:rues BOSA et BOSE est très sollicité en corrummication dl infonrations
tant çour les organes de son environnement imnédiat que par la commmaute
universitaire.
Faut-il souligner que notre analyse du réseau organisationnel
figure 3. 3a exclut expressement les çoints de détai ls inutiles qui ni affectent
nullement l'organisation du réseau de corrmunication. En effet çour une
(
entité donnée, il faut associer une structure organisationnelle qui lui
est propre avec des utilisateurs ou agents de plus ou rroins i.lnp8rtants,
qui peuvent corrununiquer différemment avec l'extérieur. I\\ous avons retenu
de prendre en compte les évènements de ce tyt::e au niveau de l' entité.
La représentation figure 3.4, réseau conceptuel, intègre tous les
asPects du ITOdèle de carnnunication. Ce réseau conceptuel repertorie
par entités tout acte de besoin de communication lié à sa charge d'activite.

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- 81 -
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U t i 1 i s:l t e urdu s'J5 t eme
_ _ _ Lia i sm
log i que
de
commun~ation
FIGURE
3.4
RESEAU
CONCEPTUEL
DE
L'UNIVERSITE

- 82 -
..
III .2
DENJMBREMENI' DES SOUS SYSTEMES DE mMMUNlCATION
\\
../>
")0
Cornne nous l'avons souligné;.J ce paragrar:ne , suivant les étapes
de notre méthode s'intÉresse aux groupes d'utilisateurs qui communiquent
entre eux. C'est de fait la construction du niveau logique qui va
consister à rassembler les utilisateurs qui ont en commun des problernes
de conmunication. tbus allons ainsi créer des sous-ensembles ou des classes
d'utilisateurs pouvant avoir des procédés identiques de corrmunication,
voir la figure 3.5. Ceci pour dire que ces classes peuvent être gérées
par des composants logiques de communication ou processeur de ccmnunica-
tion (PC), voir figure 3.6.
La représentation par classe d'utilisateurs fait intervenir
entre autres des critères tels :
- critères géographiques (distance)
- critère de fonctionnement (activité)
- critères deternps (période d'activité).
Du réseau conceptuel, figure 3.4, nous appliqlDns les critères
géographiques et activités, il se dégage les sous-ensembles ou classes
d'utilisateurs suivants
Au niveau du Campus
- sous-ensemble-l
B. Rectorat
C. Scolarité
D. Cuip
E. Bibliothèque
G. CNJU
- sous-ensemble-2
-----------_._--
"\\-
F4. Faculté èes Lettres
L. IGI'
N. nA
'~
A. aITI

( 6 )
- 83 -
-- -- - --._._ .. - ..
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- -- . - - - . - - - - - -..-.---n.)-----.,----.
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\\.
v
"'-._- -- - .....-_.., ..
~gerde:
Liaison logic:ue
Cl
Utilisateurs
(erretteur/rece;.>teur) du systÈ{l;(~ U~ convnunication
FIGURE ).5 RESEPU DE CX't1l'1ùl"IC!\\TION PI.R GRC;(;rLS G 1 LJl'I LISA'l'UJRS
LO::;I('UE DE CCMl'-llJ!\\J CATION

- 84 -
- sous-ensemble-3
..
F3. Faculté des Sciences Economiques
H.
Cirej
FS. Faculté de Droit
- sous-ensemble-4
F2. Faculté de Médecine
R. Om
J. Pharmacie
Fl. Faculté des Sciences
K. Inna
I . Cires
Au niveau de l'extfrieur du campus
- sous-ensemble-5
S. OCM
T. Sgi
x. Mef
hl'. Mfp
- sous-ensemble-6
U. Enstp
V. Menrs.

SGI
- 85 -
r-I
;-1 11 flMEF
J
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'-ï,~_~4fJC<>
OCM '\\-.J
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------------~~_._--~
~---~-~--\\
'.
FPC. CHU
CIRES
_DFAC.
LARITE
FAC. LETTRES
;'
!
l L ADI-------=~~:.__ Pc2
--------------------------- -
STP
LEGENDE:
o Processeur de communication (Pc)
o Utilisateurs du systeme de communication
Liaison
logique
de
communication
FIGUHE
).&
RESEAU
DE
COMMUNICATlON
j'AH
PHùCESSELJR
DE
COMMUNICATION

- 87 -
La représentation topologique obtenue à la figure 3.6
permet d'obtenir de façon très simple le mécanisme de diffusion
de l'inform2tion depuis le centre serveur.
Dans cette analyse
..
on préfigure une station PC qui reçoit le message puis en une
seule émission envoie le même message à tous les utilisateurs
qu'il gère.
Il est possible en pratique d'envisager étendre la
couverture géographique ou multiplier le nombre d'utilisateurs
raccordés au PC.
Ceci est un aspect de l'extension future du
réseau.
Le PC peut être un calculateur, un micro ordinateur,
un concentrateur, un multiplexeur ou même un modem.
Il assure
les fonctions de noeuds.
A ce noeud ce calculateur spécialisé
gère toutes les communications entre tous les équipements qui
lui sont directement reliés c'est à dire:
- reçoit les messages (données) émis par les utilisa-
teurs
;
- mémorise temporairement ce message
;
- émet ces messages aux processeurs de communication
auxquels sont reliés les utilisateurs destinataires
de ces messages
;
réalise 1 t opération: inverse.
Avec un peu de recul sur cette structure où inter-
viennent des PC, il n'est pas exclu d'entrevoir un problème de
fiabilité.
En effet que deviendrait le réseau en cas de panne
du PC ? L'autre inconvénient est lié à la puissance du PC.
Nous
abordons ces problèmes au chapitre portant sur le choix des
composants et celui de la structure du réseau.
Toutefois cette décomposition situe clairement les
points de connexion entre le centre, station satellite et les
groupes d'utilisateurs du réseau.
De la même façon apparaissent des éléments majeurs
de notre première étape de la mise en place du serveur télé-
matique notamment les organismes prioritaires connectables au

- 88 -
serveur. A partir des impératifs des activités le choix des
unités à connecter par groupe d'entités sont
groupe-l
E,
bibliothèque
~
- groupe-2
P4,
faculté des lettres
groupe-3
H, cirej
groupe-4
I, cires.
Ces sous ensembles de la figure 3.6 présentent entre
autres l'intérêt du choix des sites de traitement de données,
de repartition des données, de liaison de communication entre
sous ensembles.
111.3
DIFFERENTES REPRESENTATIONS DE LA STRUCTURE DU
RESEAU DE COMMUNICATION
Dans ce paragraphe nous allons autant que possible
imaginer les différentes configurations de représentations du
réseau télématique à l'Université.
Dira-t-on que le site satellite déterminé, à priori
le CUTI,
la stratégie de recherche de différent~ cas
de figure
de représentation présente un intérêt nul sinon de façade.
Or
il convient de prendre en compte la mobilité du site retenu.
Ceci justifie l'apport de différents scénarios d'implantation
du centre serveur.
Par ailleurs, les structures évoluent très
vite dans les pays en développement comme le nôtre, et souvent
au gré des décideurs au fur et à mesure des mutations des res-
ponsables politiques.
Le dernier point important en additif est de pouvoir
valider par des éléments probants, un choix de structure, qui
aurait le mérite d'une étude pouvant servir de document de ré-
férence.
Aussi,
les solutions d'implantation sont à notre avis
liées à la représentation du modèle jugé convenable.

FZ75Ew".sml .?xmrwJt
- 86 -
Il faut ici préciser que la réalisation de cette répartition
dnécessité des élérrents valorisés des sites, ootamnent les mesures de
bstance entre les entités, les fonctionali tés et les activi tés futures.
Cette répartition peut être encore obtenue par la methode
des composantes connexes (BERG73) à partir de la matrice ci-dessous,
construite à partir de la figure 3.4 du reseau conceptuel selon le
critère suivant :
quels sont les utilisateurs qui commW1iquent entre eux et
avec les autres i
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(
A El
C
D l. F
G E l . J .\\ T
~ ~ 1\\ ~
F C
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\\
1 . .
,
\\
t
;
t
..... _.

- 89 -
Nous reconsidérons la figure 3.4 où apparaissent
toutes les relations de communication entre utilisateurs et
interessons-nous aux critères de distances. Soient les mesures
de distances suivantes
:
FLIC
Cl
F1K
KI
rlA == A2
F4 ]\\1
\\V11
FIl
I l
F4N
Fl
FlR
R_
pL! L
Ll
P1P2== P2
F4a
Al
PlJ == J]
Par comparaison des distances c j --de s su s ;} celle de A,
nous avons
Al> Cl;
Al> Ml;
Al> N I A 1) LI; no us
pouvons en déduire que les sites C,
N, M,
L sont plus proches
de p4 que de A.
Nous le regroupons en un sous système-1 de
communication voir figure
3-7.
D'autre part A2)J1,
A2>F2,
A;»Rl,
A2)ü,
A2) KI nous en déduisons que les sites 1,
P2,
R,
l, K sont
plus proches du site Pl que celui de A.
Leur regroupement
donne le sous systèmc-3 de communication.
Soient les distances
:
AC
Cl,
AP3
FI,
F4c
C2,
PIC
C3,
AB
BI,
AH
Hl,
pLIB
B2,
FIB
B3,
AE
El,
APS
PSI,
p4E
E2,
PlE
E3,
AD
Dl,
p4D
02,
FID
03,
pLI PS==
F2,
PlF3== P2,
FI-jH == H2
PlFS== P52
r4P3=P31,
PlH = H2,

- 90 -
...
(III.J _ _
l
/R ""'\\
o F2
J
/
/
( II )
F5
-- ..._-------------,-._-- _._-_.------_.
FIGU RE
3. 7
~CroUPENENT EN SCUS ENSHffiLL If Il f III

- 91 -
Par comparaison des distances des sites F4 et A à 8,
D,
C,
E,
H,
F3,
F5
on a
C1(C2 (C3,
Dl (02 <03,
...
81 <82 (B3,
F1 <F310'2,
E1<E2<E3,
F51(F52(F53,
Par déduction
les sommets B,
E, D, C, H, F3, F5 sont
plus proches du sommet A que ceux de
F4 et
F1.
Nous les regrou-
pons pour constituer le sous système-2 de communication voir
figure
3.7.
De la même manière nous allons
prendre en considératio
les distances
AE
El,
F1E
= E2,
AK
K1,
F1K
K2,
AD
Dl,
F1D
02,
AG
G1,
F1G
G2,
AB
81,
F18
B2,
AI
Il,
F1I
12,
AC
Cl,
F1C
C2,
AR
R1,
F1R
R2,
AN
= N1,
FlN
N2,
AF2
F1,
F1F2
F2,
AM
]\\11,
F11\\1
= M2,
AJ
J1,
F1J
J2,
AF4
F41,
F1F4
F LI2,
AL
==
L1,
F1L
L2,
AF3
F31,
F1F3
= F32,
AH
Hl,
F1H
H2,
AF5
FC) 1 ,
F1F5
F52,
Ainsi par comparaison des
distances des sites A t; t
F1 aux sitesE,
D,
B,
C,
N,
M,
F4,
L,
F3,
H,
F5 nous avons
<
<
El <E2 ,
Dl <02,
Cl
C2,
B1
B2 ,
]\\11 <1\\12,
<
<
L1
L2,
F31 <F32, Hl
H2,
F5 1 (F5 2 ,
Par déduction
les points E,
D,
B,
C,
N,
M,
F4,
L,
F3,
H,
F5,
sont
plus proches de A que de
F1.
Le regroupement
de ces sites
forment
le sous système-1 de communication de la
figure
3.8.
Ensuite,
nous poursuivons la comparaison des dis~
Latlces
des sites
l'\\ r::t
Fl
aux sites K,
C,
L,
R,
F:?,
e t f .
A partir des
évaluations
c:i-(kssu~': ~IOUS pouvons
exprimer que
:
1)12.
rn >R2 ,
,] 1 >,r ~ .

- 92 -
..
(II )
F4
~\\
\\ \\
c
\\\\
\\
D
L
F5
)
E
0"""'----
~.--._---
~-~--_._-....
FIGURE
3.8
REGROUPIMENr EN SOUS B\\SW.t.HE (SOOS SYSrHlli) I, II

- 93 -
De ces résultats, nouS déduisons que les sites K, J,
1, R, F2, J sont plus proches de Fl que de A. Leur regroupement
t "t
le sous ensemble de système-2 de comfWlnication de la
cons l u e '
figure 3.8.
Selon que nous retenons les critères de distances et
d'activité, nouS retrouvons la représentation de la figure 3.6
comme structure de notre réseau d~ communication.
En résumé à partir des hypothèses retenues, nous
denombrons trois types de représentation possibles de la
structure du modèle de communication. Ce sont: les figures
3-7, 3-8, 3-6.
L'étude des solutions d'implantation nous permettra
de répondre à la question : quelle est la configuration du
réseau à retenir pour que son coût soit minimal ?
111.4
ETUDE DES SOLUTIONS D'IMPLANTATION
Dans ce paragraphe nous nous proposons d'étudier
toutes les caractéristiques des configurations du réseau télé-
matique que nous avons exposé ci-dessus.
Il y a lieu de faire
l'analyse des trois structures afin de décider du modèle de
réseau à implanter.
ANALYSE DE LA STRUCTURE FIGURE 3-7
Elle présente une configuration repartie en trois
sous ensembles ayant chacun un noyau que nous pouvons assimi-
ler à un processeur de communication voir figure 3-9.
Signalons que les sites F4 et Pl sont pourvus de
micro ordinateurs qui gèrent des petits travaux de gestion.
Seul le site A est équipé d'un mini ordinateur et assure les
fonctions de centre de traitement régulier de l'Université.
'.
l ' .

-
94 -
LE SOUS ENSEMBLE-l
Ce sous ensemble comprend 4 unités.
Les communi-
cations entre ces unités sont relativement faibles compte
tenu de la nature différente de leurs activités.
Ces unités
coopèrent par contre davantage avec
les utilisateurs du sous
ensemble-2.
Ceci élimine a priori la justification d'un site
de réseau de communication du type CESTU au niveau de ce sous
ensemble.
LE SOUS ENSEMBLE-2
Ce sous ensemble regroupe 3 sites d'utilisateurs.
Les communications entre ces utilisateurs sont relativement
nombreuses entre eux.
Ceci s'explique en partie par la pré-
sence du site A qui assure le traitement des données
usités
par la quasi totalité des utilisateurs des autres unités.
La création d'un centre,
site serveur tend à se confirmer au
sein de ce sous ensemble eu égard entre autres à son équipe-
ment.
Pour des raisons analogues soulignées au sous
ensemble-l, le sous ensemble-3 ne peut faire l'objet d'im-
plantation de site serveur de réseau de communication.
La solution de la structure de représentation figure
3.9 comprend
-Un centre de traitement équipé d'un mini ordi-
nateur où peuvent être connectés 7 terminaux
transactionnels
;
-
Deux processeurs de communications (concen-

- 95 -
...
U la
U 14
1 5
U9
_------<\\ U 16
U8U~
:zC\\u 17
FAC. SCIENCES
6
U7
CUT!:
CENTRE DE CALCUL
Legende:
À
Terminal
---z.... Liaison specialisee (LS)
e==3 Processeur
~
Ordinateur
FIGURE
3.9
EXEMPLE
1
DE
SOLUTION D'iMPLJlNTATION

- 96 -
trateurs)
installés aux sites Pl,
faculté des
sciences et F4,
faculté
des lettres et qui
supportent respectivement 5 et 4 terminaux
transactionnels.
Deux liaisons spécialisées connectent ces deux sites
au centre de traitement.
L'analyse de la structure figure
3.6 est rigoureuse-
ment identique à celle de figure
3.7, sauf qu'elle comporte un
nombre de processeurs de communication beaucoup plus important.
Objectivement son étude a
peu d'intérêt notamment au niveau des
coûts.
L'ANALYSE DE LA PIGURE 3.8
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Elle comprend un modèle de réseau reparti en deux
sous ensembles ayant un noyau central où gravitent les organes
utilisateurs.
Elle est représentée sur la figure
3.10.
Examinon
ses composants
:

- 97 -
..
un
Ul2
us
U6
FAC. sc IEN:ES
U4
U7
U3
U2<J
ua
_---f1U9
UII
Legende:
À
Terminal
---z..- Liai son specialisee (LS)
E:::3
Processeur
~
Ordinateur
FIGURE
3.10
EXEMPLE 2 DE SOLUTION D'IMPLANTATION

- 98 -
LE SOUS ENSEMBLE-l
Ce composant comprend 11 unités d'utiljsateurs qui
communiquent en permanence entre eux.
Il y a un trafi~ impor-
tant d'échanges d'informations à partir des données élaborées
du centre,
site serveur le CUTI.
Celui-ci est équipé d'un mini
ordinateur auquel sont connectés autant de
terminaux transac-
tionnels qu'il y a d'unités raccordées.
LE SOUS ENSEMBLE-2
Ce sous ensemble comprend 6 unités d'utilisateurs.
La
commùnication entre ses utilisateurs est assez faible due à la
nature disparate de leurs activités.
Il faut
toutefois noter
leurs échanges réguliers avec le site CUTI.
En conclusion la solution de représentation du réseau
de la figure
3.10 comprend
-
un centre de traitement décrit au sous ensemble-l
des terminaux raccordés
- un processeur de communication ici le micro-ordinateur
du site F4 auquel sont reliées six unités: ;
-
une liaison spécialisée aussurerait les échanges
d'information entre le centre serveur et le site
processeur de communication F4.
Des deux exemples étudiés, la deuxième solution de
représentation conviendrait à notre implantation de CESTU et ce
pour les raisons qu'il convient d'exposer:
.
La représentation de la figure
3.9 est certes une
structure décentralisée comparativement à celle de la figure
3.10.
Cependant elle enregistre 11inconvénient d'exiger beau-
coup plus d'équipements télématiques voire deux lignes spécia-
lisées, deux concentrateurs (micro ordinateurs)
pour ne citer
que les plus importants.

- 99 -
Toutefois,
il peut s'averer un sous emploi des res-
sources disponibles à l'examen des activités et au nombre assez
faible des utilisateurs.
Par ailleurs il a été i~lustré au para-
graphe précédent la proximité de ces sites au centre serveur,
site A.
Au demeurant les deux sites PC
:
F4,
faculté des
sciences e t F l ,
faculté des lettres de la figure
3.9 sont dans
un besoin permanent d'assistance de l'organe A,
le CUTI.
Il va
s'en dire que cette nouvelle organisation pourrait davantage
accroître la charge d'intervention de celui-ci.
Selon notre hypothèse pratique,
s'inscrivant dans
le contexte de la politique des moyens,
la topologie du réseau
de communication de la figure
3.9 n'est pas celle du moindre
coût,
s'éloigne par conséquent de nos possibilités .
. Entre autres,
le CUTI non seulement est équipé d'un
mini ordinateur mais aussi a une expérience de traitement de
données de plus de dix ans en plus de sa mission d'enseignement
en informatique.
Géographiquement, ce centre est situé à une
faible distance d'un nombre important de sites utilisateurs,
dont
il gère les données.
Ce facteur de distribution géographique est
une des données de détermination de la configuration du réseau
télématique (LORR79).
Il fait
apparaître la notion de densité
et celle de dispersion des terminaux au centre serveur.
Nous avons souligné qu'au sein du campus les micro
se sont multipliés sans qu'on s'en aperçoive.
C'est le moment
dira-t-on de se demander s ' i l ne serait pas opportun d'appliquer
la loi de la variété requise,
en les orientant vers un mini
ordinateur,
un peu plus puissant afin d'homogeneiser leurs uti-
lisations et par la même occasion instaurer l'échange d'infor-
mation entre l'ensemble des équipements.

-
100 -
Il est aussi vrai que la technique informatique
évolue vers la compatibilité entre différents constructeurs,
dans ces conditions une informatique de
plus en plus homogène
peut aisément s'installer et de par ce corollaire déCl~ncher
le concept d'infocentre dans ce milieu universitaire qu'est
le campus
(KRAJ84).
Ainsi,
en dehors des arguments économiques ou aux
moyens,
le bon sens s'accorde à attribuer au site A,
le CUTI
d'abriter le serveur télématique de l'Université.
L'étude menée montre que pour l'implantation d'un
réseau de communication il peut exister une plurarité de solu-
tion de structure de représentation.
Comme tout
investissement
le choix est souvent fonction du paramètre coût.
Il faut retenir par aillelJrs
l'intérêt de la concep-
tion logique du système avant
l'évaluation en terme de moyens
techniques.
111.5
ETUDE D'IMPLANTATION DU RESEAU
Nous venons d'élucider le choix de la topologie géné-
rale de représentation du réseau de communication.
L'objet de
ce paragraphe s'efforcerait de bien montrer qu'elle pourrait
être la démarche du concepteur après l'approche théorique.
Il
a la charge d'opérer plusieurs choix concernant le système
informatique,
les supports de
transmission,
le matériel de
stockage et de traitement de données,
les
terminaux,
le logi-
ciel.
Il faut entendre par système informatique le couple
matériel,
logiciel.
La recherche d'une solution satisfaisant les objec-
tifs à atteindre,
doit se faire en respectant un certain nombre
de critères de nature techniques,
économiques,
pratiques qu'il
conviendrait d'examiner les plus indispensables.

101 -
. LE FACTEUR TEMPS
En télématique le facteur temps est un critère essen-
ti.el.
En effet quand vous utilisez un système le critère réponse
est celui qui apparait le plus rapidement.
Ce faceeur intervient
sous différentes formes selon le type d'application.
Selon que
vous êtes en mode transactionnel ou conversationnel votre temps
de réponse varie.
Ce temps de réponse correspond au temps qui s'écoule
entre la fin de l'entrée du ôessage
et l'apparition du début
de la réponse.
Dans certains cas intervient le délai d'établis-
sement des communications
(temps théorique),
le temps nécessaire
au terminal pour entrer en relation avec le centre de traitement.
Comment obtenir le meilleur temps de réponse ? Pour
une bonne réponse à cette interrogation,
l'attention doit être
portée sur l'étude du poste de travail,
le matériel notamment
en ce qui nous concerne le débit d'informations du modem.
LE TRAFIC
Le trafic est lié à l'activité des terminaux connectés
au réseau ou encore à la charge momentannée du réseau.
Le taux
d'occupation ou encore le trafic moyen mesure l'activité des
terminaux.
Ainsi le terminal est caractérisé par deux paramè-
tres
:
-
le taux d'occupation de la liaison ou le trafic
moyen exprimé en E (erlang)
E
---~-~~---
3600
-
ou N
Nombre de communications par heure
T = La durée moyenne exprimée en seconde
ce paramètre E dont
la valeur est comprise entre
o et 1 (0 <E (1), permet de savoir si le terminal

-
102 -
est peu ou souvent en activité avec le centre de
traitement.
-
Le taux d'activité qui exprime le débit maximum de
liaison
...
Dt
nl
=
d
T.d
nl
ou
Dt
exprime le débit du terminal
or
d
T.logV,
caractéristique du modern associé au
terminal
;
V
la valeur di sognal
;
n = nombre de transmissions
1 = longueur d'une transmission.
Ce paramètre doit être suivi de près chez le fournis-
seur pour cerner les avantages du choix.
Il est à faire remerquer
qu'à la multiplicité des systèmes et des applications télémati-
ques correspond une grande dispersion des paramètres étudiés.
Ces paramètres du tableau ci-dessous interviennent pour certains
dans la tarification du réseau
(GUIL74).
l
l
E
l
TAUX
l
d DEBIT DU
l
l
TYPE D'APPLICATION
l
NBRE ERLANG l
ACTIVITE l
SUPPORT
l
1--------------------------1-------------1 ---------1-------------1
l COLLECTE ET DIPPUSI0N
l
0,1
l
1
l
600b/s
ct
l
l
l
l
l
1000 b/ s
l
1--------------------------1-------------1----------1-------------1
l
TRAIT.
TRA~SACTI0NNEL
l
0,5 à 1
l
faible l
600
d
48001
1--------------------------1-------------1----------1-------------1
l
CALCUL SCIENTIPIQUE
l
0,6
l
0,05
l
1200 d
48001
1----------------------------------------~------------------------1

-
103 -
LE CRITERE GEŒRAPHlÇUE :
La distribution géographique est un facteur cl~ de d~termination
de la configuration du réseau. Il fait intervenir les distance;;; qui .s.~parent
les différents sites. Les rresures sont les paramètres éloquents de âecision
du site serveur.
LE FACTEUR POLITIQUE
L'apparition d'un systèrœ télerratique peut s'accompagner de chan-
gement dans l'organisation, en outre d' une redefition des resçonsabilités
selon le déplacerrent probable des centres de décisions. Elle peut aussi
accélerer une déconcentration ou par contre favoriser une centralisation.
Pour prévenir ce type d'inconvénient, le concepteur çourrait se
reférer dans ce cas au type de terminal à choisir, selon que c' est un ter-
minal dit "intelligent" ou passif. Dans le cas qui mus précccupe ces deux
tYf-€S
de terminaux seront utilisés et ce, selon les sites à connecter.
La nécessité serait de veiller à la compatibilité des materiels. Il
faut se souvenir q'un système tél~tique est une opération qui consiste
essentiellerrent à faire cohabiter et travailler simultanÉment deux techniques
l'informatique et les télécommunications par consequent plusieurs types de
matériels.
LE MAlliRIEL DE CESTU (CENrHE SEHVElJ'R TELEHATlQUE DE L'UNIVERSITE)
Instruits des paramètres theoriques indisJ=.€I1Sables
au bon choix
du systÈme informatique, mus allons procèder à l'examen du materiel de CES'IU.
Le ITB.tériel du centre serveur se divise en
- équipEment de transmission de données
- équipement de stockage de donnees.

-
104
-
Ce domaine concerne la télêcorrmunication et son ilnportance n'est pas
à sous estimer dans le coût de la configuration du serveur. Acqueril;" un ordi-
~
.
nateur et des logiciels ne suffisent pas pour cornr:oser un serveur. Le [..ûicis cie
l' è.S~
telecoms dans la ruse en oeuvre d 1 un serveur n'est pas toujours- bien t-en,- u
et peut entraîner des erreurs d'appréciations. C' est un peu aJIllI'e le dessous
de l'iceberg perpetuellement invisible. Seuls les cligrotenents de quelques
voyants témoignent de la vie des boites noires de tëlecoms
qui assurent
l'interface des réseaux. A chaque fois qu'un caractère est frappé sur un
tenninal, il est transmis au point d'accès, puis renvoye avant de s'afficher
à l'écran dans une alchiJrüe de protocole telécomnunications. Ces roites de
télécans
sont de véritables micro-ordinateurs, mais qui ni ont pas de clavier
ni d'écran.
Ces micro-ordinateurs ou encore micro-processeurs sont appelés :
cornnutateurs, modems, Im.Ùtiplexeurs, coupleurs, frontal, adaptateur, anula-
teur, concentrateur voir en annexe
!"3-ge 1b4, les rrincirales interfaC(;S
t€::leCOf'l:-;,
leurs IŒ,ct.ions, 1.E:..;.rs prix en
FF HI' .
. Le MJDEM :
Ce disJ:Xisitif électronique rèalise la ircdulation ou la daroctulation
des signaux: transmis , voir glossaire.
La présence du MJDEM est reeornrra.ndée au-delà de 300 In (BAREti2).
. L'adaptateur :
Ce matériel est nécessaire par le fait qu 1 un certain ranbre de ter-
minaux ne peuvent pas s'adapter à un protocole standard. C'est le cas de ceux
qui ne travaillent qu'en rrode caractère (asynchrone). ces termi.n.aux necessitent
une adaptation dans TRANSPAC comrre dans SYTRANPAC p3Y l'adjonction dans les
commutateurs d'accès d 'lm logiciel specifique appelé PAD interne
au logiciel
TRANSPAC, voir figure 3.12.
, /

-
105 -
selon le typ2 de ETID, micro-ordinateur ou oon, à p:utir ct 'un ter-
minal le circuit virtuel s'établira entre PAD ou oon. Le PAD est active par
l'ordinateur grâce au dialogue défini dans le protocole x 29
lordinateurl-L-~-_~
f~lE:tYP=_J
\\.........t - - - - - - - I.......
x2b
_!
• X25..
4 - -....,:
1
X25
} = Interfaces de raccordement
X28
X29
Frotocole de p3Iamètrage du PAD
X3
spécification fonctionnelle du PAO
Figure 3.12
les avis relatifs au dialogue a travers un PAO.
Quels sont les paramètres qui influent sur le choix des éqUipements
télécoms d'un serveur ?
· On distingue les applications informatiques traditionnelles,
spécialerœnt conçues p8ur le vidéotex dont on veut élargir la diffusion ou
la consultation i
· On tiendra compte des p8ssibilités d'entrée-sortie de l'ordinateur
serveur c'est à dire
- coupleurs de transmission asynchrone, synchrone
- protocole standard de transmission XL:>, x29 ...
· Sur quel réseau le serveur sera-t-il raccorde ?
- réseau téléFhonique (RI'C)
- réseau transpac
ligne spécialisée, autocommutateur privé

-
106 -
. Est-ce un accès mixte à tous termiœux type vr 100 ou IBM 3270
ou questar ( rKC700 1) ... ?
Les [ossibilités de configuration sont multiples et diffèrent selon
les réseaux utilisés et les machines.
Prenons le cas de l' ordiœteur qui gère en stardard les r:-rotO<?Oles
X25 et X29, on peut le raccorder directerrent sur une ligne d' arrivee TRANSPAC.
Pour les arrivées R1'C, il faut faire appel à un ou plusieurs concentrateurs
avec nOOerns ou non en entrée [our offrir une sortie X25.
Si le serveur utilise plusieurs machines, on pJurra raccorder les
lignes d'arrivée Transpa.c sur un conmutateur X25.
On voit que l' fquiperrent de transmission de donnees fait p3.rtie d'une
gamœ d'interfaces qui sont de véritables unites de traitement deOi.É::e5 aux
télécorrrnurücations pJur la gestion des entrées-sorties cl 1 un serveur. L' agence-
rrent de ce IlB.tériel mérite une étule pJussee cas par cas suivant la oonfigura-
tion retenue. Quelque soit le coût de ces équiperœnts, ils sont indispensables.
En effet ils permettent d'utiliser au rnieux les ressources du serveur et gérer
le rraximum d' entrée-sortie avec le minimum d' abonnement PTT, en utilisant
judicieusement les différents réseaux d'accès.
En fonction du choix de l' ordiœteur serveur, nous reviendrons sur
l'impact du matériel télécoms sur le serveur.
EQUIPEMENI' DE srcx::KAGE DE [Ûl\\1NEES
-~-------------------------------
Le choix de ces équiperrents se limite nécessairerrent aux sup[Orts
d'accès rapide et ne présente pas à notre avis, des difficultes maj eures .
Contrairerrent à certains investisserrents, beaucoup d'entreprises
n'ont pas pu bien utiliser l' informa.tique, parce qu'elles avaient acheté
un rratériel inadapté à leurs besoins. ce danger est enoore plus im[-artant fOur
le choix d'un équipement de réseau télÉmatique, puisque celui-ci doit être
adapté et aux besoins (services) et à la structure du réseau.

-
108 -
- des unités de disques magnétiques
- un dérouleur de bandes magnétiques
- une impriIPante
...
- une unité de disque~~es
- des terminaux.
Pour les équipEments de transmission, mus profOsons
un frontal de. puissance 48 voies
- des coupleurs de transmissions
- des rrcderns.
Le serveur sera raccordé au réseau national p:rr
- ligne RI'C (réseau téléphonique comnuté)
- lignes spéciales (LS)
la figure 3.11 rrontre l' archi tecture générale du réseau ; celle àe
la figure 3.12 présente une vue détaillée du centre et aussi du bloc de
secours prévu.

-
109 -
r----- ~
1
1
~.
- - - 1
1
i
!
1
. _ ;
1
J
/
Terminal
\\ '-,
' X
...
/
_---".
1
PAO
1
PAV
/ -
1 Rte
Rte"·
SYTRANPAC
/
/
1
..... ---_.--._-_._,
. ,--
/
l/l
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~i •\\\\
~
.
MODEM!
\\
ii
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\\\\
/
.
/
1
\\
\\
l
\\
.\\
\\ \\
FRONT~-L- --~ /1
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f /
1
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~-----,-t-!
1
1
\\
, \\ - ,
!
2n/_!--'---~----'-i U. C
Con9J 1 e
-l_ ..
"'-60M
60M
\\
FIGURE 3.11
ARCHITECTURE
GENERALE DU
::J.--S1:AL
'\\

-
110 -
CESTU:
CENTRE
SERVEUR
L' UNIVERSITE
TELEMATIQUE DE
. mul tané'
l~ Gl GANPAC
'"
D RECT
S
RTC
00
TC
200
SYNC
S
X25
~8"
8"
f7JIp 1-1 ê0
1
1-
~~=>
GA
~] MG 1
"
~ _1
CENTRE
EQUIPEMENTS DU
DES
12 VUE
DETAILLEE
FIGURE)_

-
111
-
Du fait de leur dispersion géographique et de leur variete, les
tenninaux ne seront pas tous connectés de la mêIœ façon au serveur, voir
la liste des tenninaux par entité ci-dessous. Signalons que ~ facultes
de droit et de sciences Économiques possèdent trois terminaux reliés direc-
tement par cable à un adaptateur asynchrone au site serveur.
Les services du rectorat p:lssèdent trois terminaux raccordes au
CESTU via le frontal. Cet enserrble peut se decrire corrrne suit :
EQUIP~~ CESTU A L'ETAPE-l
Quantite
Puissaoce
Ordinateur central mini-6 CIl -BULL
1
1000 ko
. Unité disque magnétique
2
256 M X 2
. Unité de bande rragnétique
1
1600 bpi
Irrpriffiante
1
600 lp/rn
téléimPrimante
3
Frontal
1
48 vi
Terminal
12
(centre de calcul : 3)
(utilisateurs campus : 9)
Ligne RI'C
1
1200 bis
Ligne SP
1
300
bis
LISTE DES TEPMINAUX PAR ORGANE
1
TERMINAUX
ENTITE
i--------'--------+---
,
Phase-l
Phase-2
Total
CU~I
3
1
3
Faculté des Lettre
1
L
3
. 1er
1
l
lIA
1
1
Rectorat
2
3
5
Bibliothèque
2
2
Scolarité
2
L
CUIP

-
11
Faculté de Droit
1
1
Faculté Sciences Economiques
1
1
Faculte des Sciences
2
4
Faculté de MÉdecine
1
2~
3
OCM
1
1
2
S G l
2
ENS T P
2
L.
'IDI'AL
11
19

LE LCGICIEL DE CESIU
La solution logicielle, comme toujours est celle qui pose le plus
de problÈme. Les exemples le rrontrent qu 1 à une solution rmterielle, corres-
pondent souvent n alternatives fûur le logiciel et le choix n' est pas tou-
jours évident.
En ce qui nous concerne nos propositions doivent integrer deux: axes
de services
La recherche d' inforrmtion
- Le traitement scientifique et gestion.
Pour ces deux axes de services, un mrnbre impxtant de logiciels
peut être prop:>sé. Çuant à notre preoccupation mus proposons de faire l'exa-
men comparatif des deux logiciels qui répondraient à nos besoins É::mnces. Ce
sont:
- Texto diffusé par CHEMDATA SA (FRAKCE)
- JlBcex::: diffusé par SLIffiS (FRlI..KŒ)
Les normes de comparaison retenues FOur appri::cier ces deux: progiciels
sont
- L'organisation des données
- Le langage de zranipulation
- La mise en oeuvre et le coût financier.

-
113 -
L' ORGANISATION DES OOr-iNEES
. Texto est un progiciel de gestion documentaire àit universel r.our
l' 8tendue de son apFlication. Son implar.tation est [Ossible sur ëre tr8s YDrn-
breux systèrres.
Les inforTPations sous texto se re}J3.rtissent sur trois tyt:.€s
de
fichiers suivant l'organisation classique des fichiers voir fiche technique
annexe
p"cre 189.
Il renœt de créer des applications documentaires.
Une application sous texto se corq::ose d /un fichier et des in.:3.ex
qui
lui sont relié à plusieurs autres. Cn fichier peut avoir des infomations
stockÉes dans d'autres fichiers. LrE telle organisation est, à ne pas douter
quelque peu complexe au }'Oint de vue exploitation .
. J1BD:.X: est adapté à la gestiorl docurr,entaire. Il est davantage un
systèrœ de ge.stion de bases de donnêes. Son implantation est jusqu'a ce jour
reservée au matériel CII-HB. Les inforrrations sous JLELOC se re~issent sur
huit fichiers, d'organisation classique.
Avec ce prcx:":uit, on est en rresure de définir des bases d' infornations
exerrple base d'inforTPation scientifisue, base d'inforrration bibliographique
etc ... JlBCCC f-€ut
surr-orter un rx::>r.bre total de 16 bases par rroniteur DI'F sous
GCŒ.
LE U_NCAGE DE tvlAr-4:PUlATION
. Le logiciel Texto fonctionne sous un langage de comrranae gui auto-
rise multiplesco~binaisons. Semble-t-il qu'aucune connaissance n'est requise
[Our l'utilisation de Texto. Il Y a cependant une fhase d'apprentissage iné-
vitable à la rraîtrise des différentes corrbinaisons.
Il Y a des difficult8> d'utilisation dès l'instant où i l faut satis-
faire les carriees des clientèles c.a.d. ecrire des rr.enus adaptes, çar EXEmple
à. rroI"Qs de la mise a jour des fichiers ou des programres ct' interrogation. 1

-
114 -
Ces rroblèrœs sont rÉSolus r:ar la solution LCXDTI:L. C'ESt un deuxième logiciE::l
cui soutient TEX'ID et pennet ccnsiderablement d' êtendre le ch~ d'utilisation
de celui-ci. Ce langage de prü<]Yarilmêl.tion Fermet Cl' écrire des af;f;lications du
type :
- ccnception des programIT€s
d'interrogation assistLe avec menus
Diloter auto!J1atiquer.'eIlt f'ë'I le logiciel TEX'ID i
- ccnception des: prograr.rnes de saisie ou dé r.ise ct jour assiste
avec menus ;
automatisation des tâches refêtitives Far la mise en oeuvre des
procédures.
. Le J1BIXX, système de gestion de oase de donnt::es, ne [ose aucune
contrainte d'utilisation, en rrDde conversationnel. L' autofonnation est pro-
gressive et sans grande èifficultt:. Les à.iffE;rentes fonctions de traiterrent
sont assurées par des
utilitairés. Un des avantages inâiscutables est de
rouvoir faire a~'F€l à n' i.Jnrorte c.;uel langage de progran1l1'ation camne ldrq-age
hôte ~ La r.articularité de J1BOC'C rÉSide c1afl.5 ses IXTI'S
~ui laisser.t libre
court aux prograrrrùeurs d'innover dans son style de ~rogramITatio~.
MISE EN O:rUVRE ET cour FINAN:::IER
en FF. H.T.
CIlISSE
PRIX
'laI'AL
'TIXTO
IDCDTEL
TEX'IO
1
LCXX.h'LL
i
1
1
200 000
60 000
!
24 liOlJ !
9 6ÜÙ
313 OOC
'-
~.- - ..+--1- - - ' - - L__
c.a.d. 156 800 000 F C.F.A

-
115 -
. la mise en œuvre et l'utilisation de JLBLCC nœessite un minimum
de cOnI"'..aissance du systèrre C-CüS sur MIt."'I -6 .
Ces utilitaires et des procédures parametrées rerrrLettent ci 1 initia-
liser des bases èe èonnÉ.Es sous JLEDX.
~
L' ao;uisition du proèui t JLBIXC revient a un coût très faible de
FF la 000, frais oe rraintenance incluse c.a.o
SOC. LvU Fi\\.::> CFA.
l\\Oous cowons conclure ce c:rui suit:
le logiciel TFJ,."IO est très connu sur le rrarché et figure rrêrœ au
tableau d 'honr,eur des proaiciels les r-lus cités, selon l'en::ruête CXP - 01
Inforrnatique 1983. Ceci s' exrlioue rar son anciennete d' errrloi. C'est ci. rDtre
avis un :rroduit contraigD..ar.t, très coûteux. Pour mieux l'utiliser l'on est
contraint cl 1 acheter :LCCüIEL et d' apprendre indubi tablerœnt deux produits
prQ?iciels au lieu d'un.
!,'ous avons souci de développer àes bases d' i:r.fonnations consultables
par tout utilisateur du serveur. Le 10giciE.l TEX'Iü ne nous permettrait pas
d'atteindre ces objectifs.
a)
REX::HERCHE D' INFDPJ1A7IOl\\i IXX::UMENTIURE
:
wtre choix se porte sur le logiciel JLBLCC, tres adapte au ITBtE::riel
M~"'I-6et qui présente toutes les caracteristiques pour un dLJVeloppement aise
de rÉSeau télématique. Pour Flus de detail voir documentation JL3rœ V3.0.
Par ailleurs des aprlicatio:rs de gestion sont rcalisaLles sous
JLBrxx:: .
b) LE TRl'JTEMEl\\T SCIEt\\"ITFIQLll.
Il existe indéniablement des langages plus adaptes aux traitements
scientifiques. Nous retenons quelques uns tels le PASChL, le FORI'Rf.N, l 'ASSEN-
BLEUR, le CDBOL, le Bl'SIC.
Il est aussi i.r.portant de souligner que le systérre de gestion de base
de données, Jl.BIXC autorise à l'exÊcution l'association de tout langage ae (
y
prograrnrration. En d' autres ternes sous JLE!X)C il vous est possible d' ùppeler
un sous rrograrrme ÉCrit en COBOL, en FORI'RJI,}.; ou en ASSIP,BI..EUR.
"

-
116 -
III .6
mcI' D' IMPIA1'lI'ATION CU CEJ\\7l'RE
L' Évaluation du coût se limite au centre serveur têhmatique et ce
p:>ur plusieurs raisons. Il est toujours [OssiDle si nècessairej de ir'esenter
une valeur ITonetaire du réseau intégrant le centre et son environnemEnt.
R.éÙ.so11I12blerœnt, l'intérêt de cette o[ETation de coût global est très
faible, surtout nue ce ccût ne relève guère d'un l:uèget fixe. Il s'agirait cie
f~~re la s~ation des coûts élérentaires des différEntes entites constituant
le réseau. 'Y'outefois les frais financiers du réseau local peut être aboràé à
titre d'intérêt de rortée informationnelle.
ceci étant, arrès d' irnrortants c<::XlIIYentaires et argurnents clcx:ruents
en faveur èes services dE: la télématique, tout interlocuteur attentif ou de
notoriété scientifique se poserait utilement la question toute siniple, de
corrbien faut-il débourser pécunièrerrent pour être à l'heure ôe la t~l~tique
à l'rniversité ?
A cette interrogation, il faut faire la prerr~~re rerrarque à partir
des orinions de chercheurs selon laquelle le août d' un r~seau local ü.' une
entreprise co~ celle de notre étude, s'8tablit autour de LO % pqur ce qui
concerne les éc;uiperœnts et les logiciels fournisseurs. Le reste, c'est de
"1 'huile de coude", de la reflexion, àe la IT:éthodologie intuitive, toutes
inchiffrables.
ce na.r cette rerrB.rgue qui fixe globalement le coût de l' éCluipeœnt,
nous allons distinguer le coût de l' infranstructure rratérielle en deux parties
août des équirernents de transmission
. coût des èqUiperrents de traitement et de stockage CIe donni2es.
l'u paragra[-'he du choix de materiEl, chapitrE III.S, nous avons
arrêté et précisé la puissance des rnat~riels inforITatiques et t~lteorrm1uni­
cël.tions que nous avons jugés nécessaires à l'implantation du centre serveur.
l"ous allons ici dans un rremier terrps chiffrer la charse fim.nciere par groUfE
ci--dessus .

-
117 -
III .6.1.
com Df.5 EQlJIPIMEI\\"'I'S DE TRANSr-nSSION
. FROI\\1J'AL, r.arcue et rro:lèle A21
4 100 000
!"ODEMS
Controleur co~unications
1 ·0:>2 520
l'èantateur èe lignes Vill
3 706 080
Er, dehors du fl0DFM dont le prix est inclus èans l'abonnement au
rése2u té]éc~unication, le coût indicatif des équiperr€nts
de transIT~ssion
s'elève à 8 ese 600 F CFP soit 9 000 000 F CFA.
III.6.2
cour DES EQUIPEMEl\\'TS DE TRAITEMENT El' DE STCCKAGE
DES OONNEES
Matériel
- mêrroire
1000 Ka
- disques
2 X :c.56 t-b
- imprimante
600 liron
- dérouleur de bande
1 X 60 Ka
- terminaux ecrans
logiciel
- systèrre GCOS
- COBOL
- JLBOCC
- moniteur de téletraitffoent .
. Les coûts
Vente
Maintenance
(1)
. Processeur central
= Ll bù1 055 F CFA
DFS 7135 100U Ka
Li 1<10 1bO
233 77b
Frotect. I1'icrocoupure
654 &95
3 54G

=
- 11S -
( 2)
· IrrrriITante
S 9S2 Ub F CFA
l..èartateur .iJ!'rTi.r'ante
1&5 220
1 9%
Inpri.rrante 600 l/I:1n
S 600 70G-
06 S7b
Bande rorte caractÈres
166 896
(3 )
!Jisques
= 17 677 E;OO F CFI.
Discue arrovible 2 X 2S6 MJ
17 677 600
ISI 046
(4)
· Terrir2ux ëcra..--:s
4 StiS 59b
S écrans synchrones 1920 C
3913 45CJ
~4 190
S cables Vl11 [our CKl'
147 600
l'èresser lignes synchrones
SC4 648
(S)
· Cérouleur de bandes
1S 026 03&
Processeur de bandes
6 246 132
26 OS0
Cérouleur de bande
E 779 906
96 90(;
(6)
Logiciel
= S 143 320
C,(X)S YOD 400 F.3.0
2 142 720
116 064
COBOL
2 SOS 600
44 5ti4
JIBCCX::
'~OO 000
Le coût à titre indicatif des matériels de traitement et de stockage
s'ÉlÈve à
(1) + (2) + (3) + (4) + (5) + (6) =
70 171 927 F CFA
Fin21~nt la valeur du cer.tre serveur pourrait se chiffrer glo~a­
lerrent à 79 000 000 F CFl'. Soit 158 000 FF.
.1'1." l 0 • (l <0")
-----
Four la configuration retenue, ce coût reste un élément indicatif
rour notre étude.

-
-
119 -
Il convienc1rait de teIT'iner ce chapitre de coat I='ar quelques
estifr'ations èe charges financières ayant trait à l' exrloi tation du serveur,
c'est à è.ire le coat d'utilisation c1u reseau, celui de fonetfonneri.e~t par
noste travail ....
111.7
ESTIMATION DU CCOT D'UTILISATION DU RESEAU
OOI\\l:ŒES DU PRC'BLEfvlE
- durée maximale de connection d' un terminal =
1300 h/N.
- vol1JITE rraxi.rr.um estim~ lecture et saisie Far
poste (voir figure 3.12 le sche~a de descrip-
tion d'un poste de saisie)
=
L7 CCO/KO/M
. Coût du stockage au niveau du serveur : (CES'lU)
Stockage : 2 000 000 F CFA nT/millions d'octets par rrois
Base de calcul 1500 r[férences/an à 2,5 Ko/rufLrence, soit
3,8 Mo/an arrordis à 4 fv'G d'où un accroissement lint:.a.ire ce u, 33 Mo/rois
1
fs-ToTT..~._.
!
1
A
1
2
3
4
9
lu
11
1~
1
, P.
0,33
0,66
0,99
1,32
I l ,65
1,9b
L,31
2,64
2,97
L,3ü
3,63 i
3,9S
-
. - -
C
1
1
1
2
2
2
3
3
3
4
4
4
_. --
. - ---1
' -
D
2 M.
2 l<.
2 M.
4 tL
4 F'I 4 M
12H.
lLM.
12M
16M.
IbM
IbN.
__
- - -
.
~ - _ .
._-~
114 000 F CF;: h'T/AI'
CUHLliBLE
M == r--:illion

..
-
120 -
P.
Mois
B
QuantitÉ r8elle
C
Million d'octets indivisibles
o
Coût
. Coût de fonctionnement far [X?ste
Ce forfait est établi sur la base d'une utilisation annuelle de
1 300 heures
dont le coût IT.ensuel est de
155 037,50 F CFA BT
soit annuellement
1 671 .L~O F cr']\\ ET
ce forfait cou~e :
- le terrrs d'utilisation rrachine
- la participation logicielle
- le suivi et assistance
- IT8interance des divers fichiers
- ouvertures des nouvelles pages
- statistiqœs
- les ëditions standard de rraintenance , lexis'Ue et 'ÙÙ:$j-,UKUS
une fois par rrois.
auxc.uelles viennent s'ajouter les frais de stockage et 6e
gestioL de sauvegarde.
Les autres éditions feront l'objet d'une facturatioc sr::«:iale.

-
121 -
IV - LA BASE DE DONNEES DOCUMENTAIRES
Comme tout système le réseau télématique peut se diviser
..
en deux grands composants inter indépendants qui sont
1 - LE SYSTEME INFORMATIQUE
Il constitue l'ensemble des moyens, matériel et logiciel
destiné à mettre en oeuvre la partie automatisée du système d'in-
formation. Au paragraphe précédent, nous avons étudié et proposé
les éléments de cet ensemble.
2 -
LE SYSTEME D'INFROMATIONS
Il'est constitué de l'ensemble des informations et des
traitements. C'est cet ensemble que nous nous proposons d'organiser
sous forme de base de! données pour une meilleure exploitation
par le système informatique pour les services définis au niveau
du réseau télématique.
Nous jugeons avant toute chose,
la nécessité de donner
quelques bases théoriques pour comprendre l'organisation des
ensembles de données en modèle de DONNEES puis en base de données.
La notion de modèle de données est apparue avec le
. développement des systèmes de gestion de base de données
(SGBD)
dès l'instant où a été définie la distinction entre la description
des données à l'aide d'un langage de description de données
(LOD)
et la description des traitements par un langage de manipulation
de données
(LMD).
Pour B. ROY,
"un modèle est une description mentale
(intériorisée), ou figurée
(diagrammes,formules mathématiques)
généralement réduits aux traits essentiels et ayant un caractère
symbolique qui, pour un champ de questions,
est pris comme
-----------------------~~~-,.=-".~
..,=---•._.~~-.-=~~ ".~~_ ..

-
122 -
représentation abstraite d'une classe de phénomène, plus ou moins
habilement dégagés de leur context~ pour un observateur, pour
servir de support à l'investigation et ou à la communication".
Selon MINSKY,
"pour un observateur 0, un sujet M est
un modèle d'un objet A" dans la mesure où a peut utiliser M pour
répondre aux questions qui l'intéressent au sujet de A.
De ces définitions se dégage une logique d'une préoc-
cupation, celle d'un problème à résoudre, dans la mesure où ce
modèle est crée pour répondre à un certain besoin de l'usgar.
Selon que le gestionnaire voudrait retrouver les données
dans la base ou que l'analyste voudrait savoir comment sont reliées
les données entre elles ou que le programmeur voudrait connaître
comment sont stocktées les données dans la base, i l apparaît
un nombre infini de modèle de représentation.
Or, nous savons que tout phénomène de la nature à une
disposition matérielle, une structure descriptible, reconnue en
un tout et distincte des autres. La question qui reste posée
serait de savoir comment obtenir une représentation fidèle et
cohérente du réel sans qu'elle ne souffre de l'usage que l'on
en ferait? Les aménagements qui devaient apporter une réponse
à cette question viennent des travaux de ANSI!X3!SPARG
(ANSI75).
Il est proposé ce que nous pouvons appeler le "modèle de l'entre-
prise" '(ARTR80) auquel dépendent toutes les autres vues de la
structure de la base de données.
Quant aux définitions de bases de données,
elles se
complètent mutuellement
- Une base de données est un ensemble structuré de
fichiers regroupant les données nécessaires aux traitements de
plusieurs applications internes à l'entreprise
(TARD79)

-
123 -
- Une base de données est un ensemble structuré de
données enregistrée~ sur des supports accessibles par l'ordina-
teur pour satisfaire simultanément plusieurs utilisateurs de
façon sélective et en un temps opportun
(DEL082) 1
- Une base de données est un ensemble de données
structurées, cohérentes non redondantes, interindépendantes de
tout programme d'application particulier, et accessible direc-
tement suivant de multiples critères
(HURT78).
La figure 4.1 illustre mieux la différence entre l'orga-
nisation des données classiques et celle dite de base de donnée.

-
124 -
g-----.l.._ITraitement 1
ENTREES
-i> SORTIE
Traitement
3 I----.. ~
~
FICHIERS
SORTIE
l
SAISIE
ONTROL
M.A.J
~
SORTIE
4
FIGURE
4.1
SCHEMA ILLUSTRANT L'OPPOSITION ENTRE BASE
ET
DE
FICHIERS CLASSIQUES TRADITIONNELS

-
125 -
IV.l - ESSAI DE DEFINITION D'UNE BASE DOCUMENTAIRE
Eu égard aux définitions ci-dessus,
la ~ase 4e données
documentaire peut se définir comme un ensemble de données struc-
turé de fonds documentaire.
Cette définition est trop plate à notre avis et ne
reflète pas l'objet de la base. Car selon DATE
(AN082),
un
ensemble d'information structuré n'est utile que par les opéra-
tions dont i l serait possible d'y effectuer. Partant,
nous refor-
mulons la définition suivante
Une base documentaire est un ensemble informatif
structuré de moyens pour :
· Acquérir,
·
Interroger,
· Modifier,
des données.
AC QU E R l
R
L'acquisition des données est le fait de la faire passer
d'un support interne sur un support externe où elle se conforme
à
une certaine structure d'utilisation. L'acquisition est effectuée
par un programme interne à la base qui n'est autre qu'une
équation de recherche exprimé en instructions machine.
l N TER R 0 GER
Interroger une donnée c'est chercher en extraire des
renseignements. Ces renseignements sont le but en soi de la
recherche documentaire et peuvent avoir la propriété d'être
communiqué à d'autres lieux.

-
126 -
Exprimer une interrogation,
une question, c'est formuler
les caractéristiques auxquelles doivent répondre les renseigne-
ments à extraire. La richesse des questions dépenclra
. de la richesse de la structrue des données docu-
mentaires. A supposer que notre structure ne comporte qu'une
relation de succession de mots clés, i l serait pratiquement
impossible de poser des questions sur d'autres relations entre
mots clés.
. de l'outillage ou menus qui est offert pour
exprimer ces questions et d'y répondre. Le cas est simple lors-
qu'on peut utiliser un système d'information tout fait, mais se
pose en sens contraire lorsqu'on veut créer un système.
M
0
D
l
F I E
R
Modifier une donnée est une notion facile à comprendre.
Mais les problèmes qui peuvent se poser sont essentiellement
différents selon qu'il s'agit d'effectuer une modification partiel-
le sur une structure ou de modifier totalement la structure elle-
même. Dans ces cas l'autorisation ne serait donnée à qui le veut
de modifier la base
(problème de sécurité de la base). C'est le
sens de notre propos selon lequel l'adoption d'une structure
dépend indéniablement des possibilités que l'on désire accorder
aux données
(voir paragraphe IV.2).
Nous devons compléter qu'un système de données documen-
taire comporte d'une part un système de données en plus d'un écran
dans la majorité des cas, qui permet à utilisateur d'ignorer le
détail des constituants, en particulier structurel du système de
données. Pour citer l'exemple du dictionnaire, un système de donnée~
documentaire donnerait des moyens d'interroger le dictionnaire à
quelqu'un qui ignorerait quelles sont les relations mises en jeu
entre les mots pour parvenir à une réponse.

-
127 -
Notre banque de fonds documentaire se construira à
l'aide du logiciel SGBD, mentionné au paragraphe 111.5.2. C'est
un système complet qui intègre les fonctions qui nous.préoccupent
~
voire acquisition, interrogation, modification de données. De
plus son champ d'application naturel se trouve être les fonds
documentaires.
Généralement,
le logiciel de base impose au concepteur,
des contraintes,
notamment la manière de représenter, de struc-
turer les objets
(données) de la base, et ceci sans exception.
Qu'il s'agisse de SGBD,
SOCRATE,
1MS1L, CODASYL, TOTAL ou SYSTEM-R,
vous êtes assujettis à certaines astreintes, mais seulement
à des niveaux différents.
IV.2 - STRUCTURE DES DONNEES DOCUMENTAIRES
Nous savons que dans les mathématiques, l'on manipule
des objets par des opérateurs qui exi~gent des propriétés communes
de ces objets. Ceci autorise dans certaines circonstances des
raisonnements identiques. De même, i l serait naturel que dans la
représentation des objets
(données) documentaires, qui, à tout
instant demande d'être accédé,
retrouvé, ou subir un certain
nombre d'actions, qu'on cherche à assembler, à regrouper ces
objets qui sont succeptibles des mêmes traitements.
Par analogie,
la structure des données documentaires à
constituer est un ensemble de caractéristiques qui font que pour
certains usages,
les objets les possédant se manipulent de la
même manière.
En résumé, spécifier une structure de données documen-
taires c'est stratifier le document suivant des données ayant une
certaine propriété commune. En effet, certains objets
(données)
documentaires ont un rôle opératoire ou un rôle complémentaire,
d'autres jouent un rôle fondamental dont la présence est indis-
pensable au fonds documentaire.

-
128 -
Aussi,
la matière documentaire recèle dirférents stades
de représentation en mots,
rubrique ou champ,
unité documentaire.
Nous allons illustrer ce formalisme par ée qui suit
c'est-à-dire comment structurer l'objet documentaire? Nous
employons certains termes techniques relatifs au làngage docu-
mentaire qui sont définis par la suite.
Considérons un document par exemple un ouvrage. Ce
document renferme un ensemble de notion ou concept utile à
ressortir,
l'objet de sa consultation. La stratification ou le
découpage de l'ouvrage en ses divers champs doit nécessairement
tenir compte des particularités de celui-ci.
Voyons d'abord les caractéristiques de décomposition
et regroupement de l'objet documentaire:
Légende de syntaxe
= correspond à ou se compose de ;
symboles séparateurs de composant
de champ.
UNITE
I:XXUMENT
=.< ELEMENTS REFERENTIEIs) ~NTENU>
(l)
(2)
ELEMENTS REFERENTIELS
= <PARrIE IDENI'IFICATIO~ 4'ARTIE
SIGi~-"TIOOE>
.
(3)
(4)
())NTENU
=
<MJTS-er.o/ PARI'IE RESUME>
MYI's--eLE5
= <CHAMP)/ (RUBRICUE)
PARI'IE RESUME
= "TEXTE >
(1)
reconnaissance du docunent
(2)
source d' information
(3)
critère de sélection
(4)
inforrration source.

-
129 "-
En appliquant la syntaxe de décomposition,
notre ouvrage
peut être réparti en ses diverses rubriques ou champs qui appar-
tiennent à leur tour à des types de champ :
~
Abréviation
Libellé
~
REr'
référence
REF
ISB
isbn
T
ISS
issn
T
AUr
auteur
I
AUC
auteur collectif
T
TIT
titre
T
IDN
édition
T
IDI
éditeur
T
DEP
date édition
0
TYP
tyPe dOC1irrent
T
DEM
description matière
I
ci-dessus les tyPeS de champ sont :
REr
référence,
I
inverse,
T
texte,
D
date.
Prenons un exemple de réparti tion de CHAMPS par crASSE dl enserrOle Avec
leur nom de groupe :
nom de champ l ~;
nom de champ 2 Y descripteur
nom de champ 3 j
nom de champ 4 1
nom de champ 5 7 descrpteur-l, descripteur-2
synonyne
nau de champ 6 )
nau de champ 7 )
descripteurs
nom de ch.arlp 8 7 texte
)
nom de champ 9 J
texte
1
nom de chaup l 0 ~ genenque spécifique
(
>
;hiérarchiE
nom de champ Il
1
1
générique spécifique
J
!

-
131
-
Capitales CEE
Londres
Paris
Bruxelles
Voisinage ou association
- navire
- bateau
- vaisseau
Unité Documentaire
l'unité documentaire désigne le plus petit
ensemble s'identifiant à un objet documen-
taire au sens du langage documentaire, voir
la structuration de l'unité documentaire
ci-dessus.

-
130 -
IV.3 - DEFINITIONS DES MOTS DU LANGAGE DOCUMENTAIRE
Se familiariser avec les techniques documentaires n'est
~
pas le souci du commun des mortels.
Il conviendrait pour parler
le même langage, de fournir quelques définitions relatives à la
recherche documentaire.
Document :
On désigne par document,
un ouvrage, un livre, une photo,
un courrier
Descripteur
C'est un mot ou un ensemble de mots qui caractérise un
document sur lequel l'utilisateur peut porter sa recherche
Lexique
:
Un lexique est l'ensemble des descripteurs associés à un champ
Fenêtre :
Il désigne le format d'entrée en logiciel JLBDOC, pour
les entrées et les sorties i
Champ
Le champ ou rubrique est le découpage du document, c'est
le plus petit élément informatif du document ;
Thesaurus
:
C'est un ensemble de termes, mots-clés couvrant un groupe
de concepts déterminés. Ces mots clés sont reliés entre eux
par des relations de voisinage, de hiérarchie, de synonymie.
Voisinage, Hiérarchie, Synonymie désignant les liaisons des des-
cripteurs dans un lexique ou dans un thesaurus
; exemple
. Synonymie : bateau, bateaux,
navire,
peniche
. Hiérarchie : soit un document concernant les capitales CEE

-
132 -
IV.4 - LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE LA BASE
..
Dans ce chapitre nous allons à l'aide du logiciel
JLBDOC construire la banque de fonds documentaire. Elle comprend
plusieurs bases de données documentaires dont voir schéma de
visibilité ci-dessous
:
• La_ base
REBIB, référence bibliographique
· La base CESBIB,
gestion bibliographique
· La base CEDA, repertoire des centres de documenta-
tion et archives
· La base CCPE,
catalogue collectif des périodiques
scientifiques.
Nous rappelons que JLBDOC peut supporter l'implantation
de seize bases de données .
.' ,
.'~.
JLBDOC
,. -
1
--
/
""\\
--;.
CEDA
,
\\
~
'=J
/
-.....
- '
1
.'
"
SCHEMA DE VISIBILITE DES BASES DOCUMENT'AIRES SOUS JLBDOC

-
133 -
Nous y reviendrons en détail sur la confe~tion. ne ces
différentes bases. Mais avant, i l conviendrait de passer succin-
tement en revue les possibilités du logiciel, en fait une vue
d'ensemble de son utilisation. Une littérature en 3 volumes peut
être consultée pour plus de détail, notamment sur la structure
et les modules de ce SGBD, ce qui n'est pas notre préoccupation
majeure.
JLBDOC est un système complet de gestion de base de
données textuelles et factuelles. Ceci pour exprimer que les
concepts de confidentialité, de sécurité et de partageabilité
(gestion simultanée des données)
sont assurées par JLBDOC. Celui-
ci peur gérer une banque comprenant de 1 à
16 bases de données.
Le modèle de donnée combine à la fois: l'arborescence
(hiérarchie)
et le réseau.
Une base sur JLBDOC
(voir figure 4.1.)
est répartie
sur 8 fichiers
:
1
- Fichier des lexiques = LEX
2 - Fichièr des descripteurs = THE
3 -
Fichièr des adresses descripteurs INV
4 - Fichier des documents primaires DOC
5 - Fichier des documents complémentaires OVF
6 -
Fichier intermédiaires du système SYS
7 - Fichier des paramètres de disque LIS
8 -
Fichier des références
(INDEXES)
REF.

, .'
L~organisation
de ces fichiers est du type classique
séquentiel,
relative,
indexe.
\\
\\
\\ \\
'.
~
Mani teur
JLBDOC
FIGURE
4.1
STRUCTURE
DE
LA BASE SOUS
JLBDOC

135
.~ Ç~-SGBD 6~fre la possibilité à l'utiliSateur de téa-
,;'0 ~.>:.~:'
. -;" ....
.
~'
liser des traitements et contrôles qu'il soutraite et ce à l'aide
de 1'''EXIT utilisateur". Cette technique qui est en fait une
extension de JLBDOC répond à tous les besoins particuliers de
l'utilisateur. Ce EXIT est associé au document voir figure 4.2.
et permet sa manipulation suivant le format en entrée ou en sortie.
DOCUMEN
r
/ _ E X I T _ S
L.Z_ _~
JLBDO
EXTn
FIGURE
4.2
EXTRACTION' EXITS
UTILISATEUR
- Les procédures d'initialisation, de création, d'orga-
nasation de la base sont réalisées grâce à des commandes JLBDOC.
- Concernant le réseau, JLBDOC supporterait seulement
,
,' ..
tous les terminaux connectables sur ...'1lliI-6 c'est à dire:
-
console système
Ecran VIP 7200
DKU 7001 ..
DKU 7002
-
Téléimprimante
- l'TU 8124
-
TTU
8126
- Minitel,

136
~~
-,
i~-~
~
4.1 - BASE REBIB
f,
. '
- . ;
......
fi
~
t ....
- c.:_
"
~
.
'
~
Nous procédons dans ce paragraphe à
la création de la
~li
base REBIS,
base de données textuelles des références biblio-
cl:'.'i'l,
graphiques. Cette base couvre les domaines
"
III
t,
1)
Scientifiques
îij
~I!
\\1'
Techniques
I~
l!j
lli
Electronique
Iii
,ii
Mathématique
!ij11
Physique et etc ...
t'
11
il
· Médicales
li
Pharmacie
'/
il
~
Dentaire
"
J}
'~I
Médecine et etc ...
.'
il
~l'
1
[
2) Lettres
i
1
!
· Sciences humaines
1
· Sociologie
1
· Psychologie
1
Géographie et etc . . .
1
i
1
1
· Lettres modernes
· Espagnol
· Anglais
· Allemand et etc ...
.3)
Economiques
.' . or,. ~
'"
Economie
Economie politique
· Economie internationale etc ...
4)
Droit
Privé
· Püblic
·
InternatjJ;':la1 etc . . .

-
137 -
La base REBIB est constituée de document
(ouvràges)
guL ne sont autres gue les fichiers représentatii~.d~s articles.
(unité documentaire)
de la base. Notre base habite ~ne structure
de données décrite plus haut dont les champs sont 'repertoriés
dans des fichiers selon les regroupements
:
'--Î""'ll
Fic hie,
( L~~de~ ----------{>o-- __~~_F ~
BASE
-----.~-._-....
J
Fic hier
- - -__.(...
1
~-_... _---
DOCUMEN
-
THEauserus
, r
1
( -
-
_
---l
TAIRE
i
REBIB
~J
L_1NV
- - - - -
',.
:'
La création de la base va consister à
- décrire la structure des données de la base de
l'unité documentaire en ses divers i~amps
~>~'
\\..' ..
les formats de saisie des champs
.'.' .
-
les formats ~e visualisation des champs.

138 -.
4.1.1 - DESCRIPTION DE L'UNITE DOCUMENTAIRE EN SES bIVERS CHAI1PS
Il faut faire remarquer que la structure et la finalité
de toute base sous JLBDOC dépendent de la création de champs
spécifiques,
de champs appropriés aux services visés.
Toutefois nous avons souligné le rôle de certaines
données dans la description de l'unité documentaire c'est ce
qui explique le type de certains champs tels
champ référencé.
Ce champ est d'un accès unique au
document
. champs inverses composés de descriptions,
perme~tant
une sélection directe de documents,
c'est un sous-
ensemble fondamental
. champs tex~es, alphanumériques, comprenant des textes,
des dates,
des nombres.
Ils sont employés en complé-
ments des champs inversés pour effectuer une recherche
plus détaillée, c'est le sous-ensemble complémentaire.
DESCRIPTION DES CHAMPS
p p p
r1 UI:'~é ra
base,
elle est attribuée automatiquement lors de la saisir
et se présente suivant le format
:
-
- / -
1 -
-
chrono.
1- --
date.
origine
.1_
Ori<:;i ne
caJ-ac tère alph,:.numéri cr \\J8 de 4 posj. tions
Dat,:,
de
l,",
for::,e i'"i..?,SS ou 1\\1'.
:::nnée,
S5
:
numéI
de La semaine
Chrono
3 --::aractères numériques,
le numéro d'enre-
gi~; t.remen t
dans la semai ne.

-'139
-
Ce numéro d'enregistrement. est crée automatiquement
lors de la saisie par une procédure ExiT.
L'origine est renseignée par le site de saisie auto-
matiquement
-
La date est donnée par le système
-
Le chrono est lié à l'origine. La création de ce
numéro entraîne l'incrémentation de totalisateur pour chaque
origine ainsi qu'un totalisateur général.
Ainsi pour la BASE REBI on a
REBI/8527.ûû1
NOM de la BASE. Les deux derniers chiffrës de
l'année,
la semaine,
le numéro d'entrée de la
semaine. Ce champ peut être interrogé directement
en visualisation
(affichage écran)
par la commande
(VI)
. VI REBI/8527.û01
AUT
Le champ auteur,
inversé permet l'interrogation directe par
nom d'auteur,
en cas de doute sur l'orthographe ou la prénom.
i l est possible d'utiliser la troucature
(+)
supporté par
le logiciel.
Ainsi une sélection donnerait
avec la commande utilisateur
(.SL)
C
.SL AUT
: TAYLOR +
C
3 document(s)
sélectionné(s)
Ces trois docwnents peuvent avoir pour auteurs, TAYLOR R.B.
pour deux d'entre eux et TAYLOR S.
pour le sernier.
Aue
le champ auteur collectif fait partie du cha~p texte et ne
peut ~tre int~zrogê qu'indirecte~~nt à partir de l'é:Jpc
précêuence so, cnamp inv~rsé.

, -
140
TIT-
Il en 'estide même pour la zone suivante,
titre.:Il,est
....-:(:",'" ....... :
....
-


" • •
<
~
prév~ .d,l~n,.'.:-~,xtra~re"les termes signi fica t:Î: f~,;,~!;-~·,,4~_;;.bes
, . , ' ,
.
-,
" . " , ,
;-:.'
"
;~~ ~~:.-
fusionner en un index de base avec le lexique descripteur.
sec
La zone"source comprend les données bibliographiques servant
à
identi-fier l' édi tion du document et sa collection"
traitée
... 8}i::;t:~\\~i;~~~ ..~~
. :'
en texte,. ",~ ,
-,-
?:;-F~fu!~~~d':"
TYP
PUB:
Le ch~~p:préc~dent genère les deux champs textes 'suivants
,1tJ!·~~~:A;"jl-;";~' ..
qui ne~~qpf pas visualisés à l'interrogation, -mais-qui permet
." :~ ~~~~~;,:r;i~:::'~~ .
de l'aff,>i"ner
, :)}4J!~::"'~j" '~~'':
f'
,;'~ .:, .
- typ~ de document, thèse, rapport, impri~é~'cart~.:. 1
:'Ë1~:l;~t,\\:ti:J::1V' .... ,.) .-"-,
-:'::~;Ji~.~née de parition, champ, date, conduisant à une
1:'.~\\~~l#!\\-.ti'i'! :1'
reèlierche par les opérateurs numériques
:;>= z..


.~':ç',':\\" '. '
.~ ,Jr:~~·;~~:.~'~ :~~."
. 'I·"~\\l~·;,..:;..,~,,
'"
~
DES
La zone descripteur,
en champ inversé,
constitue le champ'
", ,,~':>:'~.,' .'
",.'.~
d' int:~:~~;~<.îfi,tion,implicite (ou par défaut). Il su~fi.t de
... •• r:' ,r f!:.,f
',~
poser:;:h~~~);::'.~fermes pertinents du lexique sans mentionner
.
·<t~~~wfr;~~~~~ .~
.
,-, '
. la·' commanâ:et., '~-SL ~
" ç . r '
C
BA
C
CLASSIQUES ET LITTERAIRES
C
.003 DOCUMENT (3)
SELECTIONNEeS)
C
VI;: s;-
<Y~.;:i,:-:
s"
.. i .-
- ~:'1
~
'.'
.,"
Ceci donnerait;:
.'
1".. ;.0..,
-. .:. .~~;~iil~i1tt~~~, c' :;:
Ré'férence
REBI 8527001
Molière
- " : '
':-
<.~ •. ',
~!, ·tt,~ ,-, ""~';':", ,,-i.'
"
.,..:
"t-;':' ..
.' ~~~ ','
Tl_E:~:f:,?1ir:;
.."
" , '
LE MALADE IMAGINAIRE
' é " . ", ,-.
Soùrê'e''';:''
,,':,_
:1'.
XIV siècle,
1685
Typ,è:t;documen t
Livre
. ·.~i~:&'~~ftrii,':·;·:::::... !
Date~de publicatidn 00/00/1982
Descripteur
CLASSIQUES:
LITTERAIRE
_ THEATRE
. ':
,
'.\\;'
....

-
141
-
ED. Le champ éditeur est généré par la zone descripteur en visua-
lisation.
Il fait partie du champ texte et ne peut être
interrogé directement.
l\\iP.
Le champ nombre de pages àu àocument.,
rai t
partie du 'champ
texte.
LA.
Le champ langue du document précise en quelle langue est écrit
le document,
fait part~e du champ texte.
NOT.
Le champ résumé facultatif précise ou développe s ' i l est
nécessaire les informations contenues dans le titre. Ce
champ pour notes, ou texte,
peut également servir à signaler
toutes particularités du document.
Fiche de description de la base
Nom de la base :
REBlB
Numéro de la base :
02
Séparateur de descripteur
Fin de paragraphe
§
Parenthèse ouvèrte
(
Parenthèse fermée
)
~~,.- -..
-- -
".-,
~
,~,....
-. . . '-" .............. ..:;. ............ .L ~
d.roite;
Numéro Champ par défaut
08
Indicateur étape
x
Descripteur candidat
C
RESPONSABLE:
S.
DJETE, CES TU Tel
(225)
44.32.98
l
champ inverse
T
champ texte
R
champ référence
D
champ date
N
champ numérique
Fx
formats de visualisation
FI
formats implicite
champ par défaut.

-
14'2 ~-
1
Î
1
N
NC
ID
LIBELLE
1
01
00
REF
Référence
02
01
AUT
Auteur
03
02
AUC
Auteur collectif.
04
03
TIT
Titre
05
U4
SOU
Source
-'.
06
05
TYP
Type document
07
06
PUB
Date de Publication
08
07
DES
Descripteurs
:
09
08
EDI
Editeur
la
09
NPA
Nombre pages
11
10
LAN
Langue du document
12
I l
NOT
Notes
~
i ' ,
~
IV.4.1.2 -
DESCRIPTION DES FORMATS DE SAISIE
La saisie comme les modifications est faite en interactif.
Plusieurs grilles ou fenêtres
(format)
sont nécessaires corres-
pondent aux différents champs décrits dans l'unité documentaire .
. 1 . i:".\\,~ , i
Trois types de descrip~i~9 permettent de définir ies
caractéristiques et de la base et des champs.
Ces trois types d'en-
cegistrement sont
"Sil
attribut de la base
( 1 fois)
C':
II
II
attrii,;ut àes champs
(n fo "s)
(:=:
11
ch,'ll1ps)
"
~:... Il
fin d'-',-_• ,-..::J
fichiers
( l
fois)
le détai.l des sp2cifications œ descript.i.<n.

-
143 -
Description des paramètres de la base REBIB
B
02
jREBIB [ ]
§
1 l
~ / \\08 ~-
Description des paramètres de chaque champ de la base
NC
LIBELLE
TP
Oci EX
r"X
IV
NI
C
00
REF
REFERENCE
01
00
00
00
00
00
C
01
AUT
Auteur
03
00
00
03
01
00
-
C
02
AUC
Auteur collectif
02
00
00
00
00
00
C
03
TIT
Titre
02
00
00
00
00
00
C
04
SOU:
Source
02
00
00
00
00
00
C
05
TYP
Type Document
02
00
00
00
00
00
C
06
PUB
Date de publication
05
00
00
00
00
00
C
07
DES
Description
03
00
00
01
01
00
C
08
EDI
Editeur
02
00
00
00
00
00
C
09
NPA
Nombre de pages
04
00
00
00
00
00
C
10
LAN
Langue document
04
00
00
00
00
00
C
11
NOT
Notes
02
00
00
Oil
00
00
1
Description des paramètres de saisie
Cette description est faite suivant 4 types d'enregis-
trements qui sont :
"B"
identification de la base
(1 fois)
"s" attribut du format de saisie
(1
fois)
"e" attribut de saisie des champs
(n fois)
"F"
fin du paramètre
PO\\T }e détail de Sf'écific.,tion il faut 'loir à l "r:nexe r.-a.ge 1::'1:.,

-
144 -,-
Enregistrement type B
B
02
Enregistrement type S
Les types de format S et C impriment les èontraintes
d'intégrité du type de schéma conceptuel auxquels sont soumis les
documents en entrée
~__I 01 ~3_1 III
01
1
1
00
. Enregistrement type C
-_._..
C
01
00
02
01 \\
C
01
01
03
00
C
01
02
01
00
C
01
03
03
00
C
01
04
01
00
C
01
05
03
00
C
01
06
01
00
h -
.i:":
C
01
07
03
00
C
01
08
01
00
C
01
09
03
00
C
01
la
01
00
C
01
11
01
00
Description des paramètres de visualisation
Les consultations ou interrogations du fonds documentaire
peuvent do~ner lieu soit de visualisation soit d'édition du document
recherché:
Le logiciel JLBDOC associe un format qui autorise plusieur:3
possibilités de manipulatioll
èu document notamn,·:::nt le droit d'accès,
le masque d' impression ou d' (~èi tion.

Enregistrement type B
B
02
Enregistrement type S
Les types de format S et C impriment les contraintes
d'intégrité du type de schéma conceptuel auxquels sont soumis les
documents en entrée
~
l
\\
01
3
/1/
01
00
.-',
<":_l~
. Enregistrement type C
-_..,
C
01
00
02
01\\
C
al
al
03
00
C
al
02
al
00
C
al :. j.,' ,'03
03
00
C
al
04
al
00
C
al '. :,,;'.-.. 05
03
00
C
al
06
al
00
• L
.
C
al
07
03
00
C
al
08
al
00
C
al
09
03
00
C
01
10
01
00
C
al
. 11
al
00
"
Description des paramètres de visualisation
,;;..~\\~\\i~,~;~1 ,"
" ' ,
<
f"{'~
Les consultations ou interrogations du fonds documentaire
peuvent donner lieu soit ce visualisation soit d'édition du document
recherché:
Le logiciel JLBDuC associe un format qui autorise plusieurs
possibilités de manipulat:on du document nota;;'unent le droit d'accès,
le masc.i ue d' impre s sion ou c:' ôdi tion .
"5
'. _
1

-
145
-
Il Y a quatre types d'enregistrement de spécifications
/
des paramètres qui assurent ces services, ce sont
E -
Spécification des attributs du format
(1 fois)
B -
pour identifier la base
(1
fois)
C -
spécification des attributs des champs
(n fois)
F -
manque fin du fichier.
. Enregistrement type B
~
Enregistrement type E
E
01
l
Enregistrement type C
al
al
_ 1
C
1
100
00
00
C
al
01
al
00
00
C
01
al
02
00
00
C
01
01
03
00
00
C
01
01
04
00
00
c
al
04
05
00
00
C
01
04
06
00
00
C
01
01
07
00
00
c
al
01
08
00
00
C
al
01
09
00
00
C
01
01
la
00
00
C
01
01
11
00
00
~-i

-
-
146 -'-
IV.4.2 - BASE GESBI
La méthode de conception de la base RÉBIB, ci-dessus
sous le logiciel "JLBDOC est celle que nous appliquons pour
créer la base GESBI. Ceci pour exprimer que la description de
l'unité doc~mentaire en ses divers champs utilise les mêmes
techniques et ne présente de difficultés qu'au niveau de la
spécificité de la base GESBI.
GESBI est la base de la gestion des livres de la b~blio­
thèque.
Elle servira de contrôle de la circulation des documents.
catalogue, prêt,
recolement. GESBI est conçu pour gérer aux
besoins simultanément plusleurs bibliothèques universitaires"
centrales ou de section, d'instituts ou de laboratoires. Son
usage futur présente un intérêt majeur au niveau de la 'gestion
des ouvrages.
Les champs définis ci-dessous ont pour caractéristiques
d'autoriser les opérations suivantes
.
Inventaire :
"~'
Le champ inventaire
(INV)
permet de situer géographique-
ment les ouvrages possédés par chaque établissement et par la
même occasion procéder à l'enregistrement des acquisitions.
Recolement :
Le champ recolement (REC)
correspond à la suite des
imprimés sur les rayonnages,
sert aux périodiques d'après le
~
_J
classemert t
systématique OUit9pographique .
. r . .
~~~~
Catalogue
Les opérations de catalogue sont réalisées cl partir
des champs suivants :

-
147
-
champ auteur
(AUT)
inversê,
permet la recherche
directe par nom d'auteurs,
de co-auteurs etc ...
champ titre
(TIT)
champ texte de l'ouvrage
- champ êdition
(EDI)
sert à signaler les mentions
de lieu, êditeur, année et collection
- c~amp éditeur (EDRà, permet la recherche directe par
éditeur
- champ date édition
(DED)
permet la recherche directe
par année
- champ type document
(TYP)
permet la recherche directe
par document:
thèses,
collections, monographies,
imprimés, colloques, etc ...
champ description matière
(DEM)
inversé,
facilite la
recherche par matière ou descripteur qui pourrait
être inspiré autant que possible des lexiques exemple
PASCAL
champ rSSN-rSBN ces champs peuvent servir à une
recherche de document ou une vérification d'ouvrages.
Banque de prêt :
champ emprunteur (EPR)
: ce champ inversé. est enseigné
par le personnel au moment de la transaction de prêt
peut aussi servir à
fournir la liste des ouvrages
empruntés
- champ date de prêt
(DPR)
et date de réclamation
(DRN)
servent à gérer les prêts et les réclamations
- champ statistique prêts
(STP)
et sta~istique refus
(STR)
son~ utilisés po~r gérer le~~ réclamL.:~ions, déclencher
des commandes d' uuvrages dan:3 certa.':l s cas.

.
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Fiche de ci-èt2bt~'é16h'ld~{~~~<kè>;G~SB~i!o;:·5~?~~.t~~:(.t.: /
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"
" " , '
'.
J
. _
Nom de la base'
Numéro de la' base:
',' .,:
. '.
Séparateur de 'description
Fin paragraphe
&-
Parenthèse 9~y~rte
(
Parenthèse fermée
)
Troncature droite...
+
Numéro champ par défaut
Indicateur étape
Descripteur candidat
e
,
. ~.
i
Responsable
S. 'DJETE,
CESTU TEL
(22'5) '"44-32-98
. '.
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Inventaire
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02
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11
10
TYP
Type document
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11
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T
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13
14
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14
DRN
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15
STP
Statistique prêt
N
17
16
STR
Statistique refus
·,·N
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- 149 -
IV.cl.L.} -
Uescription des paramètres de la base GESBI
..
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Recolement
02
00
00
00
00
00
-,
C
02
ISB
ISBN
02
00
00
00
00
00
C
03
ISS
ISSN
02
00
00
00
00
00
C
04
AUT
Auteur
03
00
00
02
04
00
C
OS
AUe
Auteur collectif
02
00
00
00
00
00
C
06
TIT
Titre
:
02
00
00
00
00
00
C
07
EŒ~
Edition
02
00
00
00
00
00
C
08
EDR
Editeur
02
00
00
00
00
00
C
09
DED
Date édition
05
00
00
00
00
00
" ~~, '. .: t.
C
la
TYP
Type document
02
00
00
00
00
00
C
11
DEM
Description matière
03
00
00
02
01
00
C
12
EPR
Emprunteur
03
00
00
02
02
00
C
13
DPR
Date prêt
05
00
00
00
00
00
C
14
DRN
Date réclamation
05
00
00
00
00
00
C
15
STP
Statistique prêt
04
00
00
00
00
00
C
16
STR
Statistique refus
04
00
00
00
00
00
1
"'>:.' ;~.

i5U
-
V.
UTILISATIONS SCIENI'IFIQut.S ru SERVELiR TELEMATIQUE
Au chapitre precédent 1 nOl:.5 avons construit a l'usage sur le
serveur les bases c10' fonds c.iocurr12ntêüre. C'est un des premiers services
qe' aut.orise 6\\,<~ l:x:;ClU\\~:OUp de faci li C·", le serveur. Un tel outil, offre
cependant de multiples possibilitês à'u~lllsation. Nous allons aborder
de m:mi.ère non exhaustive ce qui l::eut. êc:.re fait entre autres avec des
exemples concrets de l'utilisatlOlI cl' W1 serveur tèlenBtique 1 ceci peut
être mis cl profit dans nos
efforts de développement sClentifique au même
titre qu'un transfert technologlqœ.
V.1
L' Ii\\FDRMATlQUE FDUR TOUS, Li\\ TEI..L."1.:.TIQUE
I.e Secretariat Œ:néral 3 l'Infonratique (SGI) à charge de con-
duire l'execution du Plan National Info::rratique s'efforce depuis feu d' in-
tégrer l'outil informatique dans tous les ministères, avec une attention
particulière. Des ministères jugés prioritaires: l'Economie et Finances,
l' Ag-ric',ùture, l'Education Nationale so:--:t. au premier ranq des F-rêoccuça-
tio~~ actuelles. A chaque département. rr~nistcriel, un correspondant infor-
matique fait le relais de l'informatisation par la corduite et suivi d'un
schema directeur. Il est l'inter locuteur perJTB.ilent du SG I. Ceci. prefigure
l' ~uipejœnt :iJnminent dans tous les secteurs de l'activité du pays. Le
problèrre de la communication entre ces entites reste pose.
DepèÜS
peu dan..s le cadre de "'::.,' prograrrurt2 de sensibilisation,
un centre ou encore un atelier d' eXI_'-2ri:7r2I1tation de l'informatique p::>ur
tous est à la disposition de tout utilisateur. Son usage demande un
deplacement au siège de ce centre .
•il.. J' Liucat. ion Nationale 1
lm prcgramr.e de form3.tion fOur initier
les ensei':';;",~;lts du secondaire à l'utilisation de l' infODTa.tigu~~~ eté mis
en place. Cer:tains etablissements seconàaires sont ou seront F-rochainement
ëquipès ci::' m5.cro-()rclinateurs COnl',)n!I'$,è;1C au plan natlor121 informatique
1901-1955,

1')1
1outer01S ,j
L'Universite les besoins d' inform-'ltion et de trai-
.'30:it
;nu.l U.pll's et cu.spa.rates / ne r cuvent étre COLl-
pl-cx::édes de l'.cchnolog ie avanCée.
que
teiE.HULlque avec la ceej L<2:':>S.LOn du coût Je.') u:.:rminaux, cas
'~',' :,i te! 'CI.' ècn Li va Jeni: , semble fXluvoir p311ier aux inconvenients énu-
,,!'::~'e:3. Il esi: éH:.tendu enJ 'avec unes.UTIrle prise de telerllone, il est
i.'=lssible d' utlliser un terminal dans WlE classe du seconciaire I=Xll exemple 1
»:TC on .le::
fai.c:. d'un appareil de project.lon de ilia[Xlsitives ou de films.
;:.:', ce cr~i concerne les pr'.:gramrres, ce sont les spècialistes qui
c: 'el, char'Cje~l,_
U. est. p.::lssible de les ;n:xlifier et de les aCL3.pter a volonte 1
le professeur ne s 'cx::cuǀ
plLl5 que de la partie gui corresr:on:::1 cl sa compe-
~~~cel c'est cl dire la pédagogie. De la collaboration entre informaticiens
et pèdagogues dO~.vent:. naitre des bases et barques de donnces ptdagogigues.
Les exp2r:'E:",ces à l'f::tranger nOLaJm1ent en Fra.!lce, voir annexe 8
et 9 ci-après, t:E:ntees p:rr le centre serveur VARfEL du CAIR illustrent
:=,ou;:-. l'intÉ:rêt f"ODag':=:':JiqD2 gue t:ossède ce rouveau syscème de corrrnunication.
L'existence d'wl réseau tÉl~tique permet de decloisonner les
établisserrents en assurant des echanges qui seront des r;lLl5 fruCtueux.
Le centre serveur dont nous œuvrons pJur la mise en place ef-
fective, se prOI:.'Ose d'offrir Wi yrand noffDre de services ; et envisage
er, con...c;éallAnCe de !iC)r7'DreUX dèveloprements en concert.ation etrai te avec
scm env',-ronnerrent inEl8:liat. Touterois les possibilites au niveau
des
ressources du logiciel JLBIXX r:-ermectent d'intégrer plLl5ieurs autres bases
notaITTnent :
. t,-'>se ~.lI.[Y~Y'
:
infOrlr,:~tion S'K l'inscription lmiversitaire
c'est: à dire,
:;uide des étuèes ?ë'l- !lB t ière
sciences,
le t:. tres 1 droit 1
~;oci.oloc; ie , sciences ecorcmigues ....
- ;:r2seT:l~ation de i' Univèc::;lté ;
- acrressés utiles

lC)2
,~u iliveau de son utilisation, un tenninal à chaque cite lln..iver~
sit:.aire ou eicore deux terminaux au service de la Scolari t~ et t.out:. de.m3.n-
deur d' imorTlètion int.ègre un libre service de dOii.Iièes d' un intérêt. consi-
derable.
Base SY!'tES
: base de messagerie electron..ique,
Cette base s'ouvre à tout utllisateur de la telematigue aYa.Ilt sollicite
un ab:::>nneiTen:: 2 ceservice. Nous d2f inissons ci-après les granoes
fonc-
tions de S':r:'MES et les rroyens de sa mise en exploi L3.tion.
Le p'léJa':'€:Ie
telerretiqu2 se si tue au carrefour de tous les problemes de la COfTTT:uruca-
tian que l' hom,e cherche a resouclre. Dans le dorra.: ;-", de rre:;sac;es ou oe
courriers eleet.roniques ; le delai de cornnunication souhaite: tA!:' 2-es
emetteurs de message rend indiscuta01e d notre avis,
la n0cessite Ge
la telén'\\essac;erie,
rûuvelle techr.ique de messageries disf=Onible
dep u l s
peu grâce J
la U~lèrra.tique. Cet t(, liouvelle fonne cie c()[TVl:unication assure
une corress::orèanœ rapide et efficace entre ab:Jn.r:ps.
1/ .2
L'infonration est reconnU(: ccmne une ressource for'd?..I"Y';-,:-::lE:
de notre vie' économique et sociale. l\\J.nsi le dèrcmi na teur CCf1lTil.lII a toutes
les actlvites hUfffiines est le besoin de COrm1LLrD.quer ~lu.c; :~a~lde"ent. et
plus fac~leTent. entre le~
yLlIS,
entre les erlL:e, r isc-',':;; ,:U.l· è- .l.:': L.~l.ll.serlt
... ~';:,: ~_~'{:r.; ~
lp t:6L~'''''lv:>ne, un tcrr'i!"'ü tr?r-litü'r'l,l'!'l,"'.'J! rni~i CH' r_'..c~:~' C)n~hf'.ate;.::· DU unt.
rtat.ion bureautioue.

15"3 -.
Le SYMES s'inscrit de c1roit chenan dans
l ' arnpJ iflCc;+: ion
de
la
COfITllunication entre les hormes sans quitter leur Lieu cie t~rë"':2.2.1,
de se
rarler, de se tra.n.smettre des c1cx:uJI1cnt.s comœ s' lie:; etal.ene. ::-e 1-":rl.lS physi-
quement dans une rréme salle.
Pour se faire SYMES; un des services du serveur est doté de capa-
cité de traiterœnt et de merorisation de l' infonn3tion 1 off:C2-nt aux membres
du systèm::
(abonnés)
la rossibilitè de communiquer entre eux en échangeant
des rressages grâce aux mftes aux lettres qui leur sont attribuées.
Les objectifs principaux
Simplicité
SYMES s 1 adapte à chaque lIti..li sateur -pa..r une présen::atlon 1
une
assistance" et par une organisation ~~rsonnelle" 12 cualogue est. s~le.
L'accès est indej:€ndant,
instantant!"
. Efficacitê
SYMES autorise une connexion directe à l'information. L'auto-
formation des nouveaux abonnés est assur0e par le syst~~t.
Disponibilite
L'accès au système j:€ut
être ouvert 5 J sur 5
à toute heure.
La prêsence d'un interlocuteur n'est pas necessai::-e.
Econc:xnique
La cOffiTlunication cie messages électroniqn2s corLSorrrr,2 r'""u d' éner-
sie j::eu de tE:! '';'s 1 et est I=eu cher. D'autre par le risque de::':-ê:fOl_TiBtion
de J.' informat.;on est quasiJrent nul.
La -.;':::5 cion des
Il'OLs de t='a~"'oe ;:."2rsonnal.i ,;0:5 penœ'::.:es' assurer
de 12 cOnfide::c.ialité des rn::~ssages.

-
lSI1 -
V. 2. l
LES PRI0iCIPALES FDNcrIOl~S DE SYMES
Nous distinguons dans un premier temps trois grandes fonctions
GesLion des messages
Gestion des messages à envoyer
Gestion des abonnes
Il est à noter que les tenœs employes notamment : message,
/
eXfêdition, CüI'.sultation, boîtes aux lettres, cases sont definis dans
le paregrarhe glossaire [our aider à la compréhension de ce texte.
v . 2 . l . l .
GESTION DES t-1ESSAGES RECUS
Objet
Réceptionner les messages dans une pile de messages non lus
Orienter ou classer autorratiquement le message dans la ixlîte
aux lettres du destinataire
Transféœr les ITessages lus du destinataire dans la case
REeEPI'ION des messages.
ELEMENTS IDENrIFICATION DU MESSAGE RECU
-
i'01·1 DE L'EMETTEUR
- DATE D'EMISSION
- TYPE DE MESSAGE
Exemple: Un utilisateur A (émetteur) envoie un message à l'utilisateur B
(destinataire). B accède à sa boîte":~G5f;lettres par sa clé d' acces dans
la messagerie. Il va lire le il~ssage reçu. Dès cet ij.st~mt le système
classe le message lu dans la case RECEPTION de l' uti Lisateur.

- 155 -
G~!'~
l
A (Erœtteur)
r
..
t
rA.BOt;NEB
Identification et
Trot de
sse
Case
[B"~~~ux lettres
Classement
Recel:-;tion
Nessages lus
V.2 .1 . 2
GESTIOt\\l DES MESSAGES A ENVOYER
Objet
- Créer le message à envoyer et le sauvegarder dans le dossier
.MESSAGE.
- Creer l'ordre d'exp8dition du message par la recherche du
destinataire (les destinataires) accessibles à l'utilisateur.
- Emroj'er le message à l'abonne B dès la validation de la recher-
che rrecedente avec creation du dossier émission.
Exemples des fonctions élémentaires de gestion des messages à envoyer
Pour envoyer un message à l'abonné B, l'utilisateur A prep:rre ou
encore créé son message.
Il va exvéc1ier son message aux boîtes au.v: lettres de l'abonn2 B
(destinatai~c) .
p.. l'aide d " t editeur de j-cne 1
l'1J;-.ilisateur A f-'2ut trava:! Uer
L'utilisateuc A. fDssède toujours l'original du rnc3sage exp(::(;i.ê
lB. Il peut le rrcdL:j'3'r afin de v-eparer Wl ;·,:=)\\l\\·'(~au texte de rnessag'c-: .
..~-
:j:~,..1~:'1J,~.*~,-;

-
156 -
~------::-I
MESSP.GE EN
. PREPARATIOK
:
- - - - _ _
1
l
REŒERGŒ DE OU DES
DESTII'!P,TAI RES
4 - - - - - - - - - - EDITEUR DE TEXTE
-----
CASE· .
ORDRI" lllISSION VERS
CLASSEMENT
1=====::===::==3>
!:_hISSIOt-
DESTINP,TAI RE
MESSAGE
I:lAïOYER
_______ __ .
----J

- 157
V.2.1.3
GESTION DES ABONNES
objet
Construire le fichier des a1:x:mnês
M?ttre à jour la list.e c:'es a1:x:mrles sûivant leur clè de con-
fidentialité
Etablir la liste des alxnmès.
Les abormés à la messagerie peuvent faire l'objet de repartition
~ar categorie socio-culturel.
Un abonne peut donc appartenir à un
ou plusieurs groupes fonnés
d'abormÉos. C'est l 1 appartenance à un groupe qui lui confère le droit d' en-
voyer un message à un ou a plusieurs destinataires a~partenant à ce même
groupe .
Il peut exister cependant des abonnes n'appartenant a aucun
groupe .
v . 2.2
PRINCIPE DE FONcrIONNf1.ŒNT
La messagerie doit son int~rêt a un principe d'optimisation des
temps de rép::mses par la minimisation des accès meroires (disques).
La capacité d'accueil de la messagerie est fonction de l'espace
mé~oire disponible sur le serveur. L~s paramètres de fonctionnement sont:
- norrbre naximum d'abonnés
- norrbre maximurn de groupes
- norrbre dl abormés par groupe
",... oritères de sélection
dans la fiche personnelle de l'abonnè
- norrbre maximum de dossier (cases) par abonnes
- norrbre maximum de messages par dossiers.

- 158 -
Ces paramètres permettent de calculer l'espace m~ire fixe
utilisé par le système de messagerie.
Techniquement les recherches en tablea~~ ou tables ameliorent
les acces aux inforTTBtions en mE:rrüjxe. NJUS retiendrons le princip2 d'or-
ganisation en tables inversés en fonction des caractérisLiques hardware
duC.P.U .
. TABLES INVERSLS EN MEM)IRE
On trouvera en merroire en p2rTTBI1ence :
Table de correspondance des codes secrets des abonnes
Table inverse des abonnes
Table index des messages EmiS
- Table des mots utilises en critère de recherche.
Les accès rnèmOires disques sont limités
- lecture ou écriture du texte message
- connexion de l'utilisateur (abonné)
lors de sa crêation ou modification.

V ~2. 2
SŒEMA DU PRIOCIPE; DE FONCrIONNDlENI'
. ~~' ".
- .-'
..>. "'.
TABLES DE CORRESPONDANCE
............--,
.......
~-'~:'--+---
.... :~:'~'~---.'--0 CODE
SECRET
CRITERE DE
....~'~; ~'~)}~J:~~-
RECHERCHE
;\\:~ ,:~~~~.
"l;,é ~ t~rt,:,.t;~
LI:::;'l'E
~iJ~iL""
+-+----+--D--~~~"'-----+-..:..-.......----l
ABONNE
, ....
::' ,~. ':-.'
INDEX DES
~1ESSAGES
-----._---
TABLE
MESSAGES
': .~~~t~~hbr1s de "c~i1(;.~;~,...ys.",. "\\'~~••:'.'~.:.:''t:qùè faire. se p~.ut, l'analyse ..
~ .'
~:!...;:;'Tr:-t.,~.~,..
._ .... ~.
, . . , ) 0 . .
Vo'
't.-_~
fonct~9rm~11~:?U_..rystème (je, ~~;;~~*t~l~,,:>~t~c~ronique. Ces fonctions retenues
ne sont lAS exhaustives.
. ~~l~:: 5~.;:;.:~~,
..~~:;_,~:::r ,~:,;~"",:~
La partie analyse orgamque du svstérre relève de la charoe des
analystes. Toutes (..:~s differentes étapes le:C01,t l'objet cl 'un déve1.1'PP·~"Tent
futur [DUr W1e exp] oilation effective du ~;E'rvj.ce de la Liessagerie .
. :!c'J
.:ê)
~1
..;;;'-:
~
.. 'J~-
. i
~
''::1• •
-.... '"
:: '.

160
.: ... -
..
\\
"-
-~. ':'...
/ '~.
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-·:;.~~.~~·,;h-~\\;:-•. :;':~)\\~.';-t:·:.~·:·...~:':·-:~,_,*~"'l ~~ .~:~."
...... " -""
_.
_
,,~:-:~~~I'f:~,î1~~:êf.';~~ ~exCl\\îs-' qû 1à'- partir des _granàes fonctions ,-du systerre
~ . '~:~~-~"':i~\\;"l':'~~':~;:;,:;;;:,·:.~,.:I~.~. '.-"':.<~"'. '-;
;:-. --
.
.
defini, l'ohcpùi'sse':faire un appel d'offre afin de trouver dans le comrœrce
_.
"
des logi~iels~~~~lqgicjelconv~nable de 'gestion de messagerie. Il est
certain ~~' .~~ '~p;q:ici:t~,~ste quelque par ailleurs àe l'autre côte de
.
_.
.~l ••. ~"
: ••• _
l'Atlantique.
v .3
UTILISATION PEDAGŒIQUE Du SERVEUR
INITIATION' -DES 'EI'UDIANI'S
...-f.~ - ":".'
.
Jo::. '
Quelle que soit la profession visee, il ne serait plus possible,
de nos jôurs/'que 'des étudiants sortant de l'Universite ignJrent ce qu'est
l'informatique et les possibilites qu'elle offre.
-":
Â'part.ïr' de l'outil télématique disp:mible, nous souscrivons
l'introduction' Ci' un cours sur la recherche dans des ban<j1.Es de donnees au
niveau de la'maîtrise dans les matieres scientifiques: sciences naturel-
les, sciences physiques, chimie. Au demeurant créer un enseignement af~li­
que à la recherche et à la redaction de donn~s bibliographiques fÜur les
ètuliants de D;E:~A. (Sciences Economiques'- Droit ... ).
~.
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r
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i!' H. :"
:t?~:"?~. ,(!:-t?;~~,·~;,.: t· :_·••k:~:- .,:. ;,
De: par:>*l" aêces~ à :\\m :''libre-sei:vice-~à'Uif-"systeme' de rrachlnes' '~.
virtuelles utilisables en temps partagé en mode conversationnel, la crea-
tion d'un atelier de logiciel pour les chercheurs et les ~tudiants de
l'Université est~pratiquement réalisable.
, .~,,:''':~~:~.~~..,f~';;;:~'·:;~~4~~f;'·~:f·~ ),_ .~~.: ~-,:;i;- ..::~ ~~.~~!. ~__ ~-
L'
4;
" , , ' : '

• ACCES 'AUX 'BAsES DE OO~'NEES
.'
.' .iî'~i: ;:!;':~;~~:~~'à~dè~"~\\â~~<;~f~~~~~~t~~~~i~e :~ti6'nà~,,' SYr~~~C, l" abtêr~#~2:. (.~f"~~~
national :dE;.~ t=à:r le .. l1<:Xf,~_:~è:~t.r~it international (voir chapitre II) per-"~~~
mettent a~ chercheur~~ 'aux ~~eignants, am-c étudiants et aux administratifs
.:.-......
"
.
de se documenter très' rapidement dans diverses banques de ck 'lJ1ees selon
..
,'.~ , - .
• ,-l..

'.,;......
'...

,
-
161
-
1
leur préoccupation, notamnent dans les
baIXjues de données de la Côte d'Ivoire
- Banque de donnêes socio-("conomiques (BDST::;)
- Banque de données judiciaires et ac:.nü,nistrati,ves
(lois et règlements)
banques de données dOClllTentaires scientifiques et techniques
de l'étranger.
V.3.1
EXEMPLES D'UTILISATION D'UN SERVEUR
Ces exemples concrets de l'utilisation pédagogique du serveur
VARrEL du CAIR nous a paru extrêrœJrent rrotivant et enterinent â. notre
avis une nouvelle orientation de l'enseignement et de la fOrITation des
hommes et ce grâce à l'outil télématique.
En effet dans les pays développes, de nombreuses expériences
sont rrenées, terrlant a introduire l' informa.tique dans l'enseignEment par
l'usage des micro-ordinateurs .', Ce ni est guère le cas dans nos pays en
développement, d'où l'intérêt des cas concrets ci-après.
~.
Dans ces expériences, les logiciels utilisés rar les enseignants
sont fOur la plupart des prc:xluits du corruœrce et ne corresj:O"c:e:1t pas tou-
jours à la manière d'enseigner du professeur et ils sont difficilerrent
modifiables. L'intérêt majeur de la télématique est de supprimer cette
contrainte fOur l'utilisateur, puisque par l'intermédiaire du reseau, qui
couvre une infinité de fOssibilites, on peut faire appel a des specialistes
, ;
de la programnation.
' - ,.1'·~'
". .:..
ETUDE
PEDAGOGIQlŒ
~~ERDISCIPLINAlRE
cette e>:perlence de cas d' étu::1e pedagogi,_!ue a ètt-~ realisèe dans
le>lc"i-e d'un pro:jetd' acti nn educative (J'PŒ) ayant ;Dur theme : la cons-
,LCjUe
choisi.

Les élèves gui ont ç:articil:~ cl cette etooe qUl est en fait un
stage interc1isciplir>aire d' êdUCêlLLon ,'1 l'environnernent, sont de la classe
de seconde et de première des LYCL~S et Collèges.
Ils ont 2 t,pris à lire une barx:.lue de donll<::es, è ~:-;cerrCXJer une
œrque de données, et à entre:r.- des àocLllT€nts
dans l' oreil;là Leur
p::>ur rea-
liser ~~e ~bauche de banque.
Cette e>+€rierce
de création et à 1 utilisatio" à' ur,e bargœ àe
donne es I1Dntrent les multirles l-=0ssibilitès offertes c",r l'utilisation
d' un centre serveur p::>ur l' enseigncrœnt.
Pour ;::lus àe détail VOlr 1.' annexe p:---.ge ~Û/, le cun'l--te rendu Ge
l' exnérienc:e:
"_u_t_i_l_l_'s_·d_'L_-l_O_Il_d_'un
_ _s_e_l_-:Y_e_ur t_è_-1_Éma
__t_i_9....œ
_ _c_·o_f'_,ll_·Ie_"'_O_u_t_l_l_"'-p_fda
__9,Log-'--'...:.i:...gu,---,-e"
V.3.1.2
GESTION DES ACI'IVITES SPORTIVES
Cet exemple est le cas type d'accès en conversationnel a un
centre s~rveUr té l erra tique où des terminaux (postes d'accès) utilisateurs
àissi~nés-çà et là communiquent simultanément avec le centre pour entrer,
interroger, val ider ;
et
v j sua liser les données.
Ainsi le serveur VARTEl a assuré la prescation cu déroulerrent
du championnat scolaire, tournoi de dimension international.
Au cours àe ces rencontres sp::>rtives, des Jeures ont eu l'occa-
Slon de se familiariser avec l' inforrratiqœ. Les terminaux minitels repar-
tis en divers fOints des co~titions, diffusaienc tOUS les Ë::lerroents ciu
deroulement du champioJL~t notamment les resulcats au fur et a mesure des
rencontres.

163 -
L',:mnexe [aue 23S donne en oetail ce eu'e:::. leu être réalise ~ël:~
sur
J_C' terrain arace au reseau tel<:.JT.2tique.
Ces exemples conf innent le fait qu'un centre serveur dans notre
Universite offrirait de multiples possibilites d'utilisation et pourraît
s'intégrer r;arfaiterrent dans un service d' information à usage de l' ensei-
gne.rnent. Une barque de dorJlées bien construite peut constituer un outil
pedagogique au même titre que les autres matériels audio-visuels.
L'existence de reseau télematique offre, de plus l'avantage
d'assurer une communication entre collègues et de perméttre les echanges
tant au niveau des documents que des exercices. La télêmatique, bien
organisee doit permettre une véritable democratisation de la connaissance.

-
16/1
-
CON C LUS ION
En introduction de ces travaux,
nous avons cité le
chef de l'Etat Ivoirien qui nous exhortait à
intégrer les
nouvelles perspectives offertes par l'imminente révolution
informatique et ses disciplïnes
connexes notamment la télématique
sous peine d'en courir le risque d'être à nouveau colonisé. Car
demain dit-il l'indépendance sera acquise à ceux qui auront
su prendre et garder la maîtrise de la technologie informatique,
1
clé de voûte désormais du développement.
Il est certain que l'informatique est devenue un
phénomène irréversible à cause de son utilité présente ou
à
venir. D'ores et déjà,
i l intervient dans le développement
économique et social au niveau :
-
de la gestion de toutes sortes et des grandes
entreprises
-
des activités tertiaires,
système documentaire,
traitement de texte, bureautique
;
- de l'information spécialisée
banques et bases
de données.
D'autres exemples en cours ou dans des pays en dévelop-
pement mettent en évidence la contribution de l'informatique
notamment dans l'agriculture,
la santé ...
justifiant à
priori
la prophétie du chef de l'Etat.
C'est donc en application des nouvelles modes de
développement décriées par les auto ri tés de ce :'2.:,'s qu' i l
con-
viendrait d'accueillir le Centre Serveur Télématique de l'Uni-
versite',
outil technique d'un 2.pport certain è,ns l'amélioration
des ac tl vi tés de cet organj:: :ne .

--
!
- 165 -
Notre préoccupation actuelle n'est pas de rattraper
les pays développés par l'industrialisation classique, celle
de mettre en place des usines de 19è siècle, mais et surtout
de répondre au d&fi de l'appauvrissement des connaissances
par le tra~sfert et l'accueil des technologies. C'est pourquoi
nous nous intéressons à jus te .ti tre à la finali té de l' outi l,
les besoins auxquels ils répondent,
les modalités de son appro-
priation. C'est la voie d'être moins handicapé,
chaque jour
un peu moins pour mieux réaliser nos ambitions de développement~
De notre étude résultent les conditions préalables
à l'utilisation de la télématique. L'infrastructure du réseau
ivoirien de transmission de données autorisent l'accès et la
transmission de message au monde entier. Par ailleurs,
le degré
de l'informati~ation de la Côte d'Ivoire est en bonne voie
grâce aux structures adéquates mises en place. Son parc ordina-
teur a atteint le miliier en 1985 avec une valeur approximative
de 25 milliards de F CFA.
En outre, peu de moyen est nécessaire pour bénéficier
. des services télématiques. Le phénomène micro-processeur a
contribué à
l'abaissement aècéléré des coûts de l'équipement
informatique. Le développement de systèmes télématiques fait
de machines puissantes,
moins coûteuses,
reliées en réseau,
ouvre les perspectives radicalement nouvelles non seulement
du point de vue des connaissances, mais également du point de
vue des rapports sociaux et des équilibres du pouvoir.
A l'inverse des techniques de la matière,
notre
CESTU traite l'information c'est-à-dire la connaissance enre-
0istrée sous l'appelation de banque ou base dp données. Monsieur
i·1a the.,.,
soulignai t
à ce propos dans
"stra t~égi e et po li tique" du
fiers Monde que pour relever les défis d~ développe~ent et de
~0uverainet~. les ressources essentiellrs sont à
l'i1eure ac~uelle,
.ll:l-:
récente étude aux USA de D.
Birch :-evèle que cie 1970 ,Ci

-
166 -
1980 sur 20 ~illions d'emplois créés 5 % seulement étaient
des emplois industriels et que près de 90 % relevaient soit
de la transmission du savoir soit de l'information.
L'information, on le sait engendre la connaissance
et la puissance. C'est pourquoi elle a été au centre des préoc-
cupations humaines. Les sociétés les plus informées sont les
mieux armées,
les plus puissantes. Ainsi le pouvoir des hommes
qui maîtrisent l'information défie l'autorité des nations. La
spéculation sur les matières premières est un exemple probant.
Il n'est point besoin de s'attarder quant aux avantages
de CESTU,
l'outil télématique au sein d'un organisme aussi avide
de faire apprendre, d'instruire l'homme ivoirien du savoir et
du savoir faire,
rôle de l"université,
une des plus hautes
institutions intellectuelles de l'Etat. L'acquis le plus décisif
dans
ce domaine est d'ailleurs la possibili té technique de penser
en "corrunun",
intégrer la connaissance du voisin. Le corollaire
du développement de l'informatisation de l'université est effec-
tivement de permettre une meillaure diffusion de l'information,
de permettre un accès plus large à toutes banques ou bases de
connaissances et ainsi contribuer à rationaliser les activités
scientifiques entreprises ou en cours.
Le Centre Serveur Télématique peut être accédé par
n'importe quel utilisateur. Toutefois,
i l suffit d'avoir à sa
disposition un terminal intelligent relié au réseau pour pouvoir
exploiter le système, entrer en communication, en échange
d'information avec tout utilisateur de son choix abonné au
réseau.
Il faut seulement tenir compte que selon la configura-
tion et la nature du matériel initial à connecter, d'autres
équipements
(MODEM)
spécialisés en transmission de donn~es sont
nécessaires POu]~ une exploi ta tion efficace des ressourc(~s du
Cen tre Serve ur 'i"; l l'ma. tique c:e l'Uni \\.,~ rs i té.

- 167 -
La conception de CESTU basée sur son extensibilité peut
intégrer dans sa phase 3 les centres et services programmés
à cet effet.
Quelles sont les dispositions fonctionnell~s et objectives
que nous devons maintenant fixer pour CESTU en vue d'une meilleure
utilisation ?
Nous pensons avoir
pris
soin de refléchir sur les
différentes conditions d'une utilisation optimale du Centre
Serveur, Centre de Calcul de l'Université. Ainsi nous proposons
-
LA CONCERTATION
Il faut assurer la concertation et rendre transparente
les décisions concernant les objectifs et les projets fixés par
le responsable du Centre.
Nous recommandons une commission scientifique issue du
conseil de l'université, qui donnerait son avis sur:
· La diffusion et la consultation de certaines infor-
mations universitaires notamment la documentation pédagogique,
-
l'information pe~sonnalisée sur les facultés;
· La décision d'attribution d'équipement et l'achat
de tout matériel informatique
· Le sous emploi de certains matériels existants et
de son affectation à d'autres utilisateurs
,-
. /,' --
· L'utilisation,
la recherche et l'écriture de certains
logiciels pédagogiques didacticiels.
Les propositions initiales doivellt venir des centres eux-mêmes,
leur accepta-iOi1 fera l'0bjet d'~n procès verbal.

-
LA j'~OBILISATION
DES
COMPETENCES
Il
faut également ~ouvoir b6n6ficier
de
l'apport de tous
ceux qui
SDI1t capables d'apporter
leur contribution et souhaitent
le faire dans le cadre de d~veloppement de
projets pédagogiques
ou àe recherches proposées par les centres et examinées pôr
la commission.
Il
s'agit aussi
de
ceux dont
l'expérience pourrait
être bénéfique dans
leür centre ou dans un autre
: enseignants
dipl~més0u autoàidactes en informatique.
Suivi des principes de
sécurité de
fonctionnement
Nous avons réalisé au paragraphe précédentl'ëtude qui ::;€l1Tet
de déterminer ia viabilité de l'e;nplacement de CESTU pour un
fonctionnement équilibré.
Ceci
étant,
pour assurer ia sécurité
f de fonctionnement et garantir un service permanent, nous envisa-
geons les mesures
suivantes
L'alimentation devra être suffisamment équilibrée
pour une alimentation normale du système.
Par conséquent le suivi
rêguliet du bon état de
l'onduleur électrique est nécessaire.
Prévoir
le doublement de certains équipements
parti-
culièrement l'ordinateur.
Il
pourra en cours de panne momentanée
de
l'ordinateur en
service,
par simple commutation,
cç>mmander
la mise en route de
l'ordinateur de
réserve et ce',
sans interrom-
pre le service,
exception
faite
pour quelques procédures indispen-
sables pour récupérer l'information.
1'1e sure r
pé r iod ie! ue;;:e r: t
la
fiabilité
ee l'efficacité

-
16<)
-
a) C'egré cle service
L'importance du Centre est calculée en fonction du degré de service
à obtenir pendant_ les heures de ]X'inte, SUi s' exprime en fonction de :
la probehilité qu'un traJ'.sfert de èonnées ne puisse
pas être effectué ;
- la durée de transfert d'un :)aquet rar le centre.
b) Fiabilité
Il s'agit de la probabilité qu'une fonction soit realisèe au moment
voulu. Le raramètre utilisé [our mesurer la fiabilité est MTBF (Hoyenne des-
Temps de Bon Fonctionnerœnt) è.e l'ensemble et ées programmes qui sont concernes
par cette fonction.
c) Capacité de conservation
Il s' agit de la probabilité aue le systeme se rraintienne en bon
état de rrarche en cas de défaillance. Le paramètre utilisé [Dur mesurer la
caracité de conservation est la M'ITR (Moyenne du Temr-.s Total de Réparatiory.
Fbur toute défaillance, le MITR ne devra pas dëpasser 30 Inn.
d) Disponibilité
Il s'agit de la ~robabilité qu'un système soit disponible à tout
moment et r:our toutes ses fonctions. On calcule ce par~tre en fonction de
la HrBF (b) et la MTI'R (c) suivant la formule
* D
(disronibilité) .
C'est là une caracti.::ristic~ue r;-ajeure qLDiqu'owliee Cie la co;;ununi-
cation; elle doit êtl-,~ toujours r:-o~3sible. Si certains systenes s' acc)':urcdent
pJ us ou rroiI'.5 d'une ip:erruption de ::onctionnc:Il'.=;nt. tempJraire ; cela ,l'est
~-::':1:::; envisagEY:ble dans
'r, rlis[-Ositif:e commun;'·"ê~i.on. (;;ue c:Li l:e cl'un c:,tl.-e
c1ol,t les unités du stoc!--:aC;e sont iI,m:-..>bilÜ,.ées.

-
170 -
Il est donc iIT'rortant de d0tenniner la ]XOUëL'U.J. Le: (le .i. ' ut ilisa-
tio:-: du systèn~e.
NJtre dernière mesure concerne la fOTIBtion q.ü fai t p3.rtie
intésrante èes étaFes de la mise en oeuvre du système.
Il faut recol1I'.aître que toutes nouvelles tc<::i~n:::JJ.o:;ies (:gale r"Duvelles
aptitudes. Cette relation d 1 ~ valence est à Fn~nère el": ccr:siôl;ration.
Toutefois, la tendance des produits actuels est Flus ou moins convi-
viable, ainsi des rroyens ct' autofonnation aide à l' e.,"1J1oi t:a.tion des rroduits.
Qu:::üqu'il en soit, nous envisageons nécessaire.::'ter,t ffiE:ttre à
niveau d' utilisation les [.er.sonnes concernées par ce cÎlangE:ri1erlt Q' activi té.
Cette étare peut reveler à notre attention de concepteur mOOiatique,
les déviations ou les divergences qui ne rranqueror:t ras de se prcxiuire
entre ce oui a été prévu, ce qui est rÉ:alisê, et ce qui est en place.
Aussi ces réactions des ["-aYticip::mts aux seances de formation r:-eunettraient
de rectifier si besoin est quelc:ues fOints.
Si les prévisions de notre systèn~ FErmet à partir de l'organi-
sation mise en place, certainement un très gram allèganent des activités,
cela doit être plus novateur encore en ouvrant de nouveaux horiwns de
cormnunication et d' êchange entre tous les centres et services du m:::m:le
extérieur à la communauté universitaire. L'enjeu est considerable, c'est
celui de l'ère téléœatique où l'horizon des connaissances acquises. et le
cha.mp des inventions ir.irraginables se rapprochent et font sauter la
barrière des limites.
De IPêrre que l' inv~:~.?n de l'imprimerie a ouvert. cl ms ancêtres
les j:Ortes des Louvelles civilisations, de même la télénatiSlle, couplage
de l'info:rTPatiql1e et de la télécommunic-ôtion mus conduit à la civilisa-
tion de derrain.
A roi::.:-c avis, il 1"'.e suffit f.':; qu 1 une tec)Y2C'lJe soil: ;~Dnne en soi,
o
il t,cout CIU 'ell,. le soit [our une entre; '.~_i.~_;ic! donr:0e, ,CUl.- Wl r.\\:
1.0!lne,
cl un FüIT.ent dOr:;lG. Telle est la l-'e!1Sé0 ::cn.)J:ome de LJ cor,ceFt1
"l:~' Cl:5TU.

-
1(1
-
G L 0 S SAI R E
ABONNE
Un abonné est la rersonne physique qui se conn<=.'Cte à
la rœssagerie [our lire les messages reçues dans sa l::oîte
au:.,: lettres ou envoyer des messages aux autres al.x:mnès.
A chaque abonné doit corresp:Jnc1n:
- un identifiant
- un nDt de passe unique qui constitue en fait sa
mîte aux lettres
ACCES (A UN RESEAU)
: FDssibilité d'atteindre un réseau de transmission de
données.
L'accès reut se faire par une voie unique
mcnCNoi~.
L'accès r,eut se faire par plusieurs lignes trans[ortant
l'infonna.tion : accès mul tilignes .
L'accès multivoie est réalisé grâce à plusieurs voies sup-
[ortées çar une seule ligne. Cl est le cas d'une autoroute
ayant plusieurs voies.
ADAPI'ATEUR
Matériel qui assure l'adaptation des informations é~~ses
par le terminal.
Al'iIALOGIQUE
On parle de signal analogique lorsque la grandeur physique
qui le représente subit des variations.
j k_
ARCHITKTORE
Paramètre conduisant à la définition y la structure d'un
(de réseau)
réseau de télécommunication. Celle-ci peut être centralisée,
étoilee, maillée, repartie, ....
M:x1e de synchronisation de l'émetteur et du recepteur par
l'utilisation, [our l'énussion de chaque caractère, d'un
bit "STARI''' le précéèant, d'un bit "S'IDP" le telwn.ant.

c.r>5f EIŒPTIGt"
Tout messaqC" C<?(,:u d: lu est trans fen
autom,3tie:uement oans
Li'1 case
RL·LLP;'lCi[\\ iiVCC f::OSSÛJililto oe c LaSSUT,eJlt.
CCITT
U:r"nitc C'onsu 1 Ll<, i
r nu"rnatioml 'l'l=lq'hornque et Tèlegra-
;~,,\\rJl.le) n~.lè\\fC? C:(è l'UrT (Unl.ün lr~L(';rnatlonale des Telècom-
ii\\Urücatlon..c:.)
Cti>::.·
'>cŒ
les Natior-LS Unies.
Les rroJets ac;0t-:tes
rar CCITT devie.r1Jwnt des "AVE~." yue les ViT !='€uvent
rrettre en
oeuvre dans les èi fferents pays - Lx. L'AVIS X 25 a éte mis
en oeuvre dans le réseau rublic TRfIJ·-SPAC. Ouvert à l'exploi-
tation con~rciale en G&cembre 1978.
Equi:.::.:enents
ir:fr)C:"ilt.ic'Lles
(ordinateurs) adaptes aux mrrres
SERVEUR
vidéotex, et p2nrctl:..ant à [Xirtir du rcseau télefhonique, ou
du transrac, 00. scocker et d'obtenir des rases VIOLüTLX.
CIRCUIT
Voie de corrrr.uniC:lticm ri::aliSH? uans un reseau ce transn,isssior.
VIRTUEL
cie donr.f.-es exploltGc en technique de COfm1utatior. rar r;aquets.
li rerr'f'lace le seL'!}ce assuré u.-aciitlOTtnellelT'€IJt
au moyen
d'une lialson rnysiçue.
CCMMlTI'ATIOr..;
Processus qui rehe cl la ùerranûe et rA2nciant la ciuree de la
cr CIECUIT
durÉe de la corrr;iunication deux ou r lus ieurs t&'TIinaux r:ar
l'utilisation exclLLc;ive d'un circui.t de transmission de
donne~s .
CCMv1LT AT IOt"
Technique partlcuhere de cornrnutation de cionnE€S
dans laquell~
DF PA('ÜETS
l'aiguillage et la circulation des dOnllees sont faits par des
ordinateurs; les ùonnees sont rerarties en ~~tits blocs ou
f0Quets .
L.~ncentrateur
OrCi1D:-è regrouranL plusieurs termirBux et affectant
d
chacun
(de termina LLX'
cl. 1 entre eux une :>3 rtie de la voie de transmissior•.

- n4 -
CONSULTl'.TIOl\\~
Consiste à oonsulter les messages re;us, ou recI1ercher
(Tressage)
puis afficher les messagcs classès dans djfferents dossiers.
COKSOLE
Organe pérj_phérique ou c.'CfUipaœnt tE:.nninal cllsr-osant o.' un é:C~Pr·1
(de visuali-
de visualisation. Il pCrTliet l'affichage ces informations
sation)
échangées avec le systi::me infomc..tique.
COl\\VERSJI.TIOl\\l\\"EL
Mode d'utilisation d'un systÈme de traitffilent basé sur le
(Mcx3.e)
dialoSL~ à ~~ir d'un terminal, et dans lesuel alternent les
messages entrés rar l' ol'érateur et les rE::[X)nses fournies r::ar
le centre de traitement.
COURRIER
Ensemble de ~yens de télècommUDications (telecopie, teletex ..
ELECTRONIQUE
vidéotex), permettant l'envoi par n-oyen electror,ique de l'in-
formation écrite ou dactylographit€.
OON~ES
Enserrble d'inforr~tion d'inforrratior6 çue l'on peut recuèillir
sur ur: sujet. Ces ir..forilB.tions F€ltvent
être merrorisêes, trc::itH:s
transrr,ises.
EME'I'l'EUR
:: Souroe de l'information dans une trarsmission.
ERIAl':G
Unité de mesure de l'intensité de trafic sur un circuit oe
télécoœ~munications.
E == cr
36UO
C
mœbre de corrmunicatior,
T
durée cie communication
EXFEDITIOl\\j
- Consiste à érr-ettre vers un destinataire ou retransmettrE"';ùri.·
message reçu vers un autre destiJ1ataire ou rèpJr.èire éi un
message.

-
E.quifPJn~nt de termina:ison de circui t cie dOl"U!t_eS
ETm
FROt\\"TAL
:Partie d'un ETI'O qui prend en charge la. gestion de ces
CŒl.mwncations a travers W1 réseau.
r.S.O.
International Standard Organisation. Dc;:xnd de l'Ot'<U et est
chargé de la nomalisation dans tous les domaines.
LIJlJ:SON
Liaison établie sans J='asser bar les installations cie commutation
SPECIALISEE
à l'usage exclusif d' un certain norrbre de station de aonrlt:es,
donc d'utilisateurs.
LCGICIEL
Ensenble des progranmes d'un ordinateur qui permettent de le
faire fonctionner en dorUBnt les instructions necessaires ~
la réalisation et à l'enchaînement de tâches Elerrentaires.
IvLESSAGE
C'est un texte d'une ou plusieurs r=aSes.
Un rœ~.§..age se compose d' un entête et d' W1 texte :
~_'I'_E'_I'E
_ _
]
'I_EXT_J._I:,
---,r
L'entête contient l'identification du ou des destinataires
et un certain nombre d'indication oe services (titre, coIXlitio~
d' expédition, de stockage ... )
rv:ODEM
~bdulateür - dèmodulateur - organe fonctionnel servant a moduler
les sisnaux. Il a pour fonction essentielle cie pennettre la
transrrissio0 de dornees numériques sur des circuits aralogiques.
~
.. "; ~~:.';;.:;
", .?i.~~~g''!·;!f~i·;..
ORDINATEUR
Traduction du terme anglo-saxon caTlFuter. l'lachine de traiterr,eLt
électronique de l'information.

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Con\\'erti~seur
Ver~ion
X 2S/V H
Simpl..x
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INlf~PAD M
X 25
)·5 sorties
Démultiplexeu r
S sorties
Repartition ."',
jusqu'ci
.asynchrones
--
de VL avec sorties
mult iplexÉ'-.'s
de chàrgi ~:SF
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10700 bps
po,-,vanl gérer
1asynchrones mulei-
57700 F
24 CVC chacun.
plex""',
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INTELLIGENT: ,".
Le VlDEOCOrvi 7004 adopte
les terminaux Videotex
VIDEO
M7004 (40ou80colonnes)
aux normes des grands
constructeurs.
Il transforme instantanément
un ordinateur en centre seNeur,
un interprète vidéotex
UNMRSEL
8 versions standard pour
IBM 3Oxx. 43 xx
IBM 34/36/38
DIGITAL. YN:.. PDP
HP 1000. 3CXXl
NCR 9100.'9300. 85xx
BULL Mli'llfl, DPS4. DPS64
ÏN ~OO. IN 5000. IN 2 0 0 0 '
MlCRAL ALTOS. MICROMEGA
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/1\\".
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\\75\\/
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VIDEOCOM 7004 une conception
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21. rue Combon 75001 PARIS - Tél. 42.61.41.91
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189 -
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FICHE TECHNIQUE -
1
. . S1IT' une Inachine donn~;q, CflAQUE UTILISATEUR dispose de tT'ois tupcs -dc -/ïchieT'6
a C.4'!'AWCUE :
CES !:"C.'!Ti:,·i?S DOCUMENTAIRES
U:S INDEX :
?ROPRD,/E;:lr DITS
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. 1. LE CATALOGUE
,,,;'IL peY'TT1et à L'utiL-i.sateuT' de mémOT'iseT' LES DIFFERENTS PARANETRAGES de ses
appLications. Le paT'ametT'age d'une appLication est MODL"'IABLE; à tout moment,
queLLq que soit L'ancienneté de ceLLe-ci.
2. LES FICHIERS DOCllMENTAIRES PRO?REMENT DITS
NombT'e de fichieT's
ILLimité dans
L'espace disque disponibLe.
NomDT'e de fiches
IL [imi té dans
L' espace disque disponibLe.
.' <~<Pormat des f'iches
VaT'iabLe (seuL
L'espace stT'ictement nécessaiT'e est
occupé).
(*)
NombT'e de zones
99 zones possibLes.
(~)
\\'.. "";t-PoT'Trat des zones
VaT'iabLe.
• Zones inteT'T'ogeabLes:
Toutes (Cependant,
pOUT' ,Les appLications impoT't-~ntes el
"J'.
J.
"
voLume,
il faut Les inveT'seT' Jans des index) .
I-fod:'ficat-ions
Toutes Les modifications imaginabLes pT'atiquement sont
possibZes.
EUes
sont immédiatement 'PT'ises en compte.
J. LES INDEX
LORSQUE LES ZONeS INr;r;;RROGEES SONT INVU?SEES DA/lS DES INDEX,
!'E:S T[!.JPS DE
RE:PONSE SONT TOUJOURS INSTA,'.'7'ANE5,
SUR LES NI~RO-ORD1I1ATE:URS AUSSI BIE:N QUE
SUR LES GR,4NDS SYSTEM!:S (e:::c>JpcI!
loT's d' ;.(ne -recheY'che .-wec
tT'OncatlU'e gauche)
~;':~;/lb:.,de descT'ipteuT's
ILlimité.
>··''''ûb 'c!.' index T'ûUJS
Un fic!:-:eT' peut :?tY>2 T'dié à pLusieu7's :"'1l:J.ex.
(*)
InveT'sions cWlièdées
PLusieuT's zones peuvent JtT'e
inveT'sée8 i?:ms un même
inde:::.
Mise à JOUT'
PaT' 'Lots ou en
:::WT:;7S
.,.,éel.
..De.6 'index peY'!!!cttel1t égaleTTi.?-'1t d'efIee;;u.:'Y' des t.,.,Ù; pOr'tant .;;;1' :mé: sièuLe
''Zône ou RUT' pl USÙ?IIT'S siml~:_>-:nèment.
(~t· LI.~ITES "STi1,','!)A!W" :
-.
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rno ..: '.' ,.eel';
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190 -
--------------------------------------------------------------------------------
FICIIE n'CIINIQIJt,' -
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D 11 ~ le' 'cas 1e 'r1'ur'c"'~rJl~
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plus cOlf7ple:::e, es;:: utile lon;qu2 l'on doit accéder, ?1
partï: l' d / un fichier donné,
à des informat'i:ons stockr;ps dans d'autres f1".chicps
pa.r '~',7:emiJle lorsque l'on veUT: obtenir, en ï:nterrogcc'lt lal ficllier de pièces
âéto,-.:;'es,
le nom d.u fournir:;eu p
et Don a,~'''esse Sir:i.,':C; liGne un au,;)'c ,:icl1ie",
(In nr·~: {o. PC: que Les Lia i sons c,'l.' i: rie un .f ich 1: f- Y-' ct se 8
~. }·::::~e.T:)' a 7>!6_7~ q il2 l- es ~:Z.ic "7: J3C)!l f3
entr-·.;' ,:]L~j8ieurs f--~c.hie~8J
sont ;nodi.fiables èl tout !nD~r;t_;y;t.:
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
PICHE TECHNIQUE -
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LE CATALOGUE: LA DESCRIPTION DES APPLICATIONS
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es; "l-cn'-er's.
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rLlr'(L~nt?tragt.J projJ}'ernent dit
les ~ditions 6ophistiqu~es
-
L8S "dialogzJ.e s".
T)::;SCRfPTION DE L'APPLICATION OOCUMENTAIRE (PARAMETRAG~)
".·?S
,:'o:::J.T:;,Jnts de paT'(]JT1ètr'e per'mettent de gér':7r' ;"·1 ôtr'uctuY'e .12 l 'c.pp:.icac"ion
:".;CI{712"1t":,,oJ
:ians son ensemble. Ce p2ramètn::.ge r'ecouvY'e tr'Oi5 aspectà :
- la str'uctur'e du fichier' documentaire :
les car'actérist'iques de la numér'otation des docwnentô
la liste des noms de champs
le type des champs
( numér'ique , ne devant pas subir' de modification
de pr'ésentation ,
implicite à l'inter'r'ogation )
- les index associés
- les fichier's r'eliés
DESCRIPTION DES EDITIONS
Les documents d'édition et de tabuLation permettent à l'utilisateur' de mettr'e
au DOint lui-même des présentat"ionô complexes de ses documents et de mettre en

val 'eu r
l' informa tion.
Ainsi,
l'utilisateur peut
n'éditer que ce qui est utile;
- présenter, dans l'ordre désiré,
les différences zones les unes sous les
Cl.1ltres ou inversement sous forme de tableaux
- centrer les informations ou les cadrer;
e•..<'fectuer des encadrements
- rw.:néroter les pages;
-
~ns~rer des codes de video (br'il:ance, i"1ver's~ Jidéo, attr'ibuts couleur's,
etc . .. ) ;
- insérer des cod.~8::'de photo-compos'ition pou"" pr'epar'er' zm f"ichl:cr dest'iné à
Lal
imprimeur' ;
- inclure des t"Ïtr'es et des libellés pa'"tictdié:r's.
PROCEDURES f?E?t;TITIVES ("DIALOGUES")
~t.;S (:'OCilIT:·.:::\\''::::ô de dicrogue m~rnoriS·!"it :'lr une ·:;"ili.:.'-'..:: ()·Lnp7.c
: (:>,c:
Fll'it,:.',·
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. cn:'.1.:! I/(:C":;
'i'.~,"XTO.
'.·C""~:"l~.::l::icF 1~··O..'ntue7. 7.1:":l(')! [; aeCOrnpa[ln;:~es
u:-il is(:..~:· t't'!l :',2C ,~~{~~/::tc:.>:::.~e~ ~'}.:?pé:;'·;~::(·!Je.(~ .;-'aD' ·,.;:.~··~':U3~:·d
·-?~-:t__·:'·.':)/'G: acc~: 1:; Cl
Q.~)p:' :·.~.~(.-:,·.. ·I{U? <tUee C--:(,'
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tZ:~ sa
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';/'
7 ',:!dl:t [Cl)
:,';.:;:OC'l~q(·).

FICHE TECNNIQIJE - 1
Lf; LANGAGE DECOMMANDE
UN PETIr NDMBRE DE PONCTIO~S DE BASE SL~PLES
~,,'S .-"Ol1ctionc de na8e de TF;XTO sont peu tlom!yrCUSi?S et; SOl1t pite appr:..ses IDr ;,?
IF
.
Choix d' LUI /ichit:r
IF
.
Choix d'wl paramétr'Clge cG.ta7.nqué
lE
.
Choix d'une ~dition catalogu&e
:, jou ter Wl Jo:'. um/?Y1 t
A 118
11Jouter ({nsprel')
Ze è.oci.:"'ent :i8
L 118
z,ister le do::wncnt ]]8
L 100,200
Lis ter les documen t 8 ] 00 è. 200
C 118
C!langer le contenu d'un C!WJTlp du èocument 118
S 118
Substituer le contenu d'un champ du document 118
M 118
Substitution Multiple d'un champ du document 118
RET 118
Retirer le document 118
Q
Poser une Qu.estion
E
Définir une Edition
T
Définir une Tabulation
F
Créer un :ichier TEX10
R
Créer un fichier Résultat (= un fichier Editeur)
x
Opérer en fonction d'un index
INDEX
Créer un index
QUES
Interroger par étapes
INIT
Initialiser le fichier des réponses
HIST
Afficher l'historique des réponses
RE?R
Reprendre le fichier des réponses
Etc . . , ..
0>: notqra que le CATALOGUE est géré aVi?C des corllmarz::es simila~:re8 c ce7.Les
:i: ~~isées pour les fichiers documen::1il'';;s.

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AU 01.03.1985
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TÉL (7) 829.70.55

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_-._---_.~~-----_._-~
TEX T 0
-
193 -
-----------------~------------------------------------ --------------------------
FICHE TECHNIQUE: - 5
bE LANGAGe DE CO~ANDE
LA PUISSANCE EST OBTENUE PAR LA COMBINAISON
DE PONCTIONS DE: BASE SIMPLES
Une .~~ois ~es commar21ies dg base hien maitr1.-sees,
L' utiL 1:satl:'?Ur commencera à Les
COMJ!;;'::?' cfin d'e.cf'ectlœl? des travaux pLus compl.exes :
IL
décOtIl)rim aLors
?rog~cGsiJement ~a puiss2nce du produit.
:Jes CO:1·f:'·fANDES C(Y·r~JNEE;S :J2ULJ'::;r1t comporter-
3A5:"':.
NOlis donnero'ls /-Cl- que!:!ugs ECHANTILLONS des pOGsibilités aLni31- offertes
L + E
Lister avec une Ed-itiùn fC.pticul7:è;re
LT
L + T
Lister avec une TabuLation particulière
Le
Z, + e
Opérer des cl1angement8 de contenus (C) dnns tous Les
documents sélectionnés par La fonction "liste" (L)
QS
Q + S
Opérer des subtitutions (5) dans tous les documents
f'o2pondant à une qugstiof/ donnée (Q)
(Exemple: introduire un nouVeau mot-clé dans 19s
documents sélectionnés)
QFE
-Q+F+E
Créer un sous-fichier TEXTO (F) aVec les documents
sélectionnés par une question (P) ; dans ce sous-fichier
seuls seront transférés les champs demandés dans
l'édition (E)
QR~T
Q -;- HET
Retrait (RET) de tous les documents répondant a une
question donnée
(~xemple : retrait de tous les documents antérieurs a
;me date rionnée)
LRT
:"~:?-i-7'
Cr'2er un .richier Résultat (= Edit.:;ur de l:l maclline)
(R)
avqc Les docl~ents sélectionnéo par Liste (L) et
:'r'~',:;,;mt/?s auec 1m2 tabu~élt;l:on (T)
X + E
~i"r;er ~es docwnents Gelrco ~ 'ordre indiqué par' !In ::n.iex
(X)
<2l!ec Wle éâition prémémorisée (E)
E;tc .
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une
ùL·r.pZiL:·i~::é dr-:.s (;{,,:: ."-" ,;'t?D (~:..•_-: bC.'_.:I~' à Za p"':. :_:.';:""·!(.~e d,;t"Y C():".':·.':~)~:leb Cl:.:Ul.neeé:-,
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1
PRIX DE CESSION
1
PRIX ANNUEL DE ~IAINTENANCE
1
CLASSE
TEX T O I LOG 0 TEL
1
TEX T O I LOG 0 TEL
1
1
1
1
1
----------1----------------1----------------1----------------1----------------1
CLASSE 1 1 200.000
F HT
1 80.00U
F HT
1 24.0UO
F HT
1
~.600
F HT
1
----------1----------------1----------------1----------------1----------------1
CLASSE 2 1 170.000
F HT
1
65.000
F HT
1
20.400
F HT
1
7.800
F HT
-~-~------I----------------I----------------I----------------1----------------
CLASSE 3 1135.000
F HT
1
50.000
F HT
1
16.200
F HT
1
6.000
F HT
----------I----------------I----------------j----------------I---------~------
CLASSE 4 1 100.0UO
F HT
1
40.000
F HT
1
12.000
F HT
,
4.800
F HT
----------1----------------1----------------1----------------1----------------
1 CLASSE 5 1 60.000
F HT
1 30.00U
F HT
1
7.20U
F HT
1
3.600
F HT
1----------1----------------1----------------1----------------1----------------
1 CLASSE 6 1 40.000
F HT
1 20.000
F HT
1
4.80U
F HT
1
2.400 F HT
1----------1----------------1----------------1----------------1----------------
1 CLASSE 7
1
20.000
F HT
1
10.000
F HT
1
2.400 F HT
1
1.200 F HT
1----------1----------------1----------------1----------------1----------------
MISE A DISPOSITION DE TEXTO ET LOGOTEL SUR SERVEUR VIA TRANSPAC
SERVEURS DISPONIBLES :
CHEMDATA met â disposition le logiciel TEXTO sur cinq centres serveurs.
FRAIS DE FONCTIONNHIENT INFORNATIQUES :
Les frais de fonctionnement de la machine sont facturés directement par l 'organismt
dont dépena l 'orainateur serveur.
TARIFS DE MISE A DISPOSITION DE TEXTO ET LOGOTEL :
nombre d'accès
taxe mensuelle
nombre d'accès
taxe mensuelle
1
1. 545 F
4
4.000 F
2
2.47ü F
5
4.630 F
3
3.290 F
6
5.150 F
acct:s suivants
+100 F
DOCUMENTATION :
Fascicule d'utilisd[ion TEXTO
867 F HT.
Fascicule d'ut"ilisation LOGOTEL
2U4 F HT.

REMARQUES SUR LES CONDITIONS DE VENTE
DOCUMENTAnON
Il est fourni 1 manuel d'auto-formation pour les versions d'une valeur inff-
rieure ou égale â 60 KF, 2 manuels pour les versions d'une valeur inférieure ou
égale à 130 KF et 3 manuels au delà.
FORMATION
Classes 1 a 4 ;
~jos manuel s d' auto-formati on sont suffi sants pour une bonne uti li sati on de ncs
progiciels. A la demande du client, nous pouvons effectuer des formations
pr'ivées. Ces formations sont facturées 3.876 F HT par moniteur et par jour.
Classes 5 à 7 :
La formation est OBLIGATOIRE pour les utilisateurs non familiarisés avec le
système de la machine concernée (PCIDOS, ~lS/DOS, UNIX et dérivés d'UNIX).
TESTS :
Classes 1 â 4 :
Durée
1 ou 2 mois. Prix: L.500 F HT par mcis.
Cette somme est récupérée en cas d'achat.
Classes 5 a 7 :
Dur~e : 1 mois. Prix
1.000 F HT.
REMARQUE nlPORTANTE :
Les prix ci-dessus sont majorés de 5~ pour les sociétés payant plus de 30 jours
après réception de facture.
~.. ~i'
<'·,~·;4b '#~jii;.;~ -:'.
.' """~~;;"'.
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. , : '
J••
",c·;.' ,

CLASSES DES DIFFERENTES ~~CHINES
(MACHINES-SPECIFIQUES UNIX EXCEPTEES)
1
CLASSE 1
1
I--------------------------------~-I------------------ ---------------1
1
MACHINES
1
SYSTEME
1
MACHINES
SYSTEME
1
1------------------ 1--------------- 1------------------ ---------------1
1 BULl/HONEYWELL : 1
1 IBM : 308X
TSO-VSAt-1
1
OPS 8
1
r'lUL TIC S
1
303X
V~l/CHS- VSN·l
1
1
GCOS 3
1
37UX
(SOUS OS)
1
1
GCOS 8
1------------------ ---------------/
OPS 7
1
GCOS 7/LS
1
ICl :S 2946 295U
1
1
SIRIS 8
1 S 2955 2956 2966
VME
1
IRIS 80
1
SIRIS 8
1 P 2960 2972 2976
MAC
1
1
1
1
P 2977 2982 2988
1
1------------------1---------------1------------------ -~-------------I
1 SPERRY :
1
1
1 l1UO/8U ou 90
1 EXEC 1100
1
1
1
1
1------------------1---------------1
(voir la page suivante pour les classes 2 à 4)

i
--
197 -
CLASSES DES DIFFERENTES MACHINES
(MACHINES SPECIFIQUES UNIX EXCEPTEES)
(suite)
1
CLASSE 2
1
CLASsE 3
1
CLASSE 4
1
1------------------------ 1------------------------/------------------------1
1
BULL
1
BULL
1 BULL
1
1
GCOS 7/MS
1
GCOS 7/ES
1
1
1
OPS 6/950
1
OPS 6/750
1
OPS 6/4)0
1
1
i·1I N1
6/9 6
'. . MIN 1
6/7 4, 76, 92
1 MIN 1 6/4 8, 54
1
1------------------------1------------------------1------------------------1
1
DATA GENERAL
1
DATA GENERAL
1
DATA GENERAL
1
1
!'1V 10000
1
MV
8000
1 MV
4000
1
1------------------------1------------------------1------------------------1
1
OEC
1
DEC
1 OEC
1
1
VAX 11/782, 11/785
1
VAX 11/780
1 VAX 11/7)0
1
1------------------------1------------------------1------------------------\\
\\
HEWLETT-PACKARD
1
HEWLETT-PACKARD
-
1
HEWLETT-PACKARD
1
HP 3000/64 et 68
1
HP 3000/48
. 1
HP 30ù0/39 et 42
1
------------------------I----------------------~-I-------------------~----I
IBM
1
IBM
1
4381 et 4341-2
1
4321,4331,4361,4341-11
(VM/Ct~S et ISO)
1
(V~1/CMS)1
------------------------1------------------------1
ICL: ME 2903 2904
1
1
ME 2937 2945 (MAC)
1
1
------------------------[------------------------1------------------------1
PRIME
1
PRIME
1 PRIME
1
PRIME 9750, 9950
1
PRmE 965ü (750)'
.,;/
PRII~E 2550 (550)
1
------------------------1------------------------1------------------------1
MATRA OATASYSTEME
1
MATRA DATASYSTEME
1
MATRA OATASYSTEME
1
''10 540, 560
1
MD 530
' '1
MD 100
1
------~-----------------I------------------------I------------------------[
NORSKOATA
1
NORSKOATA
~I
NORSKDATA
1
ND 540, 560
1
ND 530
1
ND 100
1
------------------------1------------------------1------------------------1
SPERRY
1
SPERRY
1
1100/70 (EXEC 1100)
1
1100/60 (EXEC 1100)
1
------------------------1------------------------1
HARRIS
l
'-!:
HAHRIS
1
------------------------1
(voir la page suivante pour les classes 5 i 7)

.J.: ..
1
(
[
BAUD (bis)
Bauo l rH)ln (iU
s3vant
C['é!11CéllS
f~é\\~dot)
Uni t f
ne !n cs lJ r c d (' m0 CI u ]:0, r. :i () ri r rH' r' CS pO n dan t
,),
1;]
t,' ,J r 1 Ci m1 S s ion
(1' LI [ r
l ln fl \\ 1 1 0; i. Cl Il
Il a r s C con de.
BIT
l Binary dlgie)
c'est
l' L1I,ité de
la qU3nci.cÉ
d'inforllulion.
Il
peut avoir deux
valeurs
o et
BOITE
;:.L3X
Un
'T10~
ei'.i)'lsse
de
Î ' 3l,onnè , l u i
iJf:I'mer
de
LETTHES
cont ie"l
le mcssa~1
est
classé ~ans la case RECEPTION.
CADUCEE
donnéeo; url crL
par
les
télécommunications.
Il
permet
des
vitesses allant
de
2400 à
4800 et
9600 bills
CARACTERE
Lettre,
chiffre,
signe,
ponctuation entrant
dans
la constitution d'un message.
CASE OU
permet
dc classer les messages.
Il
existe les
DOSSIER
cases
EMISSION,
RECE~TION. L'abonné peut
crée:"
mo(jifier ou
supprimer au besoin une
cas e 0 u t r';\\ n s f é r e r
u n ln e s s age
d' '.; r': dos sie r
à
unau t ['('
CLASSEMENT
con s i ~ 1 f
:,
, ' , ' 0 e r
u n cl () s sil:' r
d f: C las sem en t 1
(message)
copier 1.111 IIJ('::SdgC d' un dossier dans un é:lutrc.
CAse EMISSION
Lorsqu'ulI
1l1L':-iS~\\P,C est
emis vers une
boîte .:\\u:-:
leccres dvsti~ataire. il
est
copié automati-
q u.: :n C ", L
fi . l ' : :0
i ::1
C él S C
é~ in i s s i 0 il
(d 0 '3 .s i c r
é mi.' -

-,.....
'l1'>:,G,:(~';~;_':':::_·:;'_ .~
;;
j
1
• •__
- 198 -
.'J-
En yoicl les caracteristiques :
Nombre maximu~ d'~crans Dctifs,
. sans limite
Hombre maximum de mota de pesse utilisoteur
, ..
100
Nombre de niveau. d'accès
. 10
Nombre m8X imum de blues en l1Qne
. 16
Nombre m8X imum de documents pllr base
-
. 500 000
Longueur maximum de la référence
15 c8r8ct~res
Nombre· m8xi~um de caractères par document
8 000
Hombre m8ximum de champs per dOcument
64
LonQueur 1I\\8ximum d'un chemp
8 000 c8r8ct~res
Lonçueur maximum du no~ d'un champ (code)
6 caractères
Lonçueur mllximum du nom d'un champ (libellé)
16 caractéres
Nombre maximum de deDcripteurs saisis par commande
100
Nombre de de,cripteurs par fonds documentaire
sans limite
Lon9ueur llIuxilllum d'un descripteur . . . . . . . . . . . . • . . . . . . . . . 62 ceroctères
Hombre de liens hiérarchiques
sans limite
Nombre de liens synonymiques........................... sans l1mite
Nombre de liens de ~oioinoçe
~
sens li~ite
Hombre de fenetres 'de slisie • . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
Hombre de (enetres de vlsuallsaUon .•..•...•........... 99
Hombre maxiMum de niveaux de hiér.rchie ....•••......... sans limite
• Hombre de niveaux hiérarchiQues VlSU81i5~S••.....•..... ' 10
Hombre maxlmum d'imbrication de parenthèses •.....•..... 2
Hombre maximum d'étapes •••.....•••..................... sans limite
Dimension mad d'un numérique (partie entière>
10 chiffres
Dimension maxi d'un nUlnériQue (pulle décimele)
6 chiffres
Remarque
Toute5 les cllrllctéristiQues citées comme étllnt "sens
limite" sont évidemment (onction de la con(iQuraUon
sur laouelle est implantée JLB-OOC.

-
199 -
Enregistrement-de-type "8"
Cet enregistrement permet de définir les caractéristiques
générales de la base :
il.,
, U
î
1
8
(l)
(2)
(3)
(4)
(5 ) (6)
(7) (8 )!
(9 )
(l0 (lI
N N
1
i
1
1
,
!
1
i i
,1
1
1
(1)
numéro interne de la base (Dl à 16)
(2)
nom externe de la base (unique pour l'ensemble des bases)
(3)
séparateur des descripteurs
(4)
caractère de fin de paragraphe (retour à la ligne)
(5)
parenthèse ouverte "("
(6)
parenthèse fermée ")"
ce~'deux attributs permettent de saisir des descripteurs
avec des parenthèses, la sélection utilisant d'autres
caractères que "{" et ")".
(7)
caractère de troncàture à droite (pour LEX et SEL)
(8)
séparateur pour la saisie des dates
(9)
numéro interne du champ par défaut
(10) indicateur d'étape
(11) descripteur candidat
si cette zone est valorisée, les descripteurs seront considérés
comme candidats jusqu'à leur validation (THE VOl.
. , ' f .: .....
Manuel de misE en oeuvre JLB-DOC VJ.O

-
200 -
Enregistrement de type "C"
Cet enregistrement permet de définir les caractéristiques
de chaque champ des documents d'une base:
4
----'------'-(I~_)_--[
ljL----I.(l_)-,--l-_ _(_2_)-,--l-
( _3)
(....L._)---J....I_O----'-_O
°--'-°_1_(........5_)
(1)
numéro interne du champ (Dl à 99)
la valeur 00 doit tre réservée à la référence du
document et suivre l'enregistrement "8".
(2)
nom externe du champ (unique pour une base sa longueur
est au plus de 6 carctères)
(3)
libellé du champ (16 caractères)
(4)
type du champ
01 champ référence du document
02 champ texte
03 champ inversé
.~~ 04 champ numérique
05 champ date JJ/MM/AA
06 champ date JJ/MM/AAAA
(5)
numéro interne de lexique (obligatoire pour les champs
de type 03)
(6)
numéro de fichier inverse logique utilisé par ce champ
(7)
nombre de fichiers inverses logiques
ce paramètre est obligatoire si le numéro interne de
lexique.èst identique au numéro interne de champ.
NB : seuls les paramètres (2) et (3) peuvent tre modifiés
2près la création du 1er document.
:1 est possible d'ajouter de nouveaux champ à tOI;l moment.
['ordre des champs est s~ns importance. Cependan:, uprès toute
mise à jour de la défini tian d'une base, i l est nécessaire de
rcgénérer les formats de saisie et de visualisation.
.....
'

-
201
-
4.3 Commandes utilisateurs
L'administrateur peut définir en plus de la commande standard SAI
36 commandes supplémentaires par base; ces dernières ont les mmes
fonctionnalités que la commande SAI mais utilisent un format de saisie
pouvant tre différent.
Ces commandes sont stockés dans JLB_LIB et sont mises à jour par
la procédure JLBDOS (voir chapitre S.7).
Le paramètre a le format suivant :
lj K 0 o (2)
(3)
ij_-..L-(S_)---J
_--,--(_3_)"----_ljc-_(c-S_)_
(1)
numéro de la langue
l2)
numéro interne de la base
(3)
libellé de la commande, unique pour une base
(4)
droit d'accès de la commande, compris entre 4 et 8
(5)
numéro du format de saisie associé
NB
Ces commandes permettent d'utiliser un.format de saiSie
compatible avec des bordereaux ou des types de documents
différents; ils permettent également d'effectuer une
saisie progressive d'un mme document. Dans ce cas, les
différents formats de saisie ne doivent pas utiliser les
mmes champs.

-
202 -
4.4 Formats de saisie
4.4.1 Introduction
Les r
-~ats de saisie sont une nouveauté de la version 3.0
de JLB-OOC. 11_ permettent une saisie adaptée à des formats de bordereaux
différents et de prendre en compte des documents de types différents.
Ils permettent également l'utilisation d'EXIls (voir annexe X)
en vue d'une saisie controlée ou automatique de certains champs.
4.4.2 Procédure JLBD13
La procédure JLBD13 permet de mettre à jour la table des
formats de saisie d'une base à partir d'un fichier paramètres
«nom de la base>.5).
Ce fichier contient 4 types d'enregistrement dans l'ordre
suivant
"B"
identification de la base
(l fois)
"5"
attribut du format de saisie
(l fois)
(n fois)
"c"
attributs de saisie des champs
(n fois)
,-
"f"
fin du fichier paramètre
Cl fois)
Enregistrement de type "B"
(1)
numéro interne de la base
Manuel de mise en oeuvre JLB-DOC V3.0

-
203 -
Enregistrement de type "5"
(1)
numéro du format de saisie
01 à 99
Le format de saisie est obligatoire
(2)
type de format de saisie
"1"
La référence du document doit etre fournie avec
la commande et le document ne doit pas exister
(création du document).
"2"
La référence du document doit tre fournie avec
la commande et le document doit exister (saisie
progressive du document).
"3"
La référence du document est valorisée par un exit.
(3)
numéro de l'exit de début 00 - al à 99
00
pas d'exit
al à 99 l'exit sera exécuté avant la saisie du 1er champ
(4)
numéro de l'exit de fin 00 - al à 99
00
pas d'exit
al à 99 l'exit sera exécuté après la saisie du dernier champ
Manuel de mise en oeuvre JLB-OOC V3.0

-
201.1
-
Enregistrement de type "C"
~[
4
_ _(..J...1_)_L-_(......
2 )
(..J...3)_......L-_(-L_)--J
(1)
numéro du format de saisie
(2)
numér~ interne du champ
(3)
type de saisie
al
saisie par JLB-OOC
02
saisie par un exit
03
saisie par JLB-OOC champ obligatoire
(4)
numéro de l'exit 00 - al à 99
00
pas d'exit (type de saisie al ou 03)
,;.. to,:-_
Dl à 99 l'exit sera exécuté après la saisie du champ
(type de saisie ,01 ou 03), systématiquement
,
-
(type de saisie 02).
NB :
Si.la zone ERR-NUM est différente de zéro, JLB-OOC affichera
l'erreur et recommençera la saisie.
Le type de saisie 02 ne doit pas etre utilisé avec des champs
inversés.
. .~
Hanuel de mise en oeuvre JLB-OOC V3~O

-
205 -
4.5 Formats de visualisation
4.5.1 Introduction
La commande de visualisation VIS permet à l'utilisateur de
visualiser un document ou le résultat d'une sélection suivant un
format de visualisation défini.
Les formats de visualisation permettent d'avoir une vision
du document différente en fonction du choix de l'utilisateur.
Ces formats servent également à l'édition (Commande EDI et
édition du fond documentaire).
4.5.2 Procédure de mise a jour
Une procédure (JLB012) permet de mettre à jour la table des formats
de visualisation d'une base en un passage à partir d'un fichier
paramètre «nom de la b~se).V).
Ce fichier contient 4 types d'enregistrement dans l'ordre
suivant
"B"
identification de la base
(1 fois)
"E"
attibuts du format
(1 fois)
(n fois)
"c"
attributs des champs
(n fois)
"F"
fin d~ fichier paramètre
(l fois)
Enrgistrement de type "B"
(1)
numéro interne de la base
Manuel de mise en oeuvre JLB-DOC VJ.O

-
206 -
Enregistrement de type "E"
(1)
numéro du format de visualisation
(2)
droit d'accès au format (1 à 9), ce droit d'accès sera
comparé à celùi de l'utilisateur.
Enregistrement de type "c"
l:J"--_(.......1_)
( 2.......)
(.......
3 _)
(....l.4_)_....L...-_(_SJ....)_--J
(1)
numéro du format de visualisation
fonction de visualisation :
00
affichage du message 81 attente de la réponse de
l'utilisateur: a -) document suivant
N -) retour au niveau commande
al
retour è la ligne et affichage du libellé du champ
02
à la suite affichage du libellé du champ
03
retour à la ligne
04
à la suite
05
(4) espaces è la suite
06
positionnement à la colonne (4)
(3)
numéro interne du champ (pour les fonctions al è 04, sinon 00)
(4)
pour les fonctions Dl è 04 longueur du champ à visualiser
(00 tout le champ)
pour la fonction 05 le nombre d'espaces entre champ
pour la fonction 06 la colonne
(5)
numéro de l'exit de visualisation 00 - Dl d 99
,
00
JLB-DOC visualise le champ
Dl à 99 l'e)~t visualise le champ
Hanuel de mise en oeuvre JLB-OOC V3.0

2.1.
PAF::
Compte
rendu
d'une
expérience
'Utilisation
d'un
serveur
télématique
commc
outil
pédagogiquc'
.,
"., ...
;::.,.,-. ; ...
.", .

c rl ~~ p
f~ 1 N [) li
Il
li ~j
1
[
\\
fi
1 !\\ 1 r: N C [
j
,
1\\
j
l IJ, Nil' li I\\J
"li
1
1
1<
V
II i\\
1 1
M fi
1 1 1.1 li 1
[' n M MF· Cl lJ 1 j L
... E
LeT H CI P [1 t·~ E
PROJET d!ACTIüN EDUCATIVE
ç, E1-' TlOI [. :, T ~.
~ 1l 1-' E
l "
'.'
'. r:, H 1
ij ~
1·(
'.'

-
207
Le
PROJET d'ACTION EOUCATIU
RECTORAT de NICE
AVANT-PROPOS
Le
point
de
départ
de
cette
étude
est
un
stage
interdiscipl i-
naire
d'éducat ion
à
l'environnement
réal isé
dans
le
cadre
du
Plan
Académique
de
Formation
et
animé
par
Monsieur
PEYRONNE.
Inspecteur
pédagogique
régional
de
Sciences
Naturel les.
Cc
stage
qui
impliquait
la
présence
et
la
p a r t i c i p a t i o n
des
élèves
a
permis
de
poursuivre
un
Projet
d'Act ion
Educat ive
ayant
pour
t~éme
la
constitution
d'une
banque
de
données
sur
la
commune
du
THORONET,
choisie
pour
sa
d i v e r s i t é
(végétation
typique
de
la
Provence
c a l c a i r e ,
agriculture
encore
déve-
loppée.
présence
de
mines
de
bauxite
exploitées
et
de
la
célèbre
abbaye
menacée
par
un
glissement
de
t e r r a i n ) .
Cette
étude.
i n t e r d i s c i p l i n a i r e
a
é t é
faite
dans
le
cadre
des
~rosrammes
des
classes
de
seconde
et
de
première
qui
comportent
des
études
du
mi 1 ieu.
, '1
Elle
il
été
dirigée
par
qU.Jlrc
professeurs
Mad,lme
COLLOMP
Scier.ces
Economiques
cl
Sociales
Maci(:mo i se Ile
DON
Hi:; ! 0 1 re
Géosraphie
~\\Ol:,ièur
PROST
Hi:; loi r e
Géogra~hie
~la,j,jmc CALANGALJ
Sc 1 (:nces
Naturl'lles

-
~Uü
-
Un
autre
groupe
animé
par
Monsieur
ALONZO
(Espagnol)
et
Monsieur COLOMBET
(Français)
travail le
ct
la
réal isation
d'un
film vidéo.
. .
Les
photographies
ont
été
réalisées
par
le
club-photo
du
lycée.
Il
a
été
possible
de
mener
ct
bien
cette
expérience
grâce
ct
la
collaboration du
centre
serveur
VARTEL
créé
par
l ' I n s t i t u t
Méditerranéen des
Géosciences que
dirige
Monsieur
le
Professeur
Roger
CASANOVA.
Ses
collaborateurs.
Monsieur
PERON,
Monsieur
BEZON et
Monsieur
GARCIN
ont
initié
les
élèves
ct
la
lecture d'une
banque
de
données
et
ct
la
saisie
des
différents
documents.

PREMIERE PARTIE
les
documents
1.
Collecte
d'observations
et
de
données
1.1
Documents
consultés
aux
Archives
Départementales
du
Var
dénombrements
de
population
série
M (llM
1.9,
IIM
2.6,
IIM
2.16,
12M
2)
s t a t i s t i q u e s
agricoles
14M
annuaire
du
Var
Bibliothèque
des
Archives
Départementales
acte
notarié
pour
le
réaffouagement
général
de
1728
série
C
142
exposé
du
Maire
du
Thoronet
au
Préfet
contestant
la
propriété
de
la
forêt
communale
des
petites
et
grandes
Darboussiéres
(1806)
série
7P
57
procès
verbal
du
garde
forestier
concernant
les
mêmes
bois
(03
octobre
1854)
série
7P
57
1.2.
Travail
sur
le
terrain
Pour
f a c i l i t e r
leurs
observations :les
élèves
disposaient
d'un
questionnaire
correspondant
à
leur
a c t i v i t é
sur
le
terrain.
• visite de l'abbaye
réalisation
de
photos.
du
film
vidéo.
de
dessins
d'ornements
architecturaux.
Rélevé
bibliographique
des
livres
vendus
à
l ' e n t r é e
de
l'abbaye.
FIcha
da
travail
N'
1
VISITE
DE
L'AElBAVE
DU
THORONET
In.crlva.
.ur
le
plen
1
(voir
pe . . . . ulvente)
nef
.a Il. capitulaire
trav'e.
armerlum
pli ••
.acrl.lIe
be.
cOt ••
ou collat.re.ux
clortra
-
.a
torme
ebllida
lavabo
eb.ldlole •. du
tren.ept
.rand
cellier
crole'a do tran.epl
batlmant
de.
conver.
crolalllonD
du tren.apt
Note.
von
ob.orvatlon. aU
fur
et
.li
""aaure
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la
vl.lte
o. •• ln. "'If cantrala 1
voata
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barcelu
brl.f!
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1
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pl.ln
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Itmln4eo
cor belli ..
-
.oatra.al.
, ...: ul Vil
lut
colonne
plod
-
bAlle
1.-,
d~u)l(
t ; ) l 11.
1.
~(otle
Note •.
VOD
ob •• rv.llon~

210
PL."S D'ENSEMBl.E
DE L'ABBAYE ()l) TllüKUNET
f"""
/' ... ,' ( .;"',
_'.l,,/f, 'f ,. '/"'1
*'J \\1".".'./1 111I/~I9-'J
Fiche
de
travaIl
n'2
Ouel5
sont
le5
deu"
fondateurs
de
l'ordre
de
Citeaux
)H,UII'
..
A Quelle
date
est
londt
l'ordre
de
Citeaux
. 101
UO
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Pourquoi
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sont-! Is
en
rupture
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l 'or~re
de
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r -.,.,.J, ....
Donnet
le
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la
date
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f·' 1
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clennes
de
Provence
Q
,
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A Quel le
date
est
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construci Ion
du
rnonastere
du
Thoronet
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Pour
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a
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et
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Ou'advlent-II
de
l'abbaye
a
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de
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Jusqu'en
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...
1854,
date
de
son
rachat
par
l ' E t a t '
Ouelle
a
t t t
l'action
de
rest.ur.tlon
entreprl'e
d
'..r,\\ LI 1r-.!
(0 p u . ,
1
,- ,
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"
, '1.
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COllllllent
est
organiste,
au
XII'
sltcle,
IJ
C
. ~ r. ~ u ~ t
'"-~ t' ~
r!lO \\ r. ~ 5
)'.......
YICNE
~.
.
Relevet
les
principales
lonctlons
exerctes
par
certaIns
moines
\\
l ' lnttrieur
de
l'Abbaye.
Comment
devient-on
moine
au XII·
sl~cle
,
"
1 Il'''').~ , J( )t'c~
,
Dtcrlvet
rapidement
la
vIe
des moines
J'Interieur
de
'Abbaye,

'-T'\\
,n',..I·. Ill,.. "A',..';.
Ou'est
ce
Qu'un
lrére
convers?
BilA Il.'11'..''0 1 I)I'.~ (0:"\\. X,
Ouel
est
son
r61e
C· Illl 1 l'.I.I.I'.RIF.
D "\\·.RXU,.. 1ru,.,;". \\.(,,..1'.
~
Jr.~l
L'Abbt
du
Thoronet
est
.ussl
depuis
1 e
Mo yen
A ~ e
) us Qu . a
1 a
t:
('XA,'(,l; III.'IILXI·
\\
\\
'
:z;
Revolution
un
seigneur
l~odal.
1",1,1.1 "'.
-
l
j 1 (
0
Oul
a
donn~
les
terres
ntcessalres
1.
Vie
de
l'Abbaye
l
• li:
'.~I.XI~·IIL
Ou 1 me t
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DE CONSTRUIRE UN TEXTE
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DOSSIERS OU POUR UN
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visite
de
la
mine
a ciel ouvert de Comb~-~dv~; LlUL UI;It.: i~ lo..lll uJ}
fournie
par
la
Société
SA[3AP.
photos
et
récolte
d' échilntillons.
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d.
travail
n
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VOU21
prend.re.
r\\e.
not~,. e-u cour:"l et;
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ph1~U. 7
<;'u.ll • • "t l~ oomposit1on chinl"'u .. è. 1", llau-dte 7 D"'finltion d'un ",ln.r~1 •
Co=""" .. nt "e pr4111'1nt. 1. t;l,,,,ment
d .. Co"bo C"ve 7 F.• lr .. un ,",cr."ma ni
Po~,,1ble •
"u'app .. lle-t~n mur 7 toit 7 nu .. l
6~t l'~o c.. ce. terr:\\1ne dan .. le c1"'-""nt 7
Comp~r•• l'~ d. c ... terra1n. ~ 1~ 113t. de. ~t~re .. du .... condalr .. <'ue vou. ave&
sur la 11.t. jo1nt. 1 ou' •• t-e. ~u'un. l~cun. d . . . ~diment.. tlon 7 ~u .. ~eut-on "n
d~du1r. en oe qu1 concerne la ror,-,,,tlon d .. la a.-\\ux:1t. 7
De pu1. '1 ua.nd 00 tt 0 .1 n • • • \\-4111 • • xp 101 t4 0
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Qu'olle •• t
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Co~.nt l'.xpl01t. -t-on 1 Qu. devt .. nt-elle apr6. l'.xtraotion 1
L'ERE SECONDArRE
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Oocumentatlon
fournie
par
la
soclCté
PECHINEY
En'luête
orale
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d.,
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N'.
VIS~TE DE LA MINE DE.·PEYGROS (PECHINEY)
1\\/
L.
mine
enoy.n
de
production
d.pul.
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J.
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(Gerallnal) .
• observation du glissement de terrain
FIche d.
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'fiO\\1Z"'.\\lOl ;><"ut-on dlra 'lU. 1•• 1 t. c. l'ab~•• vdt ~t·l .,,,1 chol.1
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o'bDerve't
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c:,u.l
~,,:t 1. p4nd:",.~ d.:r co'Joh •• 1 ver. o;~ ~no1.nt-el1•• 1
-
~\\l' •• t-o. ru'un. t"111. 1
- r:ua.n4 p"'ut-on obs.f""V9r un ~ll&:].""'nt d. t~:'r"\\tn ,
- ",-ual • • ont 1 •• ~~&".t. (".U. l~ damier ~ll ~!'I~·-"'nt /1.f' tarr .. ln 1\\ :,rovoru4.
,-ur l''''b~.I'y. ?
- ..... u.l •• t
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~"'t·frt.l\\u \\ltt.lls~ "lour OOr\\lIll"u1r" l·a.bb",y. 1
.. votre "vte '·u.ll_ .at 1 ... rl\\ieon rut
a
poul"l34 1 •• main •• ~ cholelr
c. ~lt. p1utat "u'\\1J'\\ "u"re 1
-
au COure
~o 1. v1.s1.tl' d. l'.t-bft.J'e vou. 1r\\":'1 votr le. d.olC ... t. ct. c11.,~e"'lPnt
(
t~~Olnl'- "ur 1" rer""""e ) •

réallsatLon
de
relevés
de
végétation
observat Ion
de' la
répartition
des
cultures
et
des
principales
séries
de
véKétatlon.
fiche
d"
Ha"all
n'b
(c.OI~ 1
- -
On enb... <1ans 1:1. ooro.t:",une du Thoronet au ~nt d'Ar~ne • Depni. 1. cnr note~
1.1 v'(e-t<tatlon "ue l'on travere.
1
p1n~d •• ohlnale , (ortTl:ltlon. ba." •• , oulture.
Qu"!l le"
~ont \\eo "rlncl-);,le. cultur•• ".UI!' l'on peut ob::Jerver 1
Qu"l
e"t 1~ type'd .. v.:g.;tntlon que l'on trouve p,utour d. l'a.bba.y.?
Oonment !alt-on un r.1.v~ de la v4~t:ltlon 7
-
r'-',L>rtltlon ""rt1c.-11e
(
notion d.
"trat ••
)
_ r~partlt1on horl~onti1e ( notlon d'~a"oclntlon
-
dynamlque (
notlon de
"~rl. d. v~~&tatlon )
Co~ent ~~lue-t-on ln blom~"". 1
'/o'J"
;->r.. ncrea de. r.otell "-u COurll 1ell ":r:p1lo"tlons c;.ul
lieront donn~e. Ilur le
te~~aln • Vous r~~11I1ercs ?:lr erou~. un r.lev& de v~~1t~tlon en r.cuell1~nt un
ec:-..1ntillon de plant .. d .. ch~_'....e ell,,~ce "(ln rte rt~"l1".. r un herbler •
1.3.
Documents
fournis
par
les
sociét6s
PECHINEY et
SABAP.
coupes
géologiques.
-
qualité
et
origine
des
bauxites,
-
exploitation des mines.
1.4.
Les cadastres
localisés
aux
archives
municipales,
ils
renseignent
sur
la
répartition
des
cultures
et
des
bois.
1.5.
Consultation des banques
de
données
scientifiques
GEO DE.
1 ST 1 .
Renseignements
sur
la
géologie.
2.
Renseignements obtenus
-
Utilisation
Au
terme
de
cette
première
phase
du
travail.
1 e s
élèves
avaient
rassemblé
de
nombreux
documents
-
des
cartes
topographiques
géologiques,
phytosociologiques,
des
risques . . .
-
des
coupes
géologiques,
-
des
photographies,
des
tableaux
de
mesures
des
textes
écrits
(revues
imprimés,
livres).
de
la
bibliographie
sur
papier
ou
sur
banques
de
données.
Il
était
donc
nécessaire
de
classer
ces
documents,
afin
de
faire
des
synthèses et
de
dégager
des
conclusions
sur
l'environnement
du THORONET.

3.
Première
approche
de
la
télématique
initiation
à
la
lecture
d'une
banque
de
données
Depuis
une
dizaine
d'années
de
nombreuses
expériences
sont
menées,
tendint
a introduire
l'informatique
dans
l'enseignement
par
l'usage
des
micro-ordinateurs.
Le
développement
de
la
télématique
et
la
facil ité
d'utll isation
du MINITEL
ont
conduit
quelques
équipes
à
rechercher
la
manière
d'utiliser
ce
nouvel
instrument
de
communication
comme
outil
pédagogique,
en
complément
du micro-ordinateur.
Pour
la majorité
des
enseignants,
non
familiarisés
avec
l'informatique,
l ' u t i l i s a t i o n
du micro-ordinateur
est
limitée
par
l'obligation
de
réal iser
des
programmes
compatibles
avec
la
progression du
cours.
Les
logiciels
du
commerce
ne
correspondent
pas
toujours
a la manière d'enseigner du
professeur
et
ils
sont
difficilement
modifiables.
L'intérêt
majeur
de
la
télématique
est
de
supprimer
cette
contrainte
pour
l ' u t i l i s a t e u r ,
puisque,
par
l'intermédiaire
du
réseau,
qui
ouvre
une
infinité
de
possibilités,
on
peut
faire
appel
a
des
spécialistes
de
la
programmation.
A côté des
grands
serveurs
américains
(Chemical
abstract,
8iological
abstract . . . )
et
du
serveur
français
QUESTEL
qui
abrite
les
banques
PASCAL
(CNRS)
et
GEODE
(BRGM),
se
développ~ent des
serveurs
régionaux qui
ont
l'avantage
de
permettre
une
concertation
plus
facile,
au moindre
coQt,
avec
les
spécialistes,
dans
le
but
de
tenter
des
expériences
pédagogiques.
La
collecte
des
renseignements
a
amené
les
élèves
a prendre
connaissance
de
l'existence
des
différents
serveurs
et
a
rechercher
dans
leurs
banques
de
la
documentation
sur
le
problème
qu'ils
avaient
à
traiter
"l'environnement
du
Thorone t "-.
Cette
première
partie
de
l'expérience
s'est
faite
parrallèlement
à
celle
du CRDP,
financée
par
la
DBMIST,
qui
consistait
a initier quelques élèves des lycées SAINT-EXUPERY
ct
Saint-Raphaêl
et
d'ESTIENNE D'ORVES
à
Nice.
a la lecture de
banques
de
données
scientifiques
et
l i t t é r a i r e s
et
a
l'utilisation des
documents.
Três
vite,
les
élèves
ont
pris
conscience
de
la
difficulté
que
l'on
rencontre
à
consulter
de
telles
banques,
très
Si: .~ C i a 1 i sée s.
sur t 0 u t
cl est i née s
à
1 a r c c h co r che
d e
p 0 i n te.
Ils
o ::,
con s t a t é
qu' ils
t; 0 u v aie n t
peu
d' i n f 0 ;- mat ion s
r é 1:\\ ion ale s
Cl
que
leur
consultation
était
d'un
coût
crès
élevé.
De
plus.
S ' i l g i t I c
:d us
sou'·: Il t
de
ban q Cl C:,
b i b 1 08 r il phi que ,;
ne
é:
: n l n t
pas
.l_cès
au
,c ,r:lent
qu'il
faut
·)[L:Thlndcr.

Ils ont
ensuite
consul té
la
banque
du
centre
serveur
VARTEL.
"IST
1"
surtout·
spécial isée
dans
l'environnement
géologique
de
la
région
Provence-Alpes-Côte
d'Azur-Corse.
Ils ont
pu
faire
une
mei lleure
approche
régionale,
mais
de
nombreux
renseignements
leur
manquaient
encore.
Ils
se
sont
rendu compte que
pour
travailler
dans
un
domaine
restreint
et
précis
il
devenait
indispensable
de
construire
son
propre
outil,
de
réaliser
sa
banque
de
données
qui
pourrait
renfermer
non seulement
des
documents
bruts
(base
de
données),
mais
aussi,
des
documents
élaborés
à
partir
de
ces
données
(banque
de données).
Dès
lors
la
télématique
pouvait
devenir
un outil
d'enseignement.
Les
différents
thèmes
abordés
étaient
utilisés
pour
constituer
la
banque
de
données
GEOLOGIE
ECOLOGIE
ECONOMI E
HISTOIRE
ARCHITECTURE
-terrains
-travail
-étude
des
-visit~
-construction
calcaires
sur
terrain
mines
de
l 1 a'bba ye
de
l'abbaye
dolomies
production
-répartition
sociologie
-consul..:
- l ' a r t
-glissement
de
la
tation
cistercien
de
terrain
végétation
-économie
d'archives
(
rurale
l.
-m i ne s de
-évolution
bauxi te
de s
Combe Cave
cul tures
Peygros
BANQUE DE DONNEES

.~.i U
-
DEUXI EME PARTI E
Réal isation de
la
banque de
données
l.
Constitution,de
la
banque de
données
1.1.
les
bordereaux de
saisie
Les
différents
renseignements
collectés doivent
être
entrés
dans
l'ordinateur
selon
un
ordre
établi
par
le
logiciel.
Il
est
donc
nécessaire
de
transformer
le
document
en
fiche
de
saisie qui
comporte
divers
champs
.! 'auteur du document
-
le
titre
la
source
qui
renseigne
sur
l'éditeur
du document
les descripteurs
ou mots-clés
qui
vont
ensuite
permettre
d'app~ler la
fiche
désirée
et
qui
doivent
donc
être
choisis
avec
soin
la
localisation qui
indique
le
ieu

le
document
peut-
être
consulté
les
notes qui
donnent
un
résumé
du
1 ivre
ou de
l ' a r t i c l e
Po u r l es
doc ume nt s
tir é s
des
arc h ive s.
i 1 est
sou ven t
difficile
de
répondre
à
tous
les
champs.
Il
a
fallu
établir
des
bordereaux
simpl ifiés
par
rapport
à
ceux de
la
banque
IST.
(voir
illustration
plI)

Bordereau
de
saisie
copif'
d'~craf1
-
toAHlIA' . . 1A1I"
D... T"
"'UC
ALUHINXUM F'ECHIN[Y,
f<RIGNOLES .
•• CI'tI'CI'lI
P'10M:OGIO'UI
IWTI'DIJ.(I'II~"I.I'
.\\ .. l '1
• • , .
HI.
l ·.jltYl'~IilI'wT
lIT
,
HOM(NCLATURE
(\\E~;
1;1~;rNINI<"
rN
1,('.
) . a "
"l.dl"
EXPLOITATION.
c.- 0 1"
IIfiCI
SOU
8RIGNULES:
ALUMINIUM I(LHINI Y,
T.l ' • • t '
, r 1
(
..
l '
O."(.HICN ... "
1382,
1~
P.
('ACTVL.,
CAh·llS.
RAF'
BAUXITE;
HINf
; PAf
f'EYCRQS
;
CrOt OGIE
ECONOMIOUE
;
HYDF<DClDLOI;ll
~~o...~L."'~'.~v~(. . f'l.(.S. __ ly-! .1'(4~.( .~_T.\\• .~(."'J.
LOC
L~.P.'
T"."'"
L ...lM
Q " "

_"'_'"
_~_.
~
NOT
LA COUCHE
ùE
8AUXITE PRESENTE
.~I c..
DEUX
FACJfS:
.J,O,'-!
\\ ~ .A_J.._v_~ ... ~~__ t.c ..'"!... ~4J.(
'il
-
UN HORIZON FRIA8LE SURMONT[
sOVlel
L-.1' r 2
1 S.JI,
T
_d,A.C.
y
l ,
A T.~ . .s .•.
PAR UN HORIZON PI60LITIOUE
-i~~~.J.L1(,..1..I..Jic..r-,---,(o.......~'-'''_''"''«''
, , ... f
J..LL.c.. 1I . o. s.
F'LlJS RESISTANT.
CE OERNIEf< ESt
Lr F Q loD G j C,
f co ND.t1 ; Q,V'
t1.Y.P.RJlf.i:L
RECOUVERT
PAR
"~O A 2 METRl5
,.ow..l.Lo:l...ClG.Ji~
•.L{~_ _~
~_~
~~~
OE BAUXITE
9ILICEUSE
f
otS(1I ,-nu's
-
AU NIVEAU ùU CHARRIACE
IL
EXISTE UNE SERIE D'ECAILLES ~E
BAUXITE,
ALLANT DE
LA SIMPLE
TRACE A DES AMATS TRES
IMPORTf\\NTS.
DEPUIS 1978 UN CLISSEHENT DE
TERRAIN DE GRANDE AMPLEUR
AFFECTE
UNE PARTIE DE LA
,l .1/\\
lOCA'_11ATI0IC
COLLINE
OE LA OAR80USSIERE.LA
MASSE DE
TERRAIN EN MOUVEHENT
A DE9 VITES6ES DE
OEPLACEMENT,
l "
Ç.Q\\,ICHC
aL
OJlUlu,Tf
,rll,fSfHI:C
VERS,LE
FRONT OU DECAPACE, OUI
llEu/(
.foO,.ci.c.s·,
.V.l,(• . H.O.I\\;.?,O,It, .f,/\\'i/l
,
PEUVtNT
ATTEINDRE AU HOMENT DE
,r.
""TI ,
Le
S lI,lI "',0 "'.T.!.
,. ".JI
.V, • • H.Pl" j ,r.o,"',
FORTES PRECIPITATIONS
1,~ CM
.f; fD l j.T';4 v,,.. ,f L,V.L ,A,f \\ ,. ~ rlt.tIT·· ",
/JOUR.
DOCUMENT
SUIVANT
<0//01)
?
:
1.2.
L'entrée
des
fiches
dans
l'ordinateur
L'ordinateur
demande
d i f f é r e n t s
rcnse i gllcrncn t s
Qui
1 u i
sont
donnés
gracc
allx
fichcs
de
sa
sic
[ 1
sui
lc
schéma
J"
a
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l.:lqucl 1 "
1
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référence
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possède
les
l' 1 émc l',
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su f f isants
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c
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e t
r;:
i iée
,i
VI
onté

-
2\\d
-
1
1
1.3
u t i l i s a t i o n
du
terminal
de
composition
Un
autie
moyen
pour
enregistrer
les
documents
consiste
ct
u t i l i s e r
le
terminal
de
composition
qui
permet
aussi
bien
l ' é c r i t u r e
de
textes
que
de
dessins,
de
graphes,
de
tableaux
sanS
suivre
un
programme
pré-établ i .
On
peut
se
servir
d'une
caméra
qui
synthétise
les
dessins
sur
l'écran
de
l'ordinateur.
On
créé
ainsi
des
pages-
écran
qui
pourront
ensuite
être
visualisées
sur
un
Minitel
ou
sur
un
écran
de
télévision
en
couleurs.
2.
Lecture
de
la
banque
de
données
Pour
consulter
la
banque,
il
est
nécessaire
d'appeler
le
serveur.
On
u t i l i s e
pour
celA
le
réseau
téléphonique
normal
des
télécommunications.
Il
faut
tout
d'abord
appeler
le
réseau
national
TELETEL
qui
assure
la
communication
avec
le
serveur
dont
on
donne
le
numéro.
Une
fois
sur
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-TAIRES P~EN"ENT ë~ CHARGE L'ADDUCTION DE LEu~
E~J ~T CJE LE DEaIT DES TROI) ~RE"IERES SOJRCES SOIT
REDUIT.LA SOURCE
D'EA~ PJTAüLE APPARTENA~T A L'ETAT ET ALI~ENTANT EN EAU, ~'JNE PART LA SOURCE DE
L'ABBAYE ET D'AUTR€
PART
LA
FO~TAINE DE LA PLACE Ou TH)R)NET O)IT ET~E INTE~)rTE A CEuX ]UI POURRAIENT
LA CONTA"INE~
PAR LEURS ACTES
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-
230 -
. ,
,-. '~r-.:
démographie
évolution
de
la
population
depuis
le
XIX·
siècle
(1
panneau)
-
géologie
mines
de
Combe-Cave.
de
Peygros.
glissement
de
terratn
(3
panneaux)
-
architecture-histoire
'abbaye
(3
panneaux)
économie
la
mine
de
Peygros
et
le
groupe
PECHINEY
(6
panneaux)
-
réalisation
d'une
banque
de
données
(1
panneau)
-
qu'est
ce
qu'un
centre
serveui
:~VARTEL
1
panneau)
1
Ils
ont
appris
a lire une banque,de données et a entrer
leurs
documents
dans
l'ordinateur.
Ce
qui
est
présenté
sur
le
Minitel
est
le
résultat
de
cette
première
partie
du
travail.
Les
élèves
disposent
désormais
de
plusieurs
documents.
Il
faut
les
u t i l i s e r
dans
la
progression
du
cours .
. ':~;;
;.~~'l
.:) i'~;
, «'.:';'
.
f
, ' : l
.<
oJ.;
- ;,.'

~.
1
3. Objectifs
atteints
Le
thème de
l'étude
est
une
approche
interdisciplinaire
de
l'environnement
considéré
corrune
"l'ensemble
des
systèmes
physiques,
biologiques,
sociaux
et
économiques
susceptibles
d'avoir
un effet
sur
les
êtres
vivants
et
les
activités
humaines.
Le
PAE a
été
prograrruné
sur
deux
ans,
les
élèves
de
seconde devant
continuer
ce
travail
en
classe
de
1ère S et
1ère
B.
<.:.....

Au cours de
la
première
année
les
élèves de
seconde ont
appris
~
travailler
sur
le
terrain,
~
analyser
un
paysage,
~
faire
le
lien entre
la
végétation
et
la
nature
du
sol
et
du
sous-sol.
Ils
ont
constaté
l'importance
de
l'action
de
l'homme
sur
les milieus
naturels,
ce qui
correspond
au
-....
• '.i:'
prograrrune
de
sciences
naturelles.
Ils
ont
étudié
l'histoire
de
l'Abbaye du Thoronet,
son
architecture,
et
suivi
la
démarche de
recherche
et
d'exploitation des
documents
anciens.Ils
ont
abordé
des
problèmes
démographiques
~rt(3
,..~j .
(pyramide
des
ages)
et
économique
(évolution
des
cultures,
..-~
des métiers)
concernant
le
village
du Thoronet
't.'-
.'
.t$:·
·.f
Les élèves de
1ère B ont
centré
leur
étude
sur
les
problèmes
économiques
en
particulier
ceux qui
sont
liés
aux
mines de
bauxite.
Ils
ont
recherché
la
nature
de
la
bauxite
et
son origine
au
cours
d'une
étude
géologique.
Ceci
les
a
conduits
à
définir
un
"minerai",
corrune
une
roche
contenant
".'
un métal
en quantité
suffisante
pour
que
son
exploitation
~ .
soit
rentable.
Ils
ont
donc
débouché
sur
une
étude
économique
complétée
par
une
analyse
sociologique
et
politique.
, ; ' .
c
Tous
les élèves ont
appris
à
manipuler
les
documents,
à
lire
t"~. t., "
,~-;
:.~
des cartes,
à
transformer
des
tableaux
de mesures en graphes.
,"
r
. ~,
Ils ont
réalisé
17
panncaux d'exposition
sur
les
différents
.:.':0
c.
problemes
abordés.
présentation
de
la
<:ornmunc.
organigramr;lc
du
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(1
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écologie
carte
dt·
vl:gétat Ion
et
d,'s
cul turcs
(l
panneau)
j.:.•....
;

'C
l '
~ if' r:
.
,
- 23 J
.. ~.
T RD 1 S 1 EME PART 1 E
Utilisation
pédagogique
de
la
banque
de
données
sur
le Thoronet
Le
PAE
·constitution d'une
banque
de
données
sur
le Thoronet"
a été
programmé
sur
deux
ans.
Pour motiver
les
élèves,
il
a
paru
plus
spectaculaire
la
première
année
de
commencer
par
entrer
les
données,
afin
de
réaliser
une
première
ébauche
de
banque.
Celle-ci
comporte
de
nombreuses
imperfections qui
seront
corrigées.
Ces données
ont
permis
une
approche
de
l'environnement
du Thoronet.
Au cours de
la
deuxième
année.
il
sera
nécessaire
d'une
part
d'utiliser,cette
banque
de
données
améliorée
pour
les
cours
des
différentes disciplines,
d'autre
part,
d'étendre
la
banque
de
données
à
l'ensemble
de
la
région
et
à
d'autres
problèmes
que
l'environnement.
Exemple d'utilisation
pédagogique en géologie
Le
programme
de
1ère
S comporte
l'étude
d'un minerai
d'origine
sédimentaire.
Dans
notre
région.
c'est
la
bauxite
qui
est
,,-.
le
plus
souvent
prise
comme
exemple.
, ..
:
Etude d'un minerai
métallique
la
bauxite
1.
qu'est
ce
qu'un
minerai?
Deux
notions
doivent
être
dégagées
la
concentration
1
la
rentabi 1 i té
[,
1
,J
,',
""-"-

232

concentration
ut 1 Ils a t ion
d' und 0 c ume n t
é cri t
répondre
aux
questions
par
écrit
A.
Parmi les fOChtU QVfl' vou, 8\\16/ ~hJd,6-ftS. Quelles
soni celloes qUt conhennenl. Oan~ ICulS con""uanl~
""t'liluel,. dos m;'Ic1I.u Irx:hQU~S ~Ul I.e graphiQue'
08ns Quels m.ntf8uI sonl alo/5o Inclus les rT'\\o61aui l
Commenl WI ~Ituent oans I.e o'ap""Qve k,B mttftui
Que v04..n .,."., 06 cite' l Concluez

8.
Sut" o,apl"hQV4t. on
Otl Que la cr~l. 18"OS".
conhenl a p"" p<h ~
de 1...
Le m,no'e' do'l
conlen"
a
pev
0<60
50....
de
le'
poul
atre
e'DIOolebl<o
celvt·c, eSl donc 10 ''''' plv. concentra
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n4se. du CUtW.
2. P,6cISoel ce qua reprts.enU!nl te, (jfo_teS obtlQU4U
.t'KH, su' 14I ''OU,e.
3. Ouek relation apPa,eil·,1 enl'e le faclev, de
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minitel
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Conclusion
Pour
qu'une
roche
devienne
un minera
mé t aIl i Que.
i
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Que
sa
teneur
en
métal
soi
suffisante
pour
être
rentable
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234
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2- Où
trouve
t-on de
la
bauxite
en
France?
ut
isation
de
documents
écr
ts
cartes
géologiques.
u t i 1 i s a t' ion
d u minite
appel
de
banques
de
données
scient if iQues
( GEODE.
rST
1)
et
recherche
des
principales
local isat ions
à
rajouter
une
carte
schématique
des
principaux
gisements
provençaux
compte
rendu
écr
t
noter
l'importance
des
gisements
provençaux
local
sés dans
une
zone
appelée
isthme
durancien
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F·Qure.3
l'Isthme du'anclen. 6merslO" fTI~::"o-c(etacee(vers -
lOOM."'_' : te domaIne des OCUt5 et les provinces
me"O.onal". & bau.. ''', d'apr&. J.M, TR'"
(1979).

- 235 -
3-
La
bauxite du
Var
étude d'un
exemple
la mine de
Peygros
3.1.
les
échantillons
-
observation
à
'oeil
nu
et
à
la
loupe.
Il
existe
trois
sortes
de
bauxites
rouge.
grise,
blanche.
Celà
doit
correspondre
à
des
différences
de
composition.
Noter
les
observations.
utilisation
du minitel
à
rajouter
dans
la
banque
de
données
le
tableau
de
composition des
différentes
bauxites
et
de
leur
usage.
teneur
en
bauxites
Al umi ne:
silice
fer
usages
......
1 0 _
qualité
--alumine
aluminium.
ciments
rouge
55à56%
6
à
7%
23à25%
fondus
max.72%
2 0 _
qualité
--ciments
a r t i f i c i e l s .
peintures.
colorants
grise
58à60%
8
à
10%
16
à
18 %
ferro
-alliages-
abrasi f
- cime nt
blanche
40%
28à
30%
-
produits
réfractaires
-
compte-rendu
écrit
compléter .la
description
par
les
renseignements
sur
la
composition
et
les
usages
3.2.
étude
géolo8lq~c du gisement
obscrv.lt ion
de
coupes
géologiques
s y n C 1 i "..
ci e
fl r i g n Cl 1 e s
coupe
t.,·
(.:0rnl,(;
Cav,:
:,~_._-._,
..:... ..:: "
' . '

répondre
par
écrit
déi1nition
d'un
syncl inal

se .~ rouve
1 a
bauxite?
qu'est-ce
qu'un
chevauchement
?
utilisation
du
minitel
observation
d'un
document
du
PAE
la
coupe
géologique
de
la
mine
de
Peygros.
Les
élèves
disposeront
de
la
1 iste
des
étages
du
secondaire
avec
datation.
à
rajouter
-
exercice
sur
minitel


se
placent
le mur
et
le
toit
par
rapport
à
la
couche
de
bauxite?
1.
mur
dessus
toi t
dessous
2.
mur
dessous
toi t
dessus

quel
est
l'âge
de
ces
deux
terrains
1 .
mur
crétacé
toit
jurassique
2 .
mur
et
toit
jurassique
3 .
mur
jurassique
bathonien
toit
crétacé
4 •
mur
crétacé
toit
bathonien
• comment appelle t-on en stratigraphie l'absence d'un
ou
plusieurs
étages?
1.
une
régression
2.
une
lagune
sédimentaire
3.
une
transgression
4.
une
lacune
de
sédimentation

on
dit
que
les
bauxites
tropicales
sont
autochtones
alors
que
les
bauxites
provençales
sont
allochtones
celà
signifie
qU'à
Peygros
1.
le
dépôt
s'est
fai
sur
place
2.
le
dépôt
s ' est
f a i
après
transport
• origine de la bauxite
résumé
des
principales
théories
1 .
f>A['ARENT
;Irgiles
':-.~
décalciflcJtlon
t:ansforrnées
'; u r
pl il C e
sous
clim,;[
tropiCill
2 . .:()<:f1
5<1b!,',;
du
m"
CCrltr;\\
Cf:1;)ortl'·,
p:lr
ll~
VC:lt

~
"
3 .
NICOLAS
decompos i t i 011
des
roches
volcaniques
de
1 a
région
de
I3rignoles.
4.
Théorie
pédogénétique
par
lessivage
des
sols,
sous
climat
tropical
chaud
et
humide,
les
ions
solubles
sont
entralnés
alors
que
les
ions
insolubles
comme
les
hydroxydes
d'aluminium et
de
fer
s'accumulent
donnant
les
latérites.
En
Provence,
ces
dépôts
ont
été
remaniés
par
le
karst
sur
lequel
ils
se
sont
déposés.
Laquelle
de
ces
théories
vous
semble
t-elle
le
plus
compatible
avec
les
dépôts
de
bauxite
du Var?
Notez

sur
votre
cahier.
Il
est
possible
d'ajouter
au
programme
un
système
d'évaluation
de
cet
exercice
qui
donnera
à
l'élève
une
note
de
5,
tenant
compte
du
nombre
d'erreurs.
\\
1
l
1
\\
'j
r:
1\\.l'
[;
r.
...~.'.

CONCLUSION
i>I(:'-t:e exp6rlence de création et d'utilisa:ion d'l'ne
de
1 d" ');' ':. e"
mo nt r e l es
1 a r 8 es
po s s i b i 1 i tés
0 f fer tes
par
l ' u t i l i s a t i o n
)".",>
è ' è i l : ' C
serveur
pour
l'enseignement.
!,>
~initel
trouve
sa
place
à
côte
des
autres
matériels
audio-
\\ , ; : , I I ' ! ! : ;
(~~ojecteurs de
diapositives
et
de
films,
vid60,
micro-
),
",dln"tcurl.
Il
offre
l'avantage
d ' ê t r e
d'une
part
une
1
!
:.ource
de
documentation
sans
cesse
évolutive
pouvant
être
lOtili5ée
de
la
maternelle
à
l ' u n i v e r s i t é
et
d'autre
part,
ull
moyen
d'évaluation
des
connaissances
et
de
perfectionnement
1..\\
possibilité
de
transmettre
l'image
sur
un
téléviseur
">l.lleur
augr.\\ente
ses
performances.
1'.\\:
1a
pra t i que
des
T. P.
t 0 u r na n t s,
i 1
est
po s s i b 1 e
ci e
J'Intégrer
dans
le
travai
avec
seulement
un
ou
deux
appareils.
DOl Il ~
l ' a ven i r,
1 a
con st i tut ion
de
mie r 0 - se r v eu r s
au
sei n
des
,"t,lblissements,
r e l i é s
au
serveur
académique.
doit
permettre
<l'(:tendre
son
u t i l i s a t i o n
en
diminuant
les
coûts
de
..
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con,;ultation .
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déroulement
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la
manifestation
développements
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Sport-Co
86
a Besançon
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EPS-83
Inlormatique
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-239 -
UNION NATIONALE DU SPORT SCOLAIRE
13. rue Saint-Lazare. 75009 PARIS -. Tél 281-55-11
-
CCP Pans 1919230 A
1·....
Paris, le 18 Mars 1985
~lonsieur ~A
Professeur à l'Université de Nice
Président du C AIR
28, avenue de Valrose
06034 - NICE-CEDEX
Monsieur,
L'U.N.S.S. organise dans le Var, dû 1er au 10 Mai 1985, les
championnats de France Scolaires de Sports collectifs qui regrou-
:' .~.t
.','\\
pent 136 équipes et 2.000 jeunes sportifs et sportives du meil-
. f
leur niveau.
Le thème général retenu est" Sport - Ecole et COO1lTl.lnication".
Outre, l'organisation sportive et d'anlinations culturelles,
nous avons décidé de mettre en place "les carrefours de la corrmuni-
cation" qui regrouperont sur 800 m2 des moyens technologiques
d'information: photo, vidéo, presse, informAtique.
En relation avec la D.O.T. du Var, nous avons entrepris une
étude d'implantation de minitels reliés à un serveur.
L'esprit est d'associer les partenaires locaux qui le souhai-
tent. Les contacts que nous avons eus avec Vartel nous incitent à
penser que cet organisme serait disposé à s'investir dans cette
opération pour laquelle notre budget ne couvrirait qu'une partie des
communications téléphoniques.
J'ai donc l'honneur de solliciter officiellement la partici-
pation gratuite de Vartel. En cas d'accord, un cahier des charges
serait signé entre nous et il me serait agréable que vous preniez
contact avec mes collaborateurs.
Vous remerciant pour votre compréhension, je vous prie d'agréer,
~lonsieur, l'expression de ma considération distinguée.
Le Directeur cie l 'LJ.N.S.S.
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