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LE PERIL OH-IIDIEN EN HAUTE-VOLTA
REFLEXIOHS SUR l,ES NOYENS DE LUTTE
EN MEDECIIIO l-lODERNE ET TRADITIONIJELLE
par
Ou6tia:n -JOŒTOŒJOU
CentrG lTo;C::_CJl1.aJ_ ,J.e J.a Recherche Scien-
tifique et TI::c>':nologique
B~:':. 7 047
-OUAG1J)0 UGOU-
Si le serpon"'c,
~tre plut8t diabolique, dont on évi-te de
prononcer jusqu'au nom en cas de morsure
(l)
,
es-t quelquefois un
~tre intégré dan8 los cul.ton comme le note bien Imperato P. T
t.

(l977)
Il in
l\\1ali snake C'l.1.1.ts oxist among the Ninianka people <:1nrl the;
Dobo (2). Pythons, whose bits are non poisonous, arè. kept in spsci2.l
cu1.t housE;s and special si.'.crifices mooe to them ••• ", les ophidiens
en règle générale poserrç ùo sérieux problèmes à l'homme en cert~ines
périodes de l'ann6e~ I l s'agit d'un aspect du vuste particulier.
Les deux périodE;s de pointe dans la pUlJ..u1.ction des serpents en
zone soudano-sal16liem~e (on début de saison de pluie à l'époque
n.u ramassage des Hoi:;;: cle h:arité et en fin de so,ison pluvieuse o.u
moment des récolc(}s)
ol1:crail1.Gnt des L'occidents :fi::-équents p3.r envéni-
mc.tion~
Si la morsure clc fJCrpcnt n'est pas toujours mor-~oJ~c, elle
entraine cependéJ..lJ.i:; -t;ouj O'L"!X'S une incapaciyé au moins tempor'odra et
les séquelles peuven"'c cl urer toute une vie dans le C8.S du v6nin de
l ',Ec:qis carin~e..YE_ (pnenre en moore, fonfoni en bambara/ julc.) •
&eE....l2.:r'inc iJ2,a;ux 0.1')11Î~~1~çp.l14.er_e1.\\X_d e Haut e-Volta G i2•..9- e s :rÉAi o}ll?
l.i.mi trophes
.
En
, -
pU~Ga?l·C
4_'".r)..l".lD
los remo..rquables travaux du Doc-ceur ROrlL.'\\.F,
deux familles cl' o!)lü(~_:Lons
les Vipéridé_s_ èt les Ela,;gidés Eoe
(~istin-
guel1:c nettement ~
Elles renfermenJe )_C, }.")l"Lè::.)8.rt dos ospèccs dangereuses.
Après ~u~o 6t1.:00 systomatique approfondie de l'iQPortŒnte
collection de serpcll-cs
(plus de 5 000 échantillons) qu'il [':. pu
constituer, le Docteu.r ROlrt·~:N estime " qu '.U!l scrj20nt sur d~u.:.;: ~s.J;__'!1.Q.:r.-
k.J. dans le~a'ys" ~
"'lI{,..l...)......--E-n--m-o-o-r-e~r·-et e~~:L:--rospectivement
mogo IconE.. ma et pur.1
kana mi expressions signifiant "1a
paille m'a coupi&"
en frnn-
çais qu'une pcrsor...ne l:1orclue prononce.
(2) - Groupes etlmiqucs du j·hli (l\\1:i.nianka) et à cheval sU.r J_e Hali
et la. Hauto-Vol-'eD. pour ce qui est cl cs Bobo oulé qui G' u:)pellent
eux-m~mes Bt-J"aba.

-
68 -
Signalons coLlIIle ophicliens vénimeux les plus comell..ms
(RO~~~, 1973J VILLIeRS, 1950) :
dans la .:,i.)),Llillc clos Vi.p,éridé-L
• Causus Tik".,culc.tus Ll~TJRENT 1956
• E_cl~~_c~~l~~t~1§. ~(SCHNEIDER) 1801
dont i l ox:icto c1eu.."'C sous espèces
:
E' .C[~.i.n.:-~ttJF_ocolla~ STEI/[f'1LER 1970
~C_~~~j;us l~uc(E:?~el: ROI.J.l1l.N 1972
• Di-I:;is arietans
r'IER.RbN) 1820
~ ~tr1?:.c:~l:;_~J?_=h.0 dahome,y:ono.i.E2. BOCAGE
-
dans la _~é?:!.~l:!-_~+e des E1EU?,idés.
• ND~.~l.~~t.i_eEê..i.-s 4N~ 1922
• llr;.;L~__~l..i.i~.2.c..2.liê....l1P.!NDHARDT
1843
• Jla;j.e..l~~G_}?-8.j e LINNE 1762
~ IL~':'Cl~?ié-..l?o
..lxlû"p"i% GUNTID}R 1858
Si le mar:lba D.oi::c (D_cnfl-rocsnis J2..o1Xle,l)_:!:.§.) ni est rcpr;]senté
que dans la région sud de la Haute-Volta (Banfora, l"1a.ngodr>Ta) et
est rGlativemcnt rarc, le D~tis
et les diverses espèces de N~i~
sont assez conWin~s. Le record d'abondance revient à l'Echis ~ariEc..~~.,
petite vipère do mOGill~G c~6~uGculaire et nocturne pouvç~t etre
agressive
~ues données clli.ffr6ec
.........
Gur le .J2éril ophidien en Haute-Vo1j:a
-_.-........
- - - ;
Les rGsult::cs cl' l."Ll'lG enqu~te effectué e en 1966 cUJ::' l ' en-
semble d u territoi::;.~o volJc,;;.ique é~VCC le conc ours cl u îJfinistèro de
l'Int6rieur et de JJ:1. S6Cl:ri"cé montrent
(cf. carte) un nOijbl'c.; rGJL:.-ti-
vement important de ens de morsures de serpents. ~1ais euriouncment,
op. dénombre 'peu (le. décès
(1)
Si i l 013'1:; vrai (Jue divers degrés existen-I:; dans un e,},G cl 1 en-
vénimation et qu'une morsure n'est pas forcément mortellG, on peut
cc:pondant
,
au r oc:a...."r"C'l Lle 10. faiblesse de 1 f infrs.etruc"l:;urE: m~ù.iec"J"e
moderne, s'interrozer our los raisons de co faible pourcen~age de
c1écès ~
L'analyse d, s
otratégies de lutte en médecin€
moderne d2~s
son efficacit6 e·1:; ses limites, et celles utilisées en médecine
et
ph~·.rraa.copée trc.è.itionllelJ.cs I)Gut donner dos éléments de r6pon:-:;e.
La médecirie mOQe2}~
Son aroe:ruW. est uniquement curstif. Si le remède souverain
ë'cemcure en cas l.~e L10rS'lU~c, 11 administr2.tion de serum antivénimeux:
(nonovalent ou "i;r::'valont), i l convient do noter 11 utilisation Cl 1 autres
thére.peutiques JccJ.J.OG
:
-
la dCS:'_llf:'cetion de la plaie et injection à
base du por-
mang8.na:l;e de potassium
l'utilication de toni-cardiaques divers
:
(1) Au Tchad solon. ROUSSEL rI~R. et VILLIERS A. (1956), il .s, pu ~tre
observé que sur 40 cas de 1.1Orsures par Echis carine~ soignés
par les remèc.1es ill~liGèm.es 39 victimes ont été sauvés tandis que
sur 14 cas non SO{C71'"~S, on 2. constaté 14 décès (in VILLIERS.
Les serpents do :t' oucst ft.fricain~ p~ 65)

- 69 -
-
l'u-tilioa-'Gion de l a "pierre noire"
ou "pierre belge",
sorte de ~iGrrc'poreusc douée d'une force de sucsion ~u
vénin e-l; dont
J_' effica.cit6 semble -§tablie.
Ces diverseo -l;hér2.peutiques donnent de bons r6suJ.:L.ts,
mais et c'est lll1. :r)oint; important à souligner,
certains :facteurs
les rendent inc,ccecniblcs. Outre le cont onôreu.x, les f3erW;lS :.:1C-
-I:;uels demandent ;'.00 cOllcli.tions de conserv.:c,tion très délic,--,:tcs
(ter,1pérature de J_'0:i.~l;,l~C;d-;-4oc pour "le serdIn trivalent' EchI~ - bitiE.:
Naja) et la durée ùe vaiidité deoeurc assez limitée
; les sérums
lyophilisés, soJ.utiol1. c-è'avc:'1.ir n'étant pas encore au point. D~',L1.[; la.
réalité, la seule ,'.lte:_'n~·,tive l-:·n cas de morsuro reste les 1'.10YCTlS
de la médecine trc.u:li"c:i.o:'U1.o1J_c.
Dans lcf'J L;oci{tés n6r;ro-africaines, l a lutte contre 108
ophidiens vénimeu:c conI1C)l"l;O des é:1,Spects complexes. il. c8t6 de 1.::.-
lutte préventive (;.0:'.-[; J.' e:.C::.icacit6 reste bien encore à
sit,wr sur le
plan scientifiCd,uc e:~::,;Tl;e2:1:c den teclmiques curatives variée::: •
.Après lec OGf~c,iG QG synthèse de Auguste CBEVf..LIDR (:1.947)
de ~. VILLERS (1950) GLU~ le traitement ou la prévention contre leG
sGrpents vénimetL--:,
OCmmLL l~~ (1958) note c.uc "l'emploi indigène de
plantes pour se pro·tô[jer des serpents vénumeuz peut se ramoner à
.
trois catégories essentiolles~
1) emploi cu.ro.tif de certaines plantes après J,lOrsurcs
;
2) emploi de pl;::,ntcs înisant fuir les serpents ;'·fixe de
les éloiC7'aer (~.e soi-même ou des habitations
;
3) Gmploi [le :Jlcmtes (ou de lélanges de plantes) 2.y~.nt
la :;c'Cipu'c,;,-cion de supprimer l ' 8-cressivité des ophidioJ:1s
vénimeu=c.
SCHNELL conpJ.è-te en notant éealement 1'utilis:d;ion de
ch;::·.rbon à base (Le tetes dE:; s arpents.
Pour lr:c tccL.lliQues entrant dCml:.1 les deux dernières caté-
cories (techniqncs r6J)u.lsivGs ct cellGs supprim8.J1.·c l'agros:3ivité
du serpent), CD,:.D cont :,,-'cle,tivement classiques. Ayant été cu:f:fiseJIA-
n'Jnt décrites peT é'.i V u::.'0
auteurs, nous nous contenterons simpJ_o"Jcnt
de rappeler qu'ello;:; van"c du port de talisman ou des amuletJecs ou
de chevillères à l'u"[;iJ.iejO,tion de poudres diverses
(prise on boü:;son
ou a}.Jpliqu6es en fric,tion our tout le corps), la poudre à
D.3B8
de
plantes supposées u"cilioécs p2,):" un serpent pour ranimer son c,dver-
saire de combat 6tan-[; consiciérée comme de vertu exceptionnel.le.
Pour les')la:,'ltoG de l a 3èmo catégorie, en particulier,
on se reportera ,\\ l ' :::"11'l;6ror_~oD.nte mise au point du Professeur R.
SCHNELL sur la quO[Jt;iOH,
.:~ l,." suite d' experimenta.tions effectuées à
l ' :tnstitut Paste"CU' '':e Ki'l.llia en Guinée en 1959. Les résult2-ts ne
pcœaissent guère très
concJuants malgré des réactions intéresséJ:r:tes
de quelques SerpGjTCS viF3 à vis de plantes telles Sida sti.12ul8.ta~

· CONSEI L
AFR.ICAIN BT
MALGACHB
POUR
L'ENSEIGNEMENT
SUPER.IEUll
CAMES
BP:tSl.
TEl.: 346. 7S
TELEX: 51.:19
OUAGADOUGOU.
HAUTB_ VOLTA

-
70 -
La valeur repulsive de ces plantes reste cependa,nt à
préciser en raison des conditions d'experimentations (animaux en
conJcention). L' e~~:c)6rime:nJct?,tion sur des serpents en IJleine l i be:::--
~é reste problemetique co~portant pour reprendre des propres termeo
du Fr SCmffiLL :lu:n l ... ioq1.w !lue ne compenserai i:; guère un résulta.t
probablement néGD;i:;if' ~
En reEJtc'.;.~_·C dC\\J.l(3 le cadre de la Haute-Volta signalons quel-
ques pJ.antes uY2J::d: J_a ré:,)utation d'éloigner les serpents. Ce sont :
AP~~~~~~Jf'~ Wight (Convolvulaceae) appelée cornmu-
néEl811t "liane de Hadagascar". I l s'agit dlune fausse
rep'J.tG.tion
(Pupilionaceae)
Ma.xten.~12- S~eKulensis (Celastrucae)
les r;.:.cines en pays Bobo (région de Tanhouna)
éloienerait les serpents
-
Cussonia d~alonensis (Araliaceae) - l'odeur de la racine
brftlée chasserait les serpents
-
SECURI~}~~~O~GEPED.UNCULf~A (Polygalaceae) - Cette plante
déjà signalée en d'autres'points dl~rique reste incon-
testablement
celle dont l'utilisation comme plante
repulsive est la plus établie chez différents groupes
ethniques de rtaute-Volta.
~oton3 enfin l'intér~t que peut présenter cer-
taines plantes apparemment appréciées des serpents dans
le c8rlre d'une prévention ou limitation des risques des
morsures.
Les opludiens semblent avoir une prédilection
pour ce~tuines plantes telles
!ite=:~~~~ (Verkenaceae)
Annono.-E-cp...?..c..~31~ (Annonac eae )
~-9.sr(:i1.:l,pl o.cciden~ (Anaca.rdiacea)
SLœ le glan curatif, les medications utilisés en
médccine et l,hàrmacopée trClÀitio:nnellos,
demeurent -très
conpJ_cxos 0-[; d' accès assez difficiles.
J)e :::'OiJ (mqu~tes ethnobotaniques i l ressort.: une
carcct()rio-c:Lqv.e qu'il convient de souligner. Le trétite-
ment C'L1.:L'i'tiT 0:1 t'ait est à deux niveaux.
Un premier traitement permet à la personns
mordue de resioter à l'effet toxique du venin jusqu'~u
villac:e~

-
71 -
Dans CG traitement en-crent de nombreusos pl<:mtes
relevm~t de la médecine populaire.
Nous citerons
:
-
~li~o.4el~~c~or~ -
Papilianaceae en pays
DHa ,
on en mache les feuilles,
le SUliI est ,:....v-alé
;
10 l'()ciètu étéJ.1'lt appliqué à 11 e ndroit de J.. " rloreJu.rc.
-
SCLnR6cl~YA .
.
~.......
BIRREA Anacardia cene
.....
..
~..-.-
I,' t'Scoree machée et le suc avalé permet de
r6s::J,'C(:T :\\ :,-1 action du venin ; le décoct6 do J.' éco3!'-
ce en l~1vaC;e de l ' enc1roit
de la. morsure étant
c 01"!.O aillé ~
Qunnd au deuxième traitement
i l est effectué
un villaGe auprès du guérisseur généralement spéci~listo
des morsures de serpents m8is dont 13. compétence em1J:r-[).ssc
également bien souvent les piqOres de Scorpions ou d'arai-
gnées. Lee recettes sont très variées et nombreuses -
Nov.,.:
nous lirni-coro:tls volon-tairemGnt à
quelques unes.
En pays Bobo (village de Tanhouna) existe un remède
à base de 2 plan-ces.
~~3t~luS senegalonsi~
et
Jiio,,12byJ:;um J2e~si.!:.num
herbacée o,lUluelle
sensitive~
Le ùccocte de biophytum petersionum et èe r~cinc
de r'IaY-ÇCl'lUG sencgulensis est pris en boisson et bnin en
cas de :,lOrS1.:LY'e.
(Pays Bobo -
village de 'ranhounG).
en pays bHaba (village de Bourasso) un gu~~rissel.:lX'
utiliserait l'_'2.nrès un intermédiaire une recette à
b[~so
de fruits de Sciorocarya birrqa (Anacardiaccae) et de t~t~
fraichc do serpents venimeux.
La recette est la suivante
:
-
recueillir le suc de fruits de SclerocE1r~JLi...!:.:r..f'~~
le f i l t r e r :!_(
COllserver dans un récipient hermetiquement
:fermé ~
y
mo-c-ere 1.111.0 t~te de serpent vénimeux fraiche:~1C~nt
tué
• Le
rGnèclc eot pris
on boisson en cas de !1lorsure.
Uue 3ème recette à
base de Securidaca longep~
duncul~t~~ Ce-(;-co plnnte déjà considérée comme préventive,
par se. r::-'.cinc
ost à
la b8.se d'un remède utilisé on diffé-
rents points de Haute-Volta (pays Bobo, Bwaba,
Mossi,
Dagari) •
Quelles valeurs ont ces ~uelques recettes ?
l'ethnobotaniotc ne
saurait se prononcer.

-
72 -
CONCLUSIONS
.. --- ..
Cette coruD1wlica-cion n' avai t
essentiellement poux bll"t quo
dl attirer encore "l'..:ne l'ois de plus l ' 2.ttention pour l ' approt pO':3siblc
de la pharmacopée ct la médecine traditionD..elle nf'ricaino e~'l m<~·..!GièrG
de traitement dos morsures de serpents.
Le recensement systématique des pratiqUE;s tri~:.d.itionn0llGs
<-".vec identif'ice.tion des prod uits o.nim'J.ux et végétaux qui y sont uti-
lisées, l'expérimGnt~tion physiologique:
et l'analyse chimiQue des
substances utilis0es Qe~~aiGnt des thèmes de recherche prioritaires.
I l s'a,,-;it Ù'1.-U1. domaine relativemE,nt peu elCploré, en tout
cas où ltef'f'ort n'est pas à la hauteur du grave problème 8anitaire
Clue pose la présonce des serpents vénimeux~
La ral1....tive c2..rence ou les l.imites d' utilisotion des
ressources de ln médecül.e moderne,
ct le f'ait que l a méd~co.tion
-l;r8.ditionnelle ÜOrlC1.lre ilion aouvent le seul rempart en cac3 d.e rnorS1.ll~O
devraient avoir. l..Uè. Gf':fet incitateu:c ou sm" les &quipes de rechcrcJlC.I.
BOGNOUNOU Ouétian
CrmST.OUAGADOUGOU

-
T3 -
Ir,IT'ER1l.TO P ~ J •
A:::'rican
_ .
sr
folk medocine
• •
_
-
Practice é~,nà.
beliofs of the bambara and ther pcoplos.
York Press, Inc.- Baltimore.
IŒRHlill.O J. 1970
-
Une drogue dos ph8Xiuacopées n,frica.inos
réputée cnti-vénimoux : le Securidaco.,
longepedunculnta.
Af~~u~ médica~~ ; 1970, 9, PP. 401-403
RONAN B. 1969
~2_13_ serJ2ents de _Haute-'!.olli. Plc,quettE:
de 22 fiches recto-verso -
Ouag~~ougou
ROIiIAN B. 1973
Vipéridès et Elapidès de Haute-Voltv..
Notes et Documents Voltaï~ues., 6(4),
3-49, Ouagadougou
RONAN B. 1973
Une collection de serpents peu conmunc..
Notes et Documents voltoï~ues., 6(2),
36-58, Oungémoug~u
SCHNELL R~ 1949
Sur quelques croyances et pratiques ouest-
nfricaines concernant les serpents et les
moyens de se protéger de leurs morsuros.
Journal do la Société des Africanistes~
Tome XIX, fasc~ 11~ PP. 89-98.
scmmLL R~ 1958
-
?lantes employées en Afrique occidont3le
pour se protèrrer des serpents. Bulletin de
l I IFAN, série B, Tome XX, nO 1-2, janvier-
avril 1958 PP. 205-214
VILLIERS
A. 1975
Les serpents d~ 11 ouest africain 3è édition
édition IFAN, Dakar.

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1.%00.000
1. 300.000
1.200.000
1.100.000
1.000.000
900.000
800.000
,1971
1972
1971
1(li4
1975
1976
1977
~
Annl. 10 cours
~.
'Ipertatton ln ,3
ri,. 1 - l'••portatlon dl OruH$ d',h" en .3 Ilir amMe
lturee: lit nhUre des Eaux et Forth du Gabon.